jeudi 16 mai

- 11h07

La société canadienne B2Gold, détentrice à 80% de la mine d’or de Fékola, veut assurer son extension à travers un investissement de 50 millions de dollars. Après une année de production commerciale qui a dépassé les prévisions, la société canadienne souhaite développer ses activités au sein de la mine. Ainsi, la production annuelle d’or devrait s’élever à 550 000 onces entre 2020 et 2024 et à plus de 400 000 onces au cours des 7 années suivantes. « Nous avons une production aurifère projetée de 5 000 000 d’onces sur 12 ans d’extraction et de traitement sur la nouvelle mine, y compris en 2019 », selon un communiqué du groupe. Le volume de traitement annuel pour l’opération devrait également passer de 6 millions de tonnes à 7,5 millions. La durée du projet est estimée à 18 mois et concerne l’extension et la modernisation du traitement. Cette décision d’investir a été prise par la société après les résultats d’une évaluation préliminaire de l’expansion ayant suggéré un élargissement du parc de la mine et une modernisation de l’usine pour atteindre un traitement annuel supplémentaire de 1,5 million de tonnes.

- 11h07

La société canadienne B2Gold, détentrice à 80% de la mine d’or de Fékola, veut assurer son extension à travers un investissement de 50 millions de dollars. Après une année de production commerciale qui a dépassé les prévisions, la société canadienne souhaite développer ses activités au sein de la mine. Ainsi, la production annuelle d’or devrait s’élever à 550 000 onces entre 2020 et 2024 et à plus de 400 000 onces au cours des 7 années suivantes. « Nous avons une production aurifère projetée de 5 000 000 d’onces sur 12 ans d’extraction et de traitement sur la nouvelle mine, y compris en 2019 », selon un communiqué du groupe. Le volume de traitement annuel pour l’opération devrait également passer de 6 millions de tonnes à 7,5 millions. La durée du projet est estimée à 18 mois et concerne l’extension et la modernisation du traitement. Cette décision d’investir a été prise par la société après les résultats d’une évaluation préliminaire de l’expansion ayant suggéré un élargissement du parc de la mine et une modernisation de l’usine pour atteindre un traitement annuel supplémentaire de 1,5 million de tonnes.

mercredi 15 mai

- 11h15

Dans son dernier de poule dans le tournoi UFOA, l’équipe féminine du Mali s’est inclinée sur le score de 2-0 devant le Nigeria. La première place du groupe était en jeu entre les deux équipes qui avaient déjà assuré leur qualification pour les demi-finales de la compétition.

- 11h15

Dans son dernier de poule dans le tournoi UFOA, l’équipe féminine du Mali s’est inclinée sur le score de 2-0 devant le Nigeria. La première place du groupe était en jeu entre les deux équipes qui avaient déjà assuré leur qualification pour les demi-finales de la compétition.

mardi 14 mai

- 13h52

Les Aigles dames du Mali affrontent les Super Falcons du Nigéria ce mardi au Stade Robert Champroux à Abidjan en Côte d’Ivoire. C’est l’une des affiches les plus attendues de cette deuxième édition du tournoi UFOA Dames. Les maliennes vont devoir doublement mouiller le maillot pour passer à l’étape suivante en s’attribuant une victoire. Côté nigérianes, même si la vigilance est de mise, un match nul suffit aux Super Falcons pour se qualifier. Les demi-finalistes du tournoi UFOA Dames à l’issue de la deuxième journée des matchs de groupe sont : le Mali, le Nigéria, le Ghana et la Côte d’Ivoire.

- 13h52

Les Aigles dames du Mali affrontent les Super Falcons du Nigéria ce mardi au Stade Robert Champroux à Abidjan en Côte d’Ivoire. C’est l’une des affiches les plus attendues de cette deuxième édition du tournoi UFOA Dames. Les maliennes vont devoir doublement mouiller le maillot pour passer à l’étape suivante en s’attribuant une victoire. Côté nigérianes, même si la vigilance est de mise, un match nul suffit aux Super Falcons pour se qualifier. Les demi-finalistes du tournoi UFOA Dames à l’issue de la deuxième journée des matchs de groupe sont : le Mali, le Nigéria, le Ghana et la Côte d’Ivoire.

- 11h14

Les populations de Koulikoro, Sikasso, Ségou, Mopti, Tombouctou, Gao et Mopti vont bénéficier d’un financement de 7,33 milliards de FCFA. Cette donation de la Banque africaine de développement à notre pays le Mali va permettre à ces régions de réduire l’ensablement en gérant et traitant de façon efficiente et durable les 100 000 hectares de terres dégradées. Le fleuve Niger subit aussi les conséquences néfastes du changement climatique observé ces dernières années dans la sous région et dans le monde. De la perte des côtes à la fragilisation de la terre, le bassin du fleuve Niger vit au rythme du changement climatique. Si rien n’est fait pour renforcer la résilience, les populations riveraines vont rencontrer plus de difficultés d’adaptation les jours à venir.

- 11h14

Les populations de Koulikoro, Sikasso, Ségou, Mopti, Tombouctou, Gao et Mopti vont bénéficier d’un financement de 7,33 milliards de FCFA. Cette donation de la Banque africaine de développement à notre pays le Mali va permettre à ces régions de réduire l’ensablement en gérant et traitant de façon efficiente et durable les 100 000 hectares de terres dégradées. Le fleuve Niger subit aussi les conséquences néfastes du changement climatique observé ces dernières années dans la sous région et dans le monde. De la perte des côtes à la fragilisation de la terre, le bassin du fleuve Niger vit au rythme du changement climatique. Si rien n’est fait pour renforcer la résilience, les populations riveraines vont rencontrer plus de difficultés d’adaptation les jours à venir.

- 10h49

Au Mali, l’Association des élèves et étudiants (AEEM) a annoncé une grève de 96 heures à compter de ce mardi 14 au vendredi 17 mai 2019 dans tous les établissements de la région de Ségou. Un mot d’ordre de grève qui pourrait être renouvelable si la situation trouble du secteur de l’éducation ne trouve pas un point de sortie. En parlant de recherche de solutions, les attentes et les espoirs étaient suspendus samedi dernier lors de la rencontre annoncée entre gouvernement et sections syndicales de l’éducation. Mais la rencontre n’a pas eu le temps de fusionner pour donner naissance aux solutions qui pourraient apporter de la lumière à cette année scolaire toujours en ballotage alors que les élèves et étudiants entrent dans le dernier trimestre scolaire.

- 10h49

Au Mali, l’Association des élèves et étudiants (AEEM) a annoncé une grève de 96 heures à compter de ce mardi 14 au vendredi 17 mai 2019 dans tous les établissements de la région de Ségou. Un mot d’ordre de grève qui pourrait être renouvelable si la situation trouble du secteur de l’éducation ne trouve pas un point de sortie. En parlant de recherche de solutions, les attentes et les espoirs étaient suspendus samedi dernier lors de la rencontre annoncée entre gouvernement et sections syndicales de l’éducation. Mais la rencontre n’a pas eu le temps de fusionner pour donner naissance aux solutions qui pourraient apporter de la lumière à cette année scolaire toujours en ballotage alors que les élèves et étudiants entrent dans le dernier trimestre scolaire.

vendredi 10 mai

- 17h30

Après 4 mois de grève de la faim, les syndicats de cheminots et militants ont décidé de suspendre leur mot d’ordre de grève ce samedi. Cette décision intervient après l’implication du nouveau ministre des transports et de la mobilité urbaine ainsi que de la Secrétaire générale de la Centrale Démocratique des Travailleurs du Mali. Les nouvelles autorités ont promis de satisfaire les attentes des cheminots notamment les arriérés de l’année en cours et de 2018. Le dossier va certainement être rouvert après le mois béni ; en attendant la grève de la faim qui a commencé en décembre 2018 connait une suspension ce 11 mai 2019. A l’origine de la grève, la réclamation des arriérés de salaires et la relance de l’activité ferroviaire.

