mercredi 05 avril

- 14h06

4 personnes arrêtées dans l’enquête d’enlèvement d’une religieuse chrétienne au Mali : Dans le cadre de l’enquête d’enlèvement d’une religieuse colombienne dans le sud du Mali, quatre hommes ont été arrêté a annoncé le juge anti-terroriste. « Hier, quatre maliens ont été mis sous mandat de dépôt dans le cadre de l’enquête d’enlèvement d’une religieuse colombienne dans notre pays », annonce ce mercredi le procureur anti-terroriste, Boubacar Sidiki Samaké, qui n’a pas donné plus de détails. Les quatre hommes ont été mis en examen pour « association de malfaiteurs » et « détention illégale d’armes de guerre », a dit cette seconde source judiciaire.

- 14h06

4 personnes arrêtées dans l’enquête d’enlèvement d’une religieuse chrétienne au Mali : Dans le cadre de l’enquête d’enlèvement d’une religieuse colombienne dans le sud du Mali, quatre hommes ont été arrêté a annoncé le juge anti-terroriste. « Hier, quatre maliens ont été mis sous mandat de dépôt dans le cadre de l’enquête d’enlèvement d’une religieuse colombienne dans notre pays », annonce ce mercredi le procureur anti-terroriste, Boubacar Sidiki Samaké, qui n’a pas donné plus de détails. Les quatre hommes ont été mis en examen pour « association de malfaiteurs » et « détention illégale d’armes de guerre », a dit cette seconde source judiciaire.

- 12h02

la marche des syndicats des enseignants signataires du 15 octobre 2016 a été suivie ce matin(05/04/2017) un peu partout au Mali. Des mobilisations se sont organisées à Bamako, Kayes, Koulikoro, Banamba, Sikasso Tombouctou, Ségou, San et Yorosso. Ces enseignants réclament « le respect des engagements pris par le gouvernement le 08 janvier » et un « statut autonome des enseignants ».

- 12h02

la marche des syndicats des enseignants signataires du 15 octobre 2016 a été suivie ce matin(05/04/2017) un peu partout au Mali. Des mobilisations se sont organisées à Bamako, Kayes, Koulikoro, Banamba, Sikasso Tombouctou, Ségou, San et Yorosso. Ces enseignants réclament « le respect des engagements pris par le gouvernement le 08 janvier » et un « statut autonome des enseignants ».

- 10h37

16è CSA : Autorités intérimaires et MOC à la loupe Dans la foulée de la Conférence d’entente nationale (CEN), les différents acteurs de la mise en œuvre de l’Accord pour paix se sont réunis à Bamako pour la 16è session du Comité de suivi de l’accord (CSA) les lundi 3 et mardi 4 avril 2017. Avec à l’ordre du jour, le blocage dans la mise en place des autorités intérimaires à Tombouctou et à Taoudéni ainsi que les conclusions de la CEN. Il faut noter qu’il s’agissait de la première rencontre après le CSA de niveau ministériel tenu en février dernier, où la question de la mise en place des autorités intérimaires avait été tranchée. Après avoir fait l’état des lieux de la mise en œuvre des dispositions de l’accord, les participants à cette session ont défini les prochaines étapes. Il s’agit notamment de rendre rapidement opérationnelles les autorités intérimaires déjà installées et établir celles de Tombouctou et Taoudéni. La question du MOC, dont les listes ne sont pas encore établies à Tombouctou et Kidal, et ses résultats mitigés dans la région de Gao ont également fait l’objet de communications et d’échanges.

- 10h37

16è CSA : Autorités intérimaires et MOC à la loupe Dans la foulée de la Conférence d’entente nationale (CEN), les différents acteurs de la mise en œuvre de l’Accord pour paix se sont réunis à Bamako pour la 16è session du Comité de suivi de l’accord (CSA) les lundi 3 et mardi 4 avril 2017. Avec à l’ordre du jour, le blocage dans la mise en place des autorités intérimaires à Tombouctou et à Taoudéni ainsi que les conclusions de la CEN. Il faut noter qu’il s’agissait de la première rencontre après le CSA de niveau ministériel tenu en février dernier, où la question de la mise en place des autorités intérimaires avait été tranchée. Après avoir fait l’état des lieux de la mise en œuvre des dispositions de l’accord, les participants à cette session ont défini les prochaines étapes. Il s’agit notamment de rendre rapidement opérationnelles les autorités intérimaires déjà installées et établir celles de Tombouctou et Taoudéni. La question du MOC, dont les listes ne sont pas encore établies à Tombouctou et Kidal, et ses résultats mitigés dans la région de Gao ont également fait l’objet de communications et d’échanges.

- 09h31

Plus de 950 médecins Cubains attendus au Mali : En remplacement des médecins grévistes : Plus de 950 médecins Cubains seraient attendus au Mali dans les prochains jours pour remplacer nos médecins fonctionnaires grévistes. Cette initiative serait dans le cadre de la coopération entre les 2 pays. Ces médecins cubains sont des volontaires.