- 17h30

Après 4 mois de grève de la faim, les syndicats de cheminots et militants ont décidé de suspendre leur mot d’ordre de grève ce samedi. Cette décision intervient après l’implication du nouveau ministre des transports et de la mobilité urbaine ainsi que de la Secrétaire générale de la Centrale Démocratique des Travailleurs du Mali. Les nouvelles autorités ont promis de satisfaire les attentes des cheminots notamment les arriérés de l’année en cours et de 2018. Le dossier va certainement être rouvert après le mois béni ; en attendant la grève de la faim qui a commencé en décembre 2018 connait une suspension ce 11 mai 2019. A l’origine de la grève, la réclamation des arriérés de salaires et la relance de l’activité ferroviaire.

- 16h40

Placé sous la présidence du médiateur de la république Baba Akib Haidara, les syndicats des enseignants et des parents d’élèves vont tenter une nouvelle sortie de crise ce samedi 11 mai aux côtés du gouvernement. Objectif de la rencontre dite d’espoir pour sauver l’année scolaire en cours, discuter sur les revendications qui n’ont pas fait l’objet d’accord lors des dernières rencontres avec le gouvernement notamment, la prime de logement, la relecture du décret 529/P-RM du 21 juin 2013 portant allocation d’indemnité au personnel chargé des examens et concours professionnels en ses articles 1,2 et 3 et l’accès des enseignants fonctionnaires des collectivités aux services centraux de l’État . A noter que sur les dix points de revendications des syndicats, sept ont fait l’objet d’un accord avec le gouvernement. Cette rencontre convoquée par le gouvernement permettra certainement d’avoir une fin heureuse, du moins, l’espoir reste permis.

- 16h40

Placé sous la présidence du médiateur de la république Baba Akib Haidara, les syndicats des enseignants et des parents d’élèves vont tenter une nouvelle sortie de crise ce samedi 11 mai aux côtés du gouvernement. Objectif de la rencontre dite d’espoir pour sauver l’année scolaire en cours, discuter sur les revendications qui n’ont pas fait l’objet d’accord lors des dernières rencontres avec le gouvernement notamment, la prime de logement, la relecture du décret 529/P-RM du 21 juin 2013 portant allocation d’indemnité au personnel chargé des examens et concours professionnels en ses articles 1,2 et 3 et l’accès des enseignants fonctionnaires des collectivités aux services centraux de l’État . A noter que sur les dix points de revendications des syndicats, sept ont fait l’objet d’un accord avec le gouvernement. Cette rencontre convoquée par le gouvernement permettra certainement d’avoir une fin heureuse, du moins, l’espoir reste permis.

- 16h37

Après la remise le 9 mai 2019 du drapeau national à la sélection U20 de football par le ministre de la Jeunesse et des Sports Arouna Modibo Touré, les champions d’Afrique de football ont pris le départ pour la Pologne afin de participer à la Coupe du Monde FIFA qui se tiendra du 23 mai au 15 juin 2019. Les Aiglons du Mali évolueront dans le Groupe E en compagnie de la France, du Panama et de l’Arabie Saoudite.

- 16h37

Après la remise le 9 mai 2019 du drapeau national à la sélection U20 de football par le ministre de la Jeunesse et des Sports Arouna Modibo Touré, les champions d’Afrique de football ont pris le départ pour la Pologne afin de participer à la Coupe du Monde FIFA qui se tiendra du 23 mai au 15 juin 2019. Les Aiglons du Mali évolueront dans le Groupe E en compagnie de la France, du Panama et de l’Arabie Saoudite.

jeudi 25 avril

- 13h27

La Chancelière allemande Angela Merkel est annoncée les 1er et 2 mai 2019 à Ouagadougou pour une visite d’amitié et de travail. Selon la Direction de la communication de la présidence du Faso, au cours cette première visite d’un chancelier allemand au Burkina, Angela Merkel aura tout d’abord une rencontre bilatérale avec le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, avant de participer à un sommet extraordinaire du G5 Sahel. Au cours de ce séjour de 48 heures, la chancelière allemande aura une séance de travail avec les cinq chefs d’État des pays membres sur la question de la lutte contre le terrorisme et l’opérationnalisation de la force conjointe. « Les échanges vont également porter sur la problématique du développement dans les pays du G5, qui affichent l’ambition de faire du Sahel un espace intégré de développement et de sécurité », indique le communiqué de presse. Les annonces se multiplient autour de la force conjointe mais elles peinent encore à se matérialiser. Le 6 décembre 2018, Nouakchott accueillait le premier sommet extraordinaire du G5 Sahel, avec ses partenaires et bailleurs de fonds. La rencontre était destinée à mobiliser 2 milliards d’euros pour le financement de la première phase du Programme d’investissements prioritaires du G5 Sahel. Mais un mois après cette rencontre, le général commandant de la force, le Mauritanien Hanana Ould Sidi regrettait toujours le manque de moyens. « On attend toujours des moyens, qui tardent à venir, parce que plus nous en aurons, plus notre efficacité va croître ».

- 13h27

La Chancelière allemande Angela Merkel est annoncée les 1er et 2 mai 2019 à Ouagadougou pour une visite d’amitié et de travail. Selon la Direction de la communication de la présidence du Faso, au cours cette première visite d’un chancelier allemand au Burkina, Angela Merkel aura tout d’abord une rencontre bilatérale avec le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, avant de participer à un sommet extraordinaire du G5 Sahel. Au cours de ce séjour de 48 heures, la chancelière allemande aura une séance de travail avec les cinq chefs d’État des pays membres sur la question de la lutte contre le terrorisme et l’opérationnalisation de la force conjointe. « Les échanges vont également porter sur la problématique du développement dans les pays du G5, qui affichent l’ambition de faire du Sahel un espace intégré de développement et de sécurité », indique le communiqué de presse. Les annonces se multiplient autour de la force conjointe mais elles peinent encore à se matérialiser. Le 6 décembre 2018, Nouakchott accueillait le premier sommet extraordinaire du G5 Sahel, avec ses partenaires et bailleurs de fonds. La rencontre était destinée à mobiliser 2 milliards d’euros pour le financement de la première phase du Programme d’investissements prioritaires du G5 Sahel. Mais un mois après cette rencontre, le général commandant de la force, le Mauritanien Hanana Ould Sidi regrettait toujours le manque de moyens. « On attend toujours des moyens, qui tardent à venir, parce que plus nous en aurons, plus notre efficacité va croître ».