- 09h31

Plus de 950 médecins Cubains attendus au Mali : En remplacement des médecins grévistes : Plus de 950 médecins Cubains seraient attendus au Mali dans les prochains jours pour remplacer nos médecins fonctionnaires grévistes. Cette initiative serait dans le cadre de la coopération entre les 2 pays. Ces médecins cubains sont des volontaires.

- 08h40

Après un mois de blocage, les autorités intérimaires seront finalement installées le 13 avril dans les deux dernières régions du nord du Mali à savoir Tombouctou et Taoudéni.

- 08h40

Après un mois de blocage, les autorités intérimaires seront finalement installées le 13 avril dans les deux dernières régions du nord du Mali à savoir Tombouctou et Taoudéni.

mardi 04 avril

- 17h48

DDR : Le Directeur National du DDR, Zahabi Ould Sidi Mohamed a annoncé ce mardi que le démarrage des DDR-Démobilisation, Désarmement et Réinsertion aura lieu dans deux semaines. D’après lui, tout est fin prêt pour lancer le processus. Sur les 24 sites de cantonnement proposés, 21 ont été évalués, dont 17 sites déjà validés par la Commission Technique de Sécurité, dirigée par la MINUSMA. Parmi ceux-ci, trois premiers (Likrakar, région de Tombouctou; Fafa, Région de Gao et Inaggar, Région de Ménaka) ont été réalisés par l’UNOPS, partenaire de mise en œuvre. Par ailleurs, trois centres de cantonnements ont été installés dans la région de Mopti, précisément à Tenenkou, à Douentza et à Bankass et seraient prêts à accueillir des combattants.

- 17h48

DDR : Le Directeur National du DDR, Zahabi Ould Sidi Mohamed a annoncé ce mardi que le démarrage des DDR-Démobilisation, Désarmement et Réinsertion aura lieu dans deux semaines. D’après lui, tout est fin prêt pour lancer le processus. Sur les 24 sites de cantonnement proposés, 21 ont été évalués, dont 17 sites déjà validés par la Commission Technique de Sécurité, dirigée par la MINUSMA. Parmi ceux-ci, trois premiers (Likrakar, région de Tombouctou; Fafa, Région de Gao et Inaggar, Région de Ménaka) ont été réalisés par l’UNOPS, partenaire de mise en œuvre. Par ailleurs, trois centres de cantonnements ont été installés dans la région de Mopti, précisément à Tenenkou, à Douentza et à Bankass et seraient prêts à accueillir des combattants.

- 09h00

Grève des travailleurs de la santé : Le chef de file de l’opposition, Soumaïla Cissé, a été reçu hier en début de soirée par le chef de l’Etat, Ibrahim Boubacar Kéita. La grève du personnel de la santé a été l’un des sujets sur lesquels les deux personnalités ont longuement échangé. Le chef de file de l’opposition était venu demander au président de la République qu’une solution soit rapidement trouvée à ce problème national. « La grève perdure au niveau des médecins. Je suis venu m’entretenir avec le président de la République sur ça. Je suis venu lui demander de porter un œil bienveillant sur cette situation, et surtout de voir comment avec son cabinet, avec le gouvernement, on peut aider à trouver une solution le plus rapidement possible », a-t-il confié à la presse à sa sortie d’audience.

- 09h00

Grève des travailleurs de la santé : Le chef de file de l’opposition, Soumaïla Cissé, a été reçu hier en début de soirée par le chef de l’Etat, Ibrahim Boubacar Kéita. La grève du personnel de la santé a été l’un des sujets sur lesquels les deux personnalités ont longuement échangé. Le chef de file de l’opposition était venu demander au président de la République qu’une solution soit rapidement trouvée à ce problème national. « La grève perdure au niveau des médecins. Je suis venu m’entretenir avec le président de la République sur ça. Je suis venu lui demander de porter un œil bienveillant sur cette situation, et surtout de voir comment avec son cabinet, avec le gouvernement, on peut aider à trouver une solution le plus rapidement possible », a-t-il confié à la presse à sa sortie d’audience.

lundi 03 avril

- 12h16

Les religieux demandent l’aide de la population pour retrouver la Sœur Cecilia Les évêques catholiques du Mali lancent un appel au grand public pour les aider à obtenir la libération de la Sœur Cecilia Argoti Narvaez enlevée la paroisse de Karangasso le 7 février dernier. Presque deux mois plus tard, il n’y a toujours aucune nouvelle de la religieuse et aucune revendication n’a encore été faite. « Nous explorons toutes les voie possibles pour obtenir la libération de la sœur Cecilia et appelons les fidèles à continuer à prier pour elle » a exhorté le père Edmond Dembélé, secrétaire général de la conférence épiscopale du Mali. « Certains pensent que des bandits dans la région ont enlevé la sœur dans l’espoir d’obtenir une rançon, et maintenant ils ne savent pas comment gérer la situation et d’autres pensent que les djihadistes l’ont enlevée » continue le père Dembélé. Il a également demandé au public et aux médias d’aider à prendre contact avec ses ravisseurs. Le diocèse recherche également des intermédiaires avec les ravisseurs. Le mois dernier, le gouvernement colombien a envoyé deux gendarmes afin de se joindre aux enquêteurs locaux à la frontière avec le Burkina Faso. Cela fait déjà douze ans que la sœur Cecilia est au Mali, elle s’occupait surtout des enfants orphelins jusqu’à son enlèvement.