- 13h26

Bientôt une plus grande implication de la Russie au Mali ? C’est ce qui a été demandé le 18 avril par le Groupe des patriotes du Mali (GPM), qui milite activement dans ce sens, à l’ambassadeur de la fédération de Russie au Mali, Alexeï Doulian. Celui-ci a affirmé que son pays restait attaché à l’unité du Mali et l’a assuré de la disponibilité de la Russie à l’accompagner afin de l’aider à sortir du gouffre dans lequel il est plongé depuis des années. C’est dans cadre que l’ambassadeur a annoncé la signature dans les prochains jours d’un accord de défense et de coopération militaire entre Bamako et Moscou. Il a reçu l’aval des plus hautes autorités russes et le décret a été signé le mois dernier par le Premier ministre Dmitri Medvedev. «Ce nouveau pas dans ce domaine sensible favorisera le renforcement combatif des forces armées du Mali», a assuré SE Doulian. Des armements seront très prochainement livrés, suivis d’instructeurs russes. Il a également annoncé une visite prochaine des ministres de la Défense et des Affaires étrangères maliens à Moscou.

- 13h26

Bientôt une plus grande implication de la Russie au Mali ? C’est ce qui a été demandé le 18 avril par le Groupe des patriotes du Mali (GPM), qui milite activement dans ce sens, à l’ambassadeur de la fédération de Russie au Mali, Alexeï Doulian. Celui-ci a affirmé que son pays restait attaché à l’unité du Mali et l’a assuré de la disponibilité de la Russie à l’accompagner afin de l’aider à sortir du gouffre dans lequel il est plongé depuis des années. C’est dans cadre que l’ambassadeur a annoncé la signature dans les prochains jours d’un accord de défense et de coopération militaire entre Bamako et Moscou. Il a reçu l’aval des plus hautes autorités russes et le décret a été signé le mois dernier par le Premier ministre Dmitri Medvedev. «Ce nouveau pas dans ce domaine sensible favorisera le renforcement combatif des forces armées du Mali», a assuré SE Doulian. Des armements seront très prochainement livrés, suivis d’instructeurs russes. Il a également annoncé une visite prochaine des ministres de la Défense et des Affaires étrangères maliens à Moscou.

jeudi 18 avril

- 09h36

Le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM) revendique dans un communiqué en date du 16 avril plusieurs attaques menées à travers des engins explosifs improvisés (EID) dans les régions de Tombouctou et Mopti. Ces attaques visaient les forces armées maliennes et la MINUSMA. Au cours de deux dernières semaines, trois ont été perpétrées. Le 4 avril, une attaque a visé les FAMAs entre Tombouctou et Bambara Maoudé. Trois soldats auraient été tués, selon le communiqué du groupe. Le 9 avril, entre Soumbi et Boni, dans la région de Mopti, une double attaque a ciblé la MINUSMA, sans faire des victimes. Trois jours plus tard, le 12 avril, un autre EID a visé la mission de la paix entre Douentza et Boni. Ces engins demeurent extrêmement dangereux et font régulièrement des victimes, aussi bien parmi les militaires que les populations civiles. Malgré les opérations de la force antidjihadiste Barkhane, ce groupe garde donc une capacité de régénérescence. L’un des cadres de cette organisation, tué en février dernier par Barkhane, vient d’être remplacé, selon des sources sécuritaires, par l’Algérien Abou Oussama, émir d’Alfourghane.

- 09h36

Le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM) revendique dans un communiqué en date du 16 avril plusieurs attaques menées à travers des engins explosifs improvisés (EID) dans les régions de Tombouctou et Mopti. Ces attaques visaient les forces armées maliennes et la MINUSMA. Au cours de deux dernières semaines, trois ont été perpétrées. Le 4 avril, une attaque a visé les FAMAs entre Tombouctou et Bambara Maoudé. Trois soldats auraient été tués, selon le communiqué du groupe. Le 9 avril, entre Soumbi et Boni, dans la région de Mopti, une double attaque a ciblé la MINUSMA, sans faire des victimes. Trois jours plus tard, le 12 avril, un autre EID a visé la mission de la paix entre Douentza et Boni. Ces engins demeurent extrêmement dangereux et font régulièrement des victimes, aussi bien parmi les militaires que les populations civiles. Malgré les opérations de la force antidjihadiste Barkhane, ce groupe garde donc une capacité de régénérescence. L’un des cadres de cette organisation, tué en février dernier par Barkhane, vient d’être remplacé, selon des sources sécuritaires, par l’Algérien Abou Oussama, émir d’Alfourghane.

- 09h35

Le partenariat entre l’Europe et les pays en voie de développement pour les essais cliniques (EDCTP) a accordé un nouveau financement de 10 millions d’euros sur cinq ans visant à soutenir les essais cliniques en phase finale d’une combinaison de médicaments antipaludiques de nouvelle génération comprenant le composé KAF156, a-t-on appris dans un communiqué de APO Group, le lundi 15 avril 2019. Ces essais seront réalisés dans quatre pays d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale, le Burkina Faso, le Gabon, le Mali et le Niger. Dirigées par le consortium WANECAM (Réseau d’Afrique de l’Ouest pour les essais cliniques sur les médicaments antipaludiques), 10 organisations universitaires basées en Afrique et en Europe collaboreront avec l’organisme à but non lucratif « Medicines for Malaria Venture » (MMV) et la société pharmaceutique Novartis pour développer son composé KAF156 en combinaison avec une nouvelle formulation de luméfantrine. « Nous accueillons favorablement le soutien généreux de l’EDCTP et sommes reconnaissants de son engagement à long terme en faveur du développement clinique en Afrique et plus particulièrement de son soutien à la recherche clinique dans les maladies sévères comme le paludisme », a indiqué le Professeur Abdoulaye Djimdé de l’USTTB, Coordinateur du groupe WANECAM. Pour rappel, le plus récent Rapport mondial sur le paludisme, en 2018, a confirmé une stagnation des progrès réalisés dans le cadre de la lutte contre la maladie pour la deuxième année consécutive. L’objectif de ce nouveau financement est de faire progresser le développement d’une nouvelle thérapie antipaludique indispensable, tout en renforçant les capacités de développement d’essais cliniques en Afrique.

- 09h35

Le partenariat entre l’Europe et les pays en voie de développement pour les essais cliniques (EDCTP) a accordé un nouveau financement de 10 millions d’euros sur cinq ans visant à soutenir les essais cliniques en phase finale d’une combinaison de médicaments antipaludiques de nouvelle génération comprenant le composé KAF156, a-t-on appris dans un communiqué de APO Group, le lundi 15 avril 2019. Ces essais seront réalisés dans quatre pays d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale, le Burkina Faso, le Gabon, le Mali et le Niger. Dirigées par le consortium WANECAM (Réseau d’Afrique de l’Ouest pour les essais cliniques sur les médicaments antipaludiques), 10 organisations universitaires basées en Afrique et en Europe collaboreront avec l’organisme à but non lucratif « Medicines for Malaria Venture » (MMV) et la société pharmaceutique Novartis pour développer son composé KAF156 en combinaison avec une nouvelle formulation de luméfantrine. « Nous accueillons favorablement le soutien généreux de l’EDCTP et sommes reconnaissants de son engagement à long terme en faveur du développement clinique en Afrique et plus particulièrement de son soutien à la recherche clinique dans les maladies sévères comme le paludisme », a indiqué le Professeur Abdoulaye Djimdé de l’USTTB, Coordinateur du groupe WANECAM. Pour rappel, le plus récent Rapport mondial sur le paludisme, en 2018, a confirmé une stagnation des progrès réalisés dans le cadre de la lutte contre la maladie pour la deuxième année consécutive. L’objectif de ce nouveau financement est de faire progresser le développement d’une nouvelle thérapie antipaludique indispensable, tout en renforçant les capacités de développement d’essais cliniques en Afrique.