- 12h16

Les religieux demandent l’aide de la population pour retrouver la Sœur Cecilia Les évêques catholiques du Mali lancent un appel au grand public pour les aider à obtenir la libération de la Sœur Cecilia Argoti Narvaez enlevée la paroisse de Karangasso le 7 février dernier. Presque deux mois plus tard, il n’y a toujours aucune nouvelle de la religieuse et aucune revendication n’a encore été faite. « Nous explorons toutes les voie possibles pour obtenir la libération de la sœur Cecilia et appelons les fidèles à continuer à prier pour elle » a exhorté le père Edmond Dembélé, secrétaire général de la conférence épiscopale du Mali. « Certains pensent que des bandits dans la région ont enlevé la sœur dans l’espoir d’obtenir une rançon, et maintenant ils ne savent pas comment gérer la situation et d’autres pensent que les djihadistes l’ont enlevée » continue le père Dembélé. Il a également demandé au public et aux médias d’aider à prendre contact avec ses ravisseurs. Le diocèse recherche également des intermédiaires avec les ravisseurs. Le mois dernier, le gouvernement colombien a envoyé deux gendarmes afin de se joindre aux enquêteurs locaux à la frontière avec le Burkina Faso. Cela fait déjà douze ans que la sœur Cecilia est au Mali, elle s’occupait surtout des enfants orphelins jusqu’à son enlèvement.

- 08h29

Grève des enseignants : Le Collectif de sept syndicats de l’éducation maintient sa marche du 5 avril 2017 sur l’Assemblée nationale aux fins d’exposer au président de l’institution ses préoccupations avec en point de mire le statut autonome des enseignants.

- 08h29

Grève des enseignants : Le Collectif de sept syndicats de l’éducation maintient sa marche du 5 avril 2017 sur l’Assemblée nationale aux fins d’exposer au président de l’institution ses préoccupations avec en point de mire le statut autonome des enseignants.

dimanche 02 avril

- 12h08

Le « Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans », organisation jihadiste née de la récente fusion de plusieurs groupes du Sahel, a revendiqué ce samedi 1er avril une attaque menée le 29 mars contre un poste de la gendarmerie malienne, selon le centre américain de surveillance des sites djihadistes SITE.

- 12h08

Le « Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans », organisation jihadiste née de la récente fusion de plusieurs groupes du Sahel, a revendiqué ce samedi 1er avril une attaque menée le 29 mars contre un poste de la gendarmerie malienne, selon le centre américain de surveillance des sites djihadistes SITE.

vendredi 31 mars

- 16h12

Une délégation de la commission de la Conférence d’Entente Nationale s’est rendue aujourd’hui à Kidal. Elle a pour mission de recueillir l’avis et les propositions des populations locales .

- 16h12

Une délégation de la commission de la Conférence d’Entente Nationale s’est rendue aujourd’hui à Kidal. Elle a pour mission de recueillir l’avis et les propositions des populations locales .

- 15h17

Barkhane : Mercredi 29 mars 2017, vers 10H30, alors que la force Barkhane réalisait une formation en secourisme et en police judiciaire au profit de la CSMAK (Coordination Sécuritaire Mixte de l’Azawad à Kidal), une détonation a retenti aux abords de la ville. Après avoir mené une observation à partir des toits des bâtiments du camp de la CSMAK, les soldats ont rapidement identifié le lieu de l’explosion. La détonation provenait d’un point d’eau situé à 1500 mètres à l’est du camp où se rassemblent des troupeaux venant du nord de la ville. Une patrouille de la CSMAK, sous le commandement du commandant Habib Ag Babahmed, s’est immédiatement rendue sur les lieux, dans le cadre de son rôle de force de sécurité publique de la ville de Kidal. Arrivé sur place, le chef de détachement a fait rapatrier sur leur camp quatre bergers blessés par l’explosion d’un obus de 23 mm qu’ils avaient tenté de déplacer. Une assistance médicale a été demandée à la force Barkhane qui a aussitôt dépêché un médecin et des infirmiers afin de dispenser les premiers soins. Les victimes ont été rapidement transférées par la CSMAK et Barkhane vers l’hôpital de la MINUSMa.