vendredi 12 avril

- 09h42

Dans un communiqué rendu public le mardi 9 avril, le mouvement Dan Na Ambassagou fait part de son opposition au processus de Désarmement, démobilisation et réintégration (DDR). Signé de son porte-parole, Marcelin Guenguere, le communiqué précise qu’il « n’est pas disposé à participer à cette opération (DDR) sous sa forme actuelle, car une paix durable ne se décrète pas, elle se négocie ». « Les conditions actuelles ne sont pas assez favorables pour procéder à un DDR juste et fructueux, il faut d’abord désarmer les cœurs avant de désarmer les mains », peut-on lire. La milice dirigée par Youssouf Toloba liste dans le document un certain nombre de points, dont l’identification et la maitrise de tous les acteurs sur le terrain, le dialogue direct avec les milices, leur désarmement dans le même temps ou encore la signature d’un accord de paix (liste non exhaustive). Elle exhorte le gouvernement à adopter ces différentes mesures. La milice se dit respectueuse des engagements pris avec le gouvernement et ses partenaires pour le cessez-le-feu et assure rester ouverte à un dialogue avec tous les acteurs dans le cadre de la recherche de la paix et de la cohésion. Au lendemain de la tuerie de 160 civils à Ogossagou (centre), le 23 mars dernier, le gouvernement avait annoncé la dissolution de l’association Dan Na Ambassagou, soupçonnée par certains d’être l’auteur de ce carnage. L’association a catégoriquement rejeté cette accusation, niant une quelconque implication dans ces tueries.

- 09h42

Dans un communiqué rendu public le mardi 9 avril, le mouvement Dan Na Ambassagou fait part de son opposition au processus de Désarmement, démobilisation et réintégration (DDR). Signé de son porte-parole, Marcelin Guenguere, le communiqué précise qu’il « n’est pas disposé à participer à cette opération (DDR) sous sa forme actuelle, car une paix durable ne se décrète pas, elle se négocie ». « Les conditions actuelles ne sont pas assez favorables pour procéder à un DDR juste et fructueux, il faut d’abord désarmer les cœurs avant de désarmer les mains », peut-on lire. La milice dirigée par Youssouf Toloba liste dans le document un certain nombre de points, dont l’identification et la maitrise de tous les acteurs sur le terrain, le dialogue direct avec les milices, leur désarmement dans le même temps ou encore la signature d’un accord de paix (liste non exhaustive). Elle exhorte le gouvernement à adopter ces différentes mesures. La milice se dit respectueuse des engagements pris avec le gouvernement et ses partenaires pour le cessez-le-feu et assure rester ouverte à un dialogue avec tous les acteurs dans le cadre de la recherche de la paix et de la cohésion. Au lendemain de la tuerie de 160 civils à Ogossagou (centre), le 23 mars dernier, le gouvernement avait annoncé la dissolution de l’association Dan Na Ambassagou, soupçonnée par certains d’être l’auteur de ce carnage. L’association a catégoriquement rejeté cette accusation, niant une quelconque implication dans ces tueries.

- 09h39

Lors de la 44ème réunion annuelle du Groupe de la Banque islamique de développement, du 3 au 6 avril au Maroc, la BADEA et le G5 Sahel ont élargi leur coopération. Lors de la réunion du Groupe de coordination arabe (GCA), au Koweït du 15 au 16 janvier 2019, la BADEA et les autres membres avaient manifesté leur intérêt pour cinq projets d’infrastructures routières, d’un montant total de 323,88 millions de dollars. Il s’agit des routes Djibo – Baraboulé – Frontière du Mali (Burkina Faso) pour 28,54 millions, Sandara – Nioro (Mali) pour 58 millions, Tidjikja – Kiffa – Kankossa – Sélibaby – Khabou (Mauritanie) pour 62,78 millions, Keita – Tamaske – Kolloma – Tahoua (Niger) pour 26,24 millions et Liwa – Rig Rig et Ngouri – Mao (Tchad) pour 148,32 millions. Cette nouvelle contribution de la BADEA entre dans la mise en œuvre du Programme d’investissements prioritaires (PIP), pour 40 projets du G5 Sahel, d’un montant total de 1,9 milliard d’euros. Ces différentes infrastructures favoriseront la prospérité et l’intégration régionale et constitueront un investissement à impact durable.

- 09h39

Lors de la 44ème réunion annuelle du Groupe de la Banque islamique de développement, du 3 au 6 avril au Maroc, la BADEA et le G5 Sahel ont élargi leur coopération. Lors de la réunion du Groupe de coordination arabe (GCA), au Koweït du 15 au 16 janvier 2019, la BADEA et les autres membres avaient manifesté leur intérêt pour cinq projets d’infrastructures routières, d’un montant total de 323,88 millions de dollars. Il s’agit des routes Djibo – Baraboulé – Frontière du Mali (Burkina Faso) pour 28,54 millions, Sandara – Nioro (Mali) pour 58 millions, Tidjikja – Kiffa – Kankossa – Sélibaby – Khabou (Mauritanie) pour 62,78 millions, Keita – Tamaske – Kolloma – Tahoua (Niger) pour 26,24 millions et Liwa – Rig Rig et Ngouri – Mao (Tchad) pour 148,32 millions. Cette nouvelle contribution de la BADEA entre dans la mise en œuvre du Programme d’investissements prioritaires (PIP), pour 40 projets du G5 Sahel, d’un montant total de 1,9 milliard d’euros. Ces différentes infrastructures favoriseront la prospérité et l’intégration régionale et constitueront un investissement à impact durable.

jeudi 04 avril

- 15h44

Hier mercredi 03 avril 2019, aux environs de 19 heures, les villages de Tégrou, Ogossagou dans la commune de Badiangara et Kobadiè dans celle de Diankabou ont été attaqués par des individus armés, selon un communiqué signé du Colonel Diarran Koné, directeur de la DIRPA. L’intervention rapide des hélicos FAMa a mis en déroute les assaillants, pendant que les forces terrestres intervenaient à Tegrou et à Kobadiè, précise le communiqué. Nous déplorons la mort d’un civil et des dégâts matériels à Tegrou Les détachements FAMa et MUNUSMA contrôlent respectivement les villages de Ogossagou et de Kobadiè. Les deux forces poursuivent la fouille.

- 15h44

Hier mercredi 03 avril 2019, aux environs de 19 heures, les villages de Tégrou, Ogossagou dans la commune de Badiangara et Kobadiè dans celle de Diankabou ont été attaqués par des individus armés, selon un communiqué signé du Colonel Diarran Koné, directeur de la DIRPA. L’intervention rapide des hélicos FAMa a mis en déroute les assaillants, pendant que les forces terrestres intervenaient à Tegrou et à Kobadiè, précise le communiqué. Nous déplorons la mort d’un civil et des dégâts matériels à Tegrou Les détachements FAMa et MUNUSMA contrôlent respectivement les villages de Ogossagou et de Kobadiè. Les deux forces poursuivent la fouille.

- 14h50

L’Union européenne a remis aux autorités maliennes, le mardi 2 avril à Bamako, un avion de reconnaissance qui va permettre de renforcer les actions de défense et de sécurité sur le territoire, en particulier dans le centre. L’avion, un Cessna 208, a été remis lors d’une cérémonie à la Base aérienne de Sénou, en présence de l’Ambassadeur de l’Union européenne, Alain Holleville, du ministre de la Défense et des anciens combattants, Pr Tiémoko Sangaré, du secrétaire général du ministère de la Sécurité et de la protection civile et du Chef d’État-major des Armées, le Général de division Abdoulaye Coulibaly, entre autres. L’appareil, considéré comme très performant par sa vitesse, sa fiabilité et son équipement de haute technologie, est livré avec des équipements de pointe et les formations requises pour un montant total de 5 millions d’euros (soit environ 3,3 milliards de francs CFA), dans le cadre du Programme d’appui au renforcement de la sécurité dans les régions de Mopti et Gao et à la gestion des zones frontalières (PARSEC). Il sera déployé à l’aéroport de Mopti Sévaré.

- 14h50

L’Union européenne a remis aux autorités maliennes, le mardi 2 avril à Bamako, un avion de reconnaissance qui va permettre de renforcer les actions de défense et de sécurité sur le territoire, en particulier dans le centre. L’avion, un Cessna 208, a été remis lors d’une cérémonie à la Base aérienne de Sénou, en présence de l’Ambassadeur de l’Union européenne, Alain Holleville, du ministre de la Défense et des anciens combattants, Pr Tiémoko Sangaré, du secrétaire général du ministère de la Sécurité et de la protection civile et du Chef d’État-major des Armées, le Général de division Abdoulaye Coulibaly, entre autres. L’appareil, considéré comme très performant par sa vitesse, sa fiabilité et son équipement de haute technologie, est livré avec des équipements de pointe et les formations requises pour un montant total de 5 millions d’euros (soit environ 3,3 milliards de francs CFA), dans le cadre du Programme d’appui au renforcement de la sécurité dans les régions de Mopti et Gao et à la gestion des zones frontalières (PARSEC). Il sera déployé à l’aéroport de Mopti Sévaré.

- 14h48

Les compagnies Desert Gold et Ashanti Gold ont conclu un accord de fusion définitif selon lequel la première acquiert tout le capital-actions de la seconde. La transaction leur permettra de combiner leurs propriétés d’exploration adjacentes au Mali. Les termes convenus dans l’accord définitif sont identiques à ceux de la lettre d’intention annoncée en mars dernier. Ainsi, le montant de la transaction est évalué à 3,8 millions de dollars canadiens, soit une prime de 28,5% par rapport au cours de clôture des actions d’Ashanti le 8 mars dernier à la bourse TSXV. « L’accord définitif suit la lettre d’intention annoncée en mars dernier et les deux équipes avancent vers la clôture de cette transaction, ce qui leur permettra de développer les propriétés combinées », a commenté Tim Mc Cutcheon, PDG d’Ashanti. « Cette transaction est une opportunité intéressante pour les actionnaires d’Ashanti de faire partie d’un ensemble plus vaste de propriétés […], ce qui diminue les risques et augmente l’attrait de l’ensemble des propriétés pour les investisseurs », a-t-il ajouté. Ashanti Gold détient au Mali le projet Kossanto East, tandis que Desert Gold possède des permis couvrant 309 km2 dans le pays.

- 14h48

Les compagnies Desert Gold et Ashanti Gold ont conclu un accord de fusion définitif selon lequel la première acquiert tout le capital-actions de la seconde. La transaction leur permettra de combiner leurs propriétés d’exploration adjacentes au Mali. Les termes convenus dans l’accord définitif sont identiques à ceux de la lettre d’intention annoncée en mars dernier. Ainsi, le montant de la transaction est évalué à 3,8 millions de dollars canadiens, soit une prime de 28,5% par rapport au cours de clôture des actions d’Ashanti le 8 mars dernier à la bourse TSXV. « L’accord définitif suit la lettre d’intention annoncée en mars dernier et les deux équipes avancent vers la clôture de cette transaction, ce qui leur permettra de développer les propriétés combinées », a commenté Tim Mc Cutcheon, PDG d’Ashanti. « Cette transaction est une opportunité intéressante pour les actionnaires d’Ashanti de faire partie d’un ensemble plus vaste de propriétés […], ce qui diminue les risques et augmente l’attrait de l’ensemble des propriétés pour les investisseurs », a-t-il ajouté. Ashanti Gold détient au Mali le projet Kossanto East, tandis que Desert Gold possède des permis couvrant 309 km2 dans le pays.

- 14h46

Alors que le Canada est catégorique concernant le retrait de ses troupes au Mali fin juillet 2019, la Norvège vient d’annoncer son soutien à la MINUSMA pour deux années supplémentaires, jusqu’en 2022. « La Norvège soutient l’ONU dans la lutte contre l’extrémisme violent. La force des Nations Unies au Mali est un facteur clé du travail en faveur de la stabilité dans la région », a déclaré le Vice-ministre norvégien de la Défense, Tone Skogen, lors de la réunion ministérielle des Nations Unies sur les opérations de maintien de la paix à New York, le 29 mars. Ce pays contributeur compte actuellement 15 soldats au Mali et, en mai de cette année, il fournira un avion de transport à l’opération de l’ONU pour six mois. L’envoi de cet appareil s’inscrit dans un concept multinational de rotation dans lequel la Norvège, le Danemark, la Belgique et le Portugal fournissent actuellement un avion sur une base rotative. « Le transport routier au Mali est à la fois difficile et dangereux et prend du temps en raison des distances énormes. L’accès à un avion de transport est donc important pour la sécurité du personnel au Mali », a justifié le Vice-ministre de la Défense. La Norvège participe à la MINUSMA depuis sa création, en 2013. Aujourd’hui, elle compte six officiers au quartier général de la MINUSMA et neuf autres chargés de la base aérienne de Camp Bifrost. Tous les avions des différents pays qui servent à la MINUSMA sont basés dans ce camp norvégien.

- 14h46

Alors que le Canada est catégorique concernant le retrait de ses troupes au Mali fin juillet 2019, la Norvège vient d’annoncer son soutien à la MINUSMA pour deux années supplémentaires, jusqu’en 2022. « La Norvège soutient l’ONU dans la lutte contre l’extrémisme violent. La force des Nations Unies au Mali est un facteur clé du travail en faveur de la stabilité dans la région », a déclaré le Vice-ministre norvégien de la Défense, Tone Skogen, lors de la réunion ministérielle des Nations Unies sur les opérations de maintien de la paix à New York, le 29 mars. Ce pays contributeur compte actuellement 15 soldats au Mali et, en mai de cette année, il fournira un avion de transport à l’opération de l’ONU pour six mois. L’envoi de cet appareil s’inscrit dans un concept multinational de rotation dans lequel la Norvège, le Danemark, la Belgique et le Portugal fournissent actuellement un avion sur une base rotative. « Le transport routier au Mali est à la fois difficile et dangereux et prend du temps en raison des distances énormes. L’accès à un avion de transport est donc important pour la sécurité du personnel au Mali », a justifié le Vice-ministre de la Défense. La Norvège participe à la MINUSMA depuis sa création, en 2013. Aujourd’hui, elle compte six officiers au quartier général de la MINUSMA et neuf autres chargés de la base aérienne de Camp Bifrost. Tous les avions des différents pays qui servent à la MINUSMA sont basés dans ce camp norvégien.

lundi 01 avril

- 15h11

L’Office central des stupéfiants du Mali (OCS) annonce, dans un communiqué avoir saisi, vendredi 29 mars, six kilogrammes d’héroïne d’une valeur de 250 millions de FCFA sur une passagère « de nationalité tanzanienne » en provenance de Johannesburg (Afrique du Sud).La mise en cause, âgée de 26 ans et répondant au nom de Liliane Emanuel Paula, avait « dissimulé la drogue dans le double fond de sa valise », précise l’OCS, ajoutant que la marchandise avait une autre destination que le Mali. Cette saisie à bord d’un vol de Rwanda Air constitue la première du genre opérée en 2019 à l’aéroport international président Mobibo Keita-Senou de Bamako. Les enquêtes se poursuivent pour trouver d’éventuels suspects liés à cette affaire.