- 15h17

Barkhane : Mercredi 29 mars 2017, vers 10H30, alors que la force Barkhane réalisait une formation en secourisme et en police judiciaire au profit de la CSMAK (Coordination Sécuritaire Mixte de l’Azawad à Kidal), une détonation a retenti aux abords de la ville. Après avoir mené une observation à partir des toits des bâtiments du camp de la CSMAK, les soldats ont rapidement identifié le lieu de l’explosion. La détonation provenait d’un point d’eau situé à 1500 mètres à l’est du camp où se rassemblent des troupeaux venant du nord de la ville. Une patrouille de la CSMAK, sous le commandement du commandant Habib Ag Babahmed, s’est immédiatement rendue sur les lieux, dans le cadre de son rôle de force de sécurité publique de la ville de Kidal. Arrivé sur place, le chef de détachement a fait rapatrier sur leur camp quatre bergers blessés par l’explosion d’un obus de 23 mm qu’ils avaient tenté de déplacer. Une assistance médicale a été demandée à la force Barkhane qui a aussitôt dépêché un médecin et des infirmiers afin de dispenser les premiers soins. Les victimes ont été rapidement transférées par la CSMAK et Barkhane vers l’hôpital de la MINUSMa.

- 10h39

Au Mali, L’état d’urgence continu sans interruption depuis 16 mois. Il a été prolongé à partir de vendredi pour au moins dix jours, a annoncé le gouvernement dans un communiqué. Cette mesure d’exception a été instaurée à plusieurs reprises dans le pays depuis l’attaque jihadiste contre l’hôtel Radisson Blu de Bamako le 20 novembre 2015 (20 morts, outre deux assaillants tués).Il avait pour la dernière fois été prorogé de six mois le 30 juillet 2016. Cette prolongation a permis de “renforcer davantage les dispositifs de prévention et de lutte contre le terrorisme et d’accroître les capacités opérationnelles et les actions de contrôle des forces armées et de sécurité” ainsi que “d’assurer la mise en œuvre diligente des procédures juridictionnelles liées aux actes et aux menaces terroristes”, selon le communiqué publié le jeudi soir. Le gouvernement reconnaît néanmoins “la persistance de la menace terroriste au Mali et dans la sous-région, ainsi que des risques d’atteinte à la sécurité des personnes et de leurs biens”. L’état d’urgence ayant expiré le 29 mars, “il est jugé nécessaire de le déclarer à nouveau pour une durée de 10 jours à compter du vendredi 31 mars 2017 à minuit”, selon le texte, précisant que “sa prorogation interviendra si l’évaluation de la situation sécuritaire le justifie”.

- 10h39

Au Mali, L’état d’urgence continu sans interruption depuis 16 mois. Il a été prolongé à partir de vendredi pour au moins dix jours, a annoncé le gouvernement dans un communiqué. Cette mesure d’exception a été instaurée à plusieurs reprises dans le pays depuis l’attaque jihadiste contre l’hôtel Radisson Blu de Bamako le 20 novembre 2015 (20 morts, outre deux assaillants tués).Il avait pour la dernière fois été prorogé de six mois le 30 juillet 2016. Cette prolongation a permis de “renforcer davantage les dispositifs de prévention et de lutte contre le terrorisme et d’accroître les capacités opérationnelles et les actions de contrôle des forces armées et de sécurité” ainsi que “d’assurer la mise en œuvre diligente des procédures juridictionnelles liées aux actes et aux menaces terroristes”, selon le communiqué publié le jeudi soir. Le gouvernement reconnaît néanmoins “la persistance de la menace terroriste au Mali et dans la sous-région, ainsi que des risques d’atteinte à la sécurité des personnes et de leurs biens”. L’état d’urgence ayant expiré le 29 mars, “il est jugé nécessaire de le déclarer à nouveau pour une durée de 10 jours à compter du vendredi 31 mars 2017 à minuit”, selon le texte, précisant que “sa prorogation interviendra si l’évaluation de la situation sécuritaire le justifie”.

jeudi 30 mars

- 12h14

Deuxième division turque Les Maliens à l’honneur Pour la première fois, trois joueurs maliens figurent dans l’équipe type de la 25è journée de la 2è division turque, et font largement parler d’eux. Pour sa toute première titularisation sous les couleurs de Bandırmaspor, Mamadou Fofana, 19 ans, a été crédité d’un très bon match en déplacement face à Ümranıyespor (0-0), samedi, lors de la 25è journée de la D2 turque. Son club a ramené un point précieux dans la lutte pour le maintien. Auteur d’un doublé avec Elazığspor face à Adana Demirspor (4-2), dimanche, Hamidou Traoré, « Dou », 20 ans, qui comptabilise désormais 5 buts dans ce championnat, figure également dans ce onze-type de PTT 1. Lig pour le compte de la 25ème journée. Prêté jusqu’à la fin de la saison, Famoussa Koné, s’est aussi illustré avec son équipe de Samsunspor en battant Altınordu (2-0). Le jeune attaquant malien de 22 ans a inscrit 4 buts cette saison dans ce championnat.

- 12h14

Deuxième division turque Les Maliens à l’honneur Pour la première fois, trois joueurs maliens figurent dans l’équipe type de la 25è journée de la 2è division turque, et font largement parler d’eux. Pour sa toute première titularisation sous les couleurs de Bandırmaspor, Mamadou Fofana, 19 ans, a été crédité d’un très bon match en déplacement face à Ümranıyespor (0-0), samedi, lors de la 25è journée de la D2 turque. Son club a ramené un point précieux dans la lutte pour le maintien. Auteur d’un doublé avec Elazığspor face à Adana Demirspor (4-2), dimanche, Hamidou Traoré, « Dou », 20 ans, qui comptabilise désormais 5 buts dans ce championnat, figure également dans ce onze-type de PTT 1. Lig pour le compte de la 25ème journée. Prêté jusqu’à la fin de la saison, Famoussa Koné, s’est aussi illustré avec son équipe de Samsunspor en battant Altınordu (2-0). Le jeune attaquant malien de 22 ans a inscrit 4 buts cette saison dans ce championnat.

- 12h11

Veille citoyenne sur la situation sécuritaire Violation des droits humains, enlèvements, braquages, viols et vols de moto sont le bilan de quatre mois de travail d’observation des Comités de veille citoyenne (CVC) dans les régions de Gao, Tombouctou, Mopti et Kayes, publié lundi 27 mars 2017. Axé sur l’évolution de la situation sécuritaire et la mise en œuvre de l’Accord pour la paix et la réconciliation, le projet dit de mobilisation des acteurs de la société civile en matière de gouvernance de la sécurité a été prolongé de trois mois. Il pourrait s’étendre sur de nouvelles régions, comme celle de Kidal. Piloté par la Coalition nationale de la société civile pour la paix et la lutte contre la prolifération des armes légères (CONASCIPAL), les acteurs du projet souhaitent, à terme, concevoir un livre blanc destiné à l’ensemble de la société civile malienne sur la paix et la sécurité. Une première au Mali, qui pourrait permettre à la société civile de jouer pleinement son rôle dans le processus de paix. Pour le Dr Mariam Djibrila Maïga, directrice exécutive de la CONASCIPAL, les recommandations du livre blanc permettront de prendre véritablement en compte les attentes des populations.

- 12h11

Veille citoyenne sur la situation sécuritaire Violation des droits humains, enlèvements, braquages, viols et vols de moto sont le bilan de quatre mois de travail d’observation des Comités de veille citoyenne (CVC) dans les régions de Gao, Tombouctou, Mopti et Kayes, publié lundi 27 mars 2017. Axé sur l’évolution de la situation sécuritaire et la mise en œuvre de l’Accord pour la paix et la réconciliation, le projet dit de mobilisation des acteurs de la société civile en matière de gouvernance de la sécurité a été prolongé de trois mois. Il pourrait s’étendre sur de nouvelles régions, comme celle de Kidal. Piloté par la Coalition nationale de la société civile pour la paix et la lutte contre la prolifération des armes légères (CONASCIPAL), les acteurs du projet souhaitent, à terme, concevoir un livre blanc destiné à l’ensemble de la société civile malienne sur la paix et la sécurité. Une première au Mali, qui pourrait permettre à la société civile de jouer pleinement son rôle dans le processus de paix. Pour le Dr Mariam Djibrila Maïga, directrice exécutive de la CONASCIPAL, les recommandations du livre blanc permettront de prendre véritablement en compte les attentes des populations.

mercredi 29 mars

- 19h00

Conférence d’entente nationale : Après les exposés, mardi 28 mars, des représentants des différentes régions notamment du nord, Kidal étant la seule absente, des maliens de l’extérieur, des refugiés, les travaux ont repris pour ce troisième jour de conférence. Trois groupes de travail ont travaillé sur la problématique de la paix, de l’unité et de la réconciliation. Des groupes de travail qui reprendront le travail demain jeudi pour approfondir ces thèmes Le terme Azawad s’est de nouveau invité dans ces échanges mais les avis divergeaient sur la question. Mahamadou Djeri Maiga , vice Président de la CMA, pense pouvoir convaincre de la pertinence de la thèse qu’il défend. « la CMA va défendre ses idées » a t-il dit, avant d’appeler à mettre « le Mali au dessus de tout ». Pour les groupes armés de la Plateforme il faut intégrer les questions sécuritaires et judicaires aux groupes thématiques. Pour Haïbala Ag Hamzata, représentant de la plateforme, « Aujourd’hui, le problème fondamental que vive les maliens c’est un problème de sécurité, c’est un problème de justice et c’est ce qui a amené l’effondrement de l’Etat. »

- 19h00

Conférence d’entente nationale : Après les exposés, mardi 28 mars, des représentants des différentes régions notamment du nord, Kidal étant la seule absente, des maliens de l’extérieur, des refugiés, les travaux ont repris pour ce troisième jour de conférence. Trois groupes de travail ont travaillé sur la problématique de la paix, de l’unité et de la réconciliation. Des groupes de travail qui reprendront le travail demain jeudi pour approfondir ces thèmes Le terme Azawad s’est de nouveau invité dans ces échanges mais les avis divergeaient sur la question. Mahamadou Djeri Maiga , vice Président de la CMA, pense pouvoir convaincre de la pertinence de la thèse qu’il défend. « la CMA va défendre ses idées » a t-il dit, avant d’appeler à mettre « le Mali au dessus de tout ». Pour les groupes armés de la Plateforme il faut intégrer les questions sécuritaires et judicaires aux groupes thématiques. Pour Haïbala Ag Hamzata, représentant de la plateforme, « Aujourd’hui, le problème fondamental que vive les maliens c’est un problème de sécurité, c’est un problème de justice et c’est ce qui a amené l’effondrement de l’Etat. »

- 10h46

Le Comité Exécutif National –SNESUP a déposé un préavis de grève illimitée qui commence à partir du 4 avril prochain. Cette position a été adoptée à l’issue de l’Assemblée générale tenue samedi dernier pour évaluer les premières 48 heures puis 72 heures de grève observées plus tôt, et décider de la marche à suivre.