- 15h11

L’Office central des stupéfiants du Mali (OCS) annonce, dans un communiqué avoir saisi, vendredi 29 mars, six kilogrammes d’héroïne d’une valeur de 250 millions de FCFA sur une passagère « de nationalité tanzanienne » en provenance de Johannesburg (Afrique du Sud).La mise en cause, âgée de 26 ans et répondant au nom de Liliane Emanuel Paula, avait « dissimulé la drogue dans le double fond de sa valise », précise l’OCS, ajoutant que la marchandise avait une autre destination que le Mali. Cette saisie à bord d’un vol de Rwanda Air constitue la première du genre opérée en 2019 à l’aéroport international président Mobibo Keita-Senou de Bamako. Les enquêtes se poursuivent pour trouver d’éventuels suspects liés à cette affaire.

vendredi 29 mars

- 10h42

Le gouvernement a décrété trois jours de deuil national en hommage aux victimes de l’attaque du village de Ogossagou ayant fait 160 morts le week-end dernier au centre du pays, selon un décret rendu public jeudi. »Un deuil national de trois jours, à compter du vendredi 29 mars à zéro heure, sera observé sur toute l’étendue du territoire national en hommage aux victimes de l’attaque terroriste perpétrée le 23 mars contre les populations du village de Ogossagou dans le cercle de Bankass », informe le décret signé par le président Ibrahima Boubacar Keita.

- 10h42

Le gouvernement a décrété trois jours de deuil national en hommage aux victimes de l’attaque du village de Ogossagou ayant fait 160 morts le week-end dernier au centre du pays, selon un décret rendu public jeudi. »Un deuil national de trois jours, à compter du vendredi 29 mars à zéro heure, sera observé sur toute l’étendue du territoire national en hommage aux victimes de l’attaque terroriste perpétrée le 23 mars contre les populations du village de Ogossagou dans le cercle de Bankass », informe le décret signé par le président Ibrahima Boubacar Keita.

vendredi 22 mars

- 10h16

Le bureau de coordination nationale de l’Association des élèves et étudiants du Mali, (AEEM) organise du 21 au 23 mars 2019 la 18ème édition de la Semaine nationale des élèves et étudiants du Mali, sur la colline de Badalabougou. Différentes activités sont au programmes durant ces journées culturelles, à savoir des compétitions de sketches, des concours de Miss ou encore des chorégraphies inter-universités, écoles et instituts. Pour les écoles participantes, on peut citer l’Ensup et l’ENI. Quant aux instituts, l’INFPS, l’INFSS, l’INA, l’INGS et l’IPR seront également représentées. Concernant les facultés des autres universités de Bamako, l’ULSHB, l’USJPB, la FST, la FMOS, et l’USGB prendront aussi part aux différentes activités, ainsi que l’Université de Ségou. « Rôle de l’AEEM dans la lutte contre la violence en milieu universitaire », c’est le thème choisi cette année pour ce rendez-vous annuel. « Nous voulons montrer aux camardes que la violence ne sert à rien et c’est également une méthode pour essayer de la bannir au sein de notre espace », souligne Balla Guindo, président de la Commission d’organisation. La soirée de clôture, fixée au 23 mars 2019 à partir de 21h, se déroulera sous l’Acropole de la FST, avec au menu l’élection de la Miss, suivie d’un diner de gala. La Semaine des élèves et étudiants du Mali est organisée chaque année pour accroitre l’expression culturelle des jeunes dans le monde estudiantin.

- 10h16

Le bureau de coordination nationale de l’Association des élèves et étudiants du Mali, (AEEM) organise du 21 au 23 mars 2019 la 18ème édition de la Semaine nationale des élèves et étudiants du Mali, sur la colline de Badalabougou. Différentes activités sont au programmes durant ces journées culturelles, à savoir des compétitions de sketches, des concours de Miss ou encore des chorégraphies inter-universités, écoles et instituts. Pour les écoles participantes, on peut citer l’Ensup et l’ENI. Quant aux instituts, l’INFPS, l’INFSS, l’INA, l’INGS et l’IPR seront également représentées. Concernant les facultés des autres universités de Bamako, l’ULSHB, l’USJPB, la FST, la FMOS, et l’USGB prendront aussi part aux différentes activités, ainsi que l’Université de Ségou. « Rôle de l’AEEM dans la lutte contre la violence en milieu universitaire », c’est le thème choisi cette année pour ce rendez-vous annuel. « Nous voulons montrer aux camardes que la violence ne sert à rien et c’est également une méthode pour essayer de la bannir au sein de notre espace », souligne Balla Guindo, président de la Commission d’organisation. La soirée de clôture, fixée au 23 mars 2019 à partir de 21h, se déroulera sous l’Acropole de la FST, avec au menu l’élection de la Miss, suivie d’un diner de gala. La Semaine des élèves et étudiants du Mali est organisée chaque année pour accroitre l’expression culturelle des jeunes dans le monde estudiantin.

- 09h40

Le Conseil de sécurité des Nations Unies est en visite au Mali ce vendredi. Il tiendra une conférence de presse demain à l’hôtel Sheraton pour faire part de ses observations sur l’Accord pour la paix et la réconciliation. L’organe de l’Organisation des Nations, sous présidence française, a indiqué il y a un mois se rendre en mars au Mali et au Burkina Faso, où la situation sécuritaire demeure préoccupante. Aucune date spécifique n’avait alors été arrêtée, mais à l’issue des travaux de la 33ème session du CSA, qui a pris fin le 18 mars, la Représentante spéciale adjointe du SG de l’ONU, Mme Joanne Adamson, a indiqué que le « rapport du Secrétaire général des Nations Unies sera sujet à discussion le 29 mars 2019 à New-York, et précédé d’une visite du Conseil de sécurité au Mali. Dans ce rapport, nous avons constaté des progrès depuis 6 mois », a-t-elle ajouté. À la mi-janvier, les membres du Conseil de sécurité avaient affirmé dans une déclaration adoptée à l’unanimité être « de plus en plus impatients » à l’égard des parties maliennes face aux retards pris dans l’application de l’accord de 2015. « Davantage a été accompli au cours des six derniers mois que depuis l’Accord de 2015 », affirme Antonio Gutteres, le Secrétaire général de l’ONU. Toutefois, il souligne que « malgré l’importance des initiatives prises au niveau international, les conditions de sécurité ont continué de se dégrader, ainsi qu’en témoigne l’augmentation du nombre d’attaques terroristes visant les forces nationales et internationales, la MINUSMA et la population civile depuis 2016 (183 attaques en 2016, 226 en 2017 et 237 en 2018) ».