- 10h46

Le Comité Exécutif National –SNESUP a déposé un préavis de grève illimitée qui commence à partir du 4 avril prochain. Cette position a été adoptée à l’issue de l’Assemblée générale tenue samedi dernier pour évaluer les premières 48 heures puis 72 heures de grève observées plus tôt, et décider de la marche à suivre.

- 10h40

Le poste de la gendarmerie de Boulikessi (Mopti) a subi une attaque hier dans la nuit aux environs de 23 h. Le bilan provisoire faisait état de 2 morts et 1 gendarme disparu.

- 10h40

Le poste de la gendarmerie de Boulikessi (Mopti) a subi une attaque hier dans la nuit aux environs de 23 h. Le bilan provisoire faisait état de 2 morts et 1 gendarme disparu.

- 10h11

Conférence d’entente nationale : Les groupes de travaux de la Conférence d’entente nationale ont été constitués. Il s’agit des commissions paix, réconciliation et unité.

- 10h11

Conférence d’entente nationale : Les groupes de travaux de la Conférence d’entente nationale ont été constitués. Il s’agit des commissions paix, réconciliation et unité.

mardi 28 mars

- 20h17

400 millions de Fcfa pour amener les groupes armés à la Conférence d’entente nationale : Pour faire changer d’avis les groupes armés du nord, qui avaient signé quelques jours auparavant un communiqué commun pour dire qu’ils ne participent pas à la conférence d’entente nationale, à la veille de l’ouverture de  cette conférence, le gouvernement malien a longtemps discuté avec les leaders de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) et la Plate-forme à Bamako. « Lors des discutions entre gouvernement et groupes armés dans la nuit du dimanche au lundi dernier, les membres du gouvernement malien ont donné une somme  de 200 millions de Francs CFA aux leaders de la CMA et 200 autres aux leaders de la Plate-forme afin qu’ils acceptent de participer à la conférence d’entente nationale », nous apprend le site d’information Nordsudjournal.com dans un article publié mardi 28 mars.

- 20h17

400 millions de Fcfa pour amener les groupes armés à la Conférence d’entente nationale : Pour faire changer d’avis les groupes armés du nord, qui avaient signé quelques jours auparavant un communiqué commun pour dire qu’ils ne participent pas à la conférence d’entente nationale, à la veille de l’ouverture de  cette conférence, le gouvernement malien a longtemps discuté avec les leaders de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) et la Plate-forme à Bamako. « Lors des discutions entre gouvernement et groupes armés dans la nuit du dimanche au lundi dernier, les membres du gouvernement malien ont donné une somme  de 200 millions de Francs CFA aux leaders de la CMA et 200 autres aux leaders de la Plate-forme afin qu’ils acceptent de participer à la conférence d’entente nationale », nous apprend le site d’information Nordsudjournal.com dans un article publié mardi 28 mars.

- 16h07

Le syndicat de la justice a débuté ce jour une grève de 72heures. Un autre syndicat se prépare à aller en grève.

- 16h07

Le syndicat de la justice a débuté ce jour une grève de 72heures. Un autre syndicat se prépare à aller en grève.

lundi 27 mars

- 11h53

La Conférence d’entente nationale s’est ouverte ce matin au palais de la culture. Baba Hakib Haïdara, président de la Conférence et le président IBK se sont succédé sur la scènedans deux discours qui ont donné le départ de cet événement. « Il nous faut construire l’indispensable compromis »[…] « Il nous importe aujourd’hui de construire la paix dans la confiance afin de maîtriser notre avenir » […] « Aujourd’hui nous sommes arrivés à une étape de notre histoire où il faut réfléchir au désordre qui menace le Centre, il nous faut nous concerter et nous accorder sur la meilleure manière de revitaliser notre vivre ensemble, ce sont les principales conditions de cette Conf d’entente nationale », a déclaré le chef de l’État. Il a regretté l’absence de l’opposition et de la CMA à la conférence, les mettant en garde contre des postures qui n’apportent rien à la démocratie et utilisant la référence familiale à leur adresse : « La maison familiale n’est jamais assez pleine pour recevoir chaque enfant du même père et de la même », ajoutant : « Les absents rattraperont le train ». Le président IBK a aussi annoncé qu’à l’issue de la Conférence d’entente nationale qui prendra fin le 2 avril prochain, sera produit une charte pour le paix et la réconciliation dont il fixera, via les recommandations recueillies, le cadre des modalités et un agenda pour mettre en application cette charte consensuelle.