- 09h40

Le Conseil de sécurité des Nations Unies est en visite au Mali ce vendredi. Il tiendra une conférence de presse demain à l’hôtel Sheraton pour faire part de ses observations sur l’Accord pour la paix et la réconciliation. L’organe de l’Organisation des Nations, sous présidence française, a indiqué il y a un mois se rendre en mars au Mali et au Burkina Faso, où la situation sécuritaire demeure préoccupante. Aucune date spécifique n’avait alors été arrêtée, mais à l’issue des travaux de la 33ème session du CSA, qui a pris fin le 18 mars, la Représentante spéciale adjointe du SG de l’ONU, Mme Joanne Adamson, a indiqué que le « rapport du Secrétaire général des Nations Unies sera sujet à discussion le 29 mars 2019 à New-York, et précédé d’une visite du Conseil de sécurité au Mali. Dans ce rapport, nous avons constaté des progrès depuis 6 mois », a-t-elle ajouté. À la mi-janvier, les membres du Conseil de sécurité avaient affirmé dans une déclaration adoptée à l’unanimité être « de plus en plus impatients » à l’égard des parties maliennes face aux retards pris dans l’application de l’accord de 2015. « Davantage a été accompli au cours des six derniers mois que depuis l’Accord de 2015 », affirme Antonio Gutteres, le Secrétaire général de l’ONU. Toutefois, il souligne que « malgré l’importance des initiatives prises au niveau international, les conditions de sécurité ont continué de se dégrader, ainsi qu’en témoigne l’augmentation du nombre d’attaques terroristes visant les forces nationales et internationales, la MINUSMA et la population civile depuis 2016 (183 attaques en 2016, 226 en 2017 et 237 en 2018) ».

jeudi 14 mars

- 17h50

Dans le cadre de ses journées annuelles dénommées « Coris Days », Coris Bank International Mali a procédé jeudi 14 mars 2019 à des remises de dons à l’endroit de la Protection civile du Mali et de la Direction du service social des armées. D’une valeur totale combinée de 8 millions FCFA, ces dons composés, non seulement de vivres en mais aussi de matériels de bureau et d’équipements de travail sont respectivement destinés aux veuves des militaires et aux agents de la protection civile.

- 17h50

Dans le cadre de ses journées annuelles dénommées « Coris Days », Coris Bank International Mali a procédé jeudi 14 mars 2019 à des remises de dons à l’endroit de la Protection civile du Mali et de la Direction du service social des armées. D’une valeur totale combinée de 8 millions FCFA, ces dons composés, non seulement de vivres en mais aussi de matériels de bureau et d’équipements de travail sont respectivement destinés aux veuves des militaires et aux agents de la protection civile.

- 10h31

Le Mali sera à l’honneur du Village international de la gastronomie et des cuisines populaires, du 21 au 24 mars 2019 au pied de la Tour Eiffel, sublime écrin pour magnifier le pays, sa cuisine, sa culture. Autour de la cheffe Fatoumata Kouyaté, qui propose des services traiteur, les participants seront invités à se délecter de plats maliens. Créé en 2016 pour la fête de la gastronomie, le village porte le désir de reprocher les pays autour de la gastronomie populaire. Trois jours d’échanges, de rencontres, de shows et de conférences. 80 pays participent à l’édition 2019. Selon Anne Laure Descombin, conceptrice de l’évènement, « il rassemble les peuples, permet le métissage culinaire, culturel. Il nous fait revisiter le folklore de chacun dees pays. Avec la présence des plus grands chefs français et étrangers, cet événement est une invitation au voyage, une découverte par la porte de la cuisine ».

- 10h31

Le Mali sera à l’honneur du Village international de la gastronomie et des cuisines populaires, du 21 au 24 mars 2019 au pied de la Tour Eiffel, sublime écrin pour magnifier le pays, sa cuisine, sa culture. Autour de la cheffe Fatoumata Kouyaté, qui propose des services traiteur, les participants seront invités à se délecter de plats maliens. Créé en 2016 pour la fête de la gastronomie, le village porte le désir de reprocher les pays autour de la gastronomie populaire. Trois jours d’échanges, de rencontres, de shows et de conférences. 80 pays participent à l’édition 2019. Selon Anne Laure Descombin, conceptrice de l’évènement, « il rassemble les peuples, permet le métissage culinaire, culturel. Il nous fait revisiter le folklore de chacun dees pays. Avec la présence des plus grands chefs français et étrangers, cet événement est une invitation au voyage, une découverte par la porte de la cuisine ».

- 10h26

Le 11 mars s’est tenue à Nouackchott, en Mauritanie, l’Assemblée constituante de l’Union des organisations des employeurs du G5 Sahel. La réunion a permis d’examiner les statuts de la nouvelle Union et d’élire ses instances dirigeantes. Lors de cette rencontre, des représentants des pays membres de l’organisation ont réfléchi à la mise en place d’un mécanisme institutionnel d’échanges commerciaux entre les différents pays. La création de cette Union « vise à faire du secteur privé un moteur de la renaissance économique et sociale dans les États membres et à accompagner les efforts communs dans le domaine du renforcement de la sécurité et du développement dans les pays de la région », a indiqué le ministre mauritanien du Pétrole, de l’énergie et des mines, Mohamed Abdel Vettah. Selon lui, cette approche s’inscrit dans la droite ligne du Programme d’investissements prioritaires qui bénéficie du soutien des partenaires de l’organisation. La première phase de ce programme s’étale sur la période 2019 – 2021 et compte 40 projets sectoriels, focalisés sur les axes de la sécurité, de la gouvernance, des infrastructures et du développement humain. La création de cette association patronale intervient à un moment où la force conjointe G5 Sahel se fait timide dans la lutte contre les groupes armés terroristes. Des problèmes financiers et matériels la handicapent et l’empêchent d’atteindre sa pleine opérationnalisation. En attendant, ce sont la force Barkhane et les forces armées des pays concernés qui subissent les attaques des groupes terroristes, toujours redoutables.

- 10h26

Le 11 mars s’est tenue à Nouackchott, en Mauritanie, l’Assemblée constituante de l’Union des organisations des employeurs du G5 Sahel. La réunion a permis d’examiner les statuts de la nouvelle Union et d’élire ses instances dirigeantes. Lors de cette rencontre, des représentants des pays membres de l’organisation ont réfléchi à la mise en place d’un mécanisme institutionnel d’échanges commerciaux entre les différents pays. La création de cette Union « vise à faire du secteur privé un moteur de la renaissance économique et sociale dans les États membres et à accompagner les efforts communs dans le domaine du renforcement de la sécurité et du développement dans les pays de la région », a indiqué le ministre mauritanien du Pétrole, de l’énergie et des mines, Mohamed Abdel Vettah. Selon lui, cette approche s’inscrit dans la droite ligne du Programme d’investissements prioritaires qui bénéficie du soutien des partenaires de l’organisation. La première phase de ce programme s’étale sur la période 2019 – 2021 et compte 40 projets sectoriels, focalisés sur les axes de la sécurité, de la gouvernance, des infrastructures et du développement humain. La création de cette association patronale intervient à un moment où la force conjointe G5 Sahel se fait timide dans la lutte contre les groupes armés terroristes. Des problèmes financiers et matériels la handicapent et l’empêchent d’atteindre sa pleine opérationnalisation. En attendant, ce sont la force Barkhane et les forces armées des pays concernés qui subissent les attaques des groupes terroristes, toujours redoutables.