- 11h53

La Conférence d’entente nationale s’est ouverte ce matin au palais de la culture. Baba Hakib Haïdara, président de la Conférence et le président IBK se sont succédé sur la scènedans deux discours qui ont donné le départ de cet événement. « Il nous faut construire l’indispensable compromis »[…] « Il nous importe aujourd’hui de construire la paix dans la confiance afin de maîtriser notre avenir » […] « Aujourd’hui nous sommes arrivés à une étape de notre histoire où il faut réfléchir au désordre qui menace le Centre, il nous faut nous concerter et nous accorder sur la meilleure manière de revitaliser notre vivre ensemble, ce sont les principales conditions de cette Conf d’entente nationale », a déclaré le chef de l’État. Il a regretté l’absence de l’opposition et de la CMA à la conférence, les mettant en garde contre des postures qui n’apportent rien à la démocratie et utilisant la référence familiale à leur adresse : « La maison familiale n’est jamais assez pleine pour recevoir chaque enfant du même père et de la même », ajoutant : « Les absents rattraperont le train ». Le président IBK a aussi annoncé qu’à l’issue de la Conférence d’entente nationale qui prendra fin le 2 avril prochain, sera produit une charte pour le paix et la réconciliation dont il fixera, via les recommandations recueillies, le cadre des modalités et un agenda pour mettre en application cette charte consensuelle.

- 10h51

Conférence d’entente nationale : À l’issu de la Conférence seront produits les éléments constitutifs de la charte. La rédaction de cette charte et son approbation se feront dans un autre cadre, selon Baba Akhib Haidara, président de la conférence.

- 10h51

Conférence d’entente nationale : À l’issu de la Conférence seront produits les éléments constitutifs de la charte. La rédaction de cette charte et son approbation se feront dans un autre cadre, selon Baba Akhib Haidara, président de la conférence.

- 10h06

L’ancien champion du monde d’échecs, le Russe Garry Kasparov, souhaite former à ce jeu un million d’enfants africains en cinq ans, un moyen qu’il juge « peu coûteux et très efficace » pour améliorer les compétences des élèves.

- 10h06

L’ancien champion du monde d’échecs, le Russe Garry Kasparov, souhaite former à ce jeu un million d’enfants africains en cinq ans, un moyen qu’il juge « peu coûteux et très efficace » pour améliorer les compétences des élèves.

- 10h05

Conférence d’entente nationale : La conférence d’entente nationale a débuté ce matin en l’absence des partis de l’opposition et de la CMA. Les mouvements pro-gouvernementaux de la plateforme participent finalement à l’événement. Cette conférence prendra fin le 2 avril prochain.

- 10h05

Conférence d’entente nationale : La conférence d’entente nationale a débuté ce matin en l’absence des partis de l’opposition et de la CMA. Les mouvements pro-gouvernementaux de la plateforme participent finalement à l’événement. Cette conférence prendra fin le 2 avril prochain.

- 09h33

Grève illimitée des Etudiants maliens en Algérie L’accès de la chancellerie interdit à l’Ambassadeur et à son personnel La souffrance infligée aux Etudiants maliens en Algérie par le Consulat dépasse l’entendement. Loin des siens, les conditions financières de ces Etudiants appellent à une prise de conscience. Face à la situation de précarité grandissante, l’Association des Elèves Etudiants et Stagiaires Maliens en Algérie (AESMA) tire la sonnette d’alarme. Ayant quitté leur pays pour acquérir le savoir, ils sont nombreux à vouloir faire le chemin inverse sans aucun parchemin en poche. Et, pour cause, les moyens de subsistance que doit leur fournir l’Etat malien via le Consulat se font rares. Aller en Algérie pour acquérir le savoir, ils sont aujourd’hui nombreux les Etudiants qui bénéficient de la Bourse du Gouvernement à vouloir faire le chemin inverse sans obtenir leur Diplôme de fin d’Etudes. Car, ils manquent cruellement d’argent pour subvenir à leurs besoins.

- 09h33

Grève illimitée des Etudiants maliens en Algérie L’accès de la chancellerie interdit à l’Ambassadeur et à son personnel La souffrance infligée aux Etudiants maliens en Algérie par le Consulat dépasse l’entendement. Loin des siens, les conditions financières de ces Etudiants appellent à une prise de conscience. Face à la situation de précarité grandissante, l’Association des Elèves Etudiants et Stagiaires Maliens en Algérie (AESMA) tire la sonnette d’alarme. Ayant quitté leur pays pour acquérir le savoir, ils sont nombreux à vouloir faire le chemin inverse sans aucun parchemin en poche. Et, pour cause, les moyens de subsistance que doit leur fournir l’Etat malien via le Consulat se font rares. Aller en Algérie pour acquérir le savoir, ils sont aujourd’hui nombreux les Etudiants qui bénéficient de la Bourse du Gouvernement à vouloir faire le chemin inverse sans obtenir leur Diplôme de fin d’Etudes. Car, ils manquent cruellement d’argent pour subvenir à leurs besoins.

- 08h39

Le gouverneur de Mopti interdit la circulation en moto dans la région Interdiction de circuler en moto dans la région de Mopti, c’est le gouverneur de la zone qui a pris cette décision pour lutter contre la recrudescence des terroristes dans la région qui utilisent ce moyen de transport pour disparaître rapidement. Ce n’est pas la première fois qu’une telle mesure est prise. Le gouverneur de la région de Ségou avait déjà interdit la circulation aux motos entre les villes de la région il y a quelques semaines. C’est au tour du gouverneur de Mopti, le colonel Sidi Samaké de prendre à peu près les mêmes dispositions. Les motos et les tricycles sont interdits de circulation la nuit entre 18h le soir et 6 h le matin entre les villes et villages de la région de Mopti.

- 08h39

Le gouverneur de Mopti interdit la circulation en moto dans la région Interdiction de circuler en moto dans la région de Mopti, c’est le gouverneur de la zone qui a pris cette décision pour lutter contre la recrudescence des terroristes dans la région qui utilisent ce moyen de transport pour disparaître rapidement. Ce n’est pas la première fois qu’une telle mesure est prise. Le gouverneur de la région de Ségou avait déjà interdit la circulation aux motos entre les villes de la région il y a quelques semaines. C’est au tour du gouverneur de Mopti, le colonel Sidi Samaké de prendre à peu près les mêmes dispositions. Les motos et les tricycles sont interdits de circulation la nuit entre 18h le soir et 6 h le matin entre les villes et villages de la région de Mopti.

- 08h10

Mali – Macina : des affrontements entre moudjahidines à milices Dozo (Zalaqa) Selon un communiqué de Zalaqa reçu à Alakhbar, des combats opposant, samedi dans le Macina au centre du Mali, des moudjahidines à des milices Dozo appuyées par l’armée malienne. Plusieurs dizaines de membres des milices Dozo ont été tuées ou blessées ». Aucun bilan relatif aux djihadistes n’a été donné. Les moudjahidines « ont emporté des dizaines de vélos, des armes et des minutions. Ils ont également brûlé des vélos et des véhicules appartenant aux milices Dozo », a noté Zalaqa.

- 08h10

Mali – Macina : des affrontements entre moudjahidines à milices Dozo (Zalaqa) Selon un communiqué de Zalaqa reçu à Alakhbar, des combats opposant, samedi dans le Macina au centre du Mali, des moudjahidines à des milices Dozo appuyées par l’armée malienne. Plusieurs dizaines de membres des milices Dozo ont été tuées ou blessées ». Aucun bilan relatif aux djihadistes n’a été donné. Les moudjahidines « ont emporté des dizaines de vélos, des armes et des minutions. Ils ont également brûlé des vélos et des véhicules appartenant aux milices Dozo », a noté Zalaqa.

- 07h31

Mali:Dix djihadistes tués et 8 arrêtés dans une vaste opération de l’armée dans le centre du pays Dix djihadistes ont été tués et 8 autres arrêtés dans une vaste opération des forces armées maliennes (FAMA) dans le centre du Mali, a annoncé dimanche la Direction de l’information et des relations publiques des armées (DIRPA). L’opération a été menée samedi de Sévaré à 20 km de Kouakourou (cercle de Djenné, région de Mopti), a précisé la DIRPA. L’armée a aussi annoncé la saisie des tenues militaires, des documents et 8 motos. Du côté des FAMA, on déplore deux blessés et un véhicule endommagé suite à l’explosion d’une mine, a indiqué la DIRPA.

- 07h31

Mali:Dix djihadistes tués et 8 arrêtés dans une vaste opération de l’armée dans le centre du pays Dix djihadistes ont été tués et 8 autres arrêtés dans une vaste opération des forces armées maliennes (FAMA) dans le centre du Mali, a annoncé dimanche la Direction de l’information et des relations publiques des armées (DIRPA). L’opération a été menée samedi de Sévaré à 20 km de Kouakourou (cercle de Djenné, région de Mopti), a précisé la DIRPA. L’armée a aussi annoncé la saisie des tenues militaires, des documents et 8 motos. Du côté des FAMA, on déplore deux blessés et un véhicule endommagé suite à l’explosion d’une mine, a indiqué la DIRPA.

jeudi 23 mars

- 16h00

Mali : 10 personnes tuées dans des affrontements inter communautaires. Des affrontements sont survenus mercredi 23 mars en début de soirée, entre Donsos et éleveurs Peuls, au moins 10 personnes ont trouvé la mort et 14 blessés évacués à Niono, dans le centre du Mali, à Sokolon, une localité située à plus de 300 kilomètres au nord de Bamako a appris une source au ministère de la sécurité.

- 16h00

Mali : 10 personnes tuées dans des affrontements inter communautaires. Des affrontements sont survenus mercredi 23 mars en début de soirée, entre Donsos et éleveurs Peuls, au moins 10 personnes ont trouvé la mort et 14 blessés évacués à Niono, dans le centre du Mali, à Sokolon, une localité située à plus de 300 kilomètres au nord de Bamako a appris une source au ministère de la sécurité.