- 10h25

L’Afrique Excelle, l’édition francophone d’XL Africa, l’accélérateur de start-up technologiques de la Banque mondiale, donne son coup d’envoi à Bamako, au Mali. Du 24 au 30 mars 2019, les entrepreneurs auront la possibilité d’établir des contacts et de s’instruire auprès d’experts du secteur, d’accroître leur visibilité régionale et d’entrer en contact avec de potentiels investisseurs et entreprises partenaires. L’Afrique Excelle, adaptation francophone d’XL Africa, vise à favoriser une relation étroite entre entrepreneurs d’Afrique francophone et anglophone, tout en soutenant ceux évoluant dans des écosystèmes numériques moins développés, en particulier ceux de certains pays fragiles, comme la République Centrafricaine, la République Démocratique du Congo, la Côte d’Ivoire, le Togo et le Mali. Les start-up d’Afrique Excelle sont spécialisées en technologies liées à l’inclusion financière, la santé, les transports, les technologies vertes, etc. Les société participant au programme commercialisent déjà leurs produits ou services, affichent un chiffre d’affaires solide et sont bien positionnées en terme de croissance. À l’issue de la formation de Bamako, les 10 meilleures bénéficieront d’une deuxième semaine résidentielle, à Paris en mai 2019. Grâce à la participation d’investisseurs africains de premier plan, Afrique Excelle aidera ces start-up à lever des fonds compris entre 250 000 et 5 millions de dollars.

- 10h25

L’Afrique Excelle, l’édition francophone d’XL Africa, l’accélérateur de start-up technologiques de la Banque mondiale, donne son coup d’envoi à Bamako, au Mali. Du 24 au 30 mars 2019, les entrepreneurs auront la possibilité d’établir des contacts et de s’instruire auprès d’experts du secteur, d’accroître leur visibilité régionale et d’entrer en contact avec de potentiels investisseurs et entreprises partenaires. L’Afrique Excelle, adaptation francophone d’XL Africa, vise à favoriser une relation étroite entre entrepreneurs d’Afrique francophone et anglophone, tout en soutenant ceux évoluant dans des écosystèmes numériques moins développés, en particulier ceux de certains pays fragiles, comme la République Centrafricaine, la République Démocratique du Congo, la Côte d’Ivoire, le Togo et le Mali. Les start-up d’Afrique Excelle sont spécialisées en technologies liées à l’inclusion financière, la santé, les transports, les technologies vertes, etc. Les société participant au programme commercialisent déjà leurs produits ou services, affichent un chiffre d’affaires solide et sont bien positionnées en terme de croissance. À l’issue de la formation de Bamako, les 10 meilleures bénéficieront d’une deuxième semaine résidentielle, à Paris en mai 2019. Grâce à la participation d’investisseurs africains de premier plan, Afrique Excelle aidera ces start-up à lever des fonds compris entre 250 000 et 5 millions de dollars.

mardi 12 mars

- 11h25

Deux soldats français de la force Barkhane ont été sérieusement blessés dimanche dans l’attaque de leur campement temporaire dans le centre-est du Mali, près de la frontière avec le Niger, a annoncé lundi 11 mars l’état-major français. Les deux blessés ont depuis été évacués vers un hôpital militaire en région parisienne.

- 11h25

Deux soldats français de la force Barkhane ont été sérieusement blessés dimanche dans l’attaque de leur campement temporaire dans le centre-est du Mali, près de la frontière avec le Niger, a annoncé lundi 11 mars l’état-major français. Les deux blessés ont depuis été évacués vers un hôpital militaire en région parisienne.

vendredi 08 mars

- 11h19

Le ministère des Transports et la Société d’interventions financières (SIFI – SA) ont signé un partenariat industriel et financier le 1er mars 2019. L’objectif est le renouvellement du parc automobile de la capitale et l’amélioration du transport urbain et interurbain. À terme, le programme devra permettre de renouveler le parc de bus et de minibus dédiés au transport dans la capitale et entre les capitales régionales. Ce à travers le montage et l’assemblage local de ces engins, l’entretien technique, dans le cadre du service après-vente, mais aussi la recherche. Le groupe SIFI, qui revendique une expérience de 18 ans au Sénégal, compte mettre cette expertise au profit des acteurs maliens pour juguler les difficultés du transport urbain et interurbain. Il s’agit de mettre en place les moyens nécessaires à l’assemblage de bus et minibus destinés au transport dans la capitale et les régions. La société s’engage également à aider les organisations de transporteurs, avec l’appui de l’État, à acquérir ces moyens de transport à des coûts « raisonnables ». Des moyens de transport totalement différents de ceux actuellement utilisés, précisent les responsables de la société. Cette signature de partenariat doit être suivie d’ici à 2 mois de la finalisation de l’étude de faisabilité de l’usine d’assemblage de bus et minibus dont l’installation devrait être effective d’ici quelques mois, notamment à Bamako. Les autorités en charge du Transport, pour leur part, espèrent que cette nouvelle donne mettra fin au calvaire du transport urbain, caractérisé par le vieillissement des véhicules.

- 11h19

Le ministère des Transports et la Société d’interventions financières (SIFI – SA) ont signé un partenariat industriel et financier le 1er mars 2019. L’objectif est le renouvellement du parc automobile de la capitale et l’amélioration du transport urbain et interurbain. À terme, le programme devra permettre de renouveler le parc de bus et de minibus dédiés au transport dans la capitale et entre les capitales régionales. Ce à travers le montage et l’assemblage local de ces engins, l’entretien technique, dans le cadre du service après-vente, mais aussi la recherche. Le groupe SIFI, qui revendique une expérience de 18 ans au Sénégal, compte mettre cette expertise au profit des acteurs maliens pour juguler les difficultés du transport urbain et interurbain. Il s’agit de mettre en place les moyens nécessaires à l’assemblage de bus et minibus destinés au transport dans la capitale et les régions. La société s’engage également à aider les organisations de transporteurs, avec l’appui de l’État, à acquérir ces moyens de transport à des coûts « raisonnables ». Des moyens de transport totalement différents de ceux actuellement utilisés, précisent les responsables de la société. Cette signature de partenariat doit être suivie d’ici à 2 mois de la finalisation de l’étude de faisabilité de l’usine d’assemblage de bus et minibus dont l’installation devrait être effective d’ici quelques mois, notamment à Bamako. Les autorités en charge du Transport, pour leur part, espèrent que cette nouvelle donne mettra fin au calvaire du transport urbain, caractérisé par le vieillissement des véhicules.

vendredi 01 mars

- 10h31

L’analyse des comptes extérieurs du Mali, révélée à la faveur de la Journée annuelle des comptes extérieurs par la Banque centrale des États de l’Afrique de l’ouest (BECEAO), le 25 février 2019, a démontré un creusement du déficit commercial en 2017. « La vulnérabilité du pays face à la hausse des cours des produits pétroliers » était le thème de cette journée. Ces importations, en nette croissance, ont été estimées à 572 milliards de francs CFA, soit 27,3% du total. Le déficit courant, à 7,9% du PIB en 2017, était de 7,2% en 2016, toujours supérieur aux critères de convergence de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA). Si la hausse s’explique par les contreperformances enregistrées dans les échanges commerciaux, le déficit a été en partie résorbé par les flux importants de capitaux publics et privés, plus importants en 2017. Le déficit de la balance commerciale s’est établi à 101,5 milliards de francs CFA, contre 317,8 milliards en 2016. Par ailleurs, les exportations se sont élevées en 2017 à 1 686 milliards de francs CFA, en hausse de 0,6%. L’or arrive en tête avec 69,7% (1 175 milliards). Suivent le coton avec 13,3% (223 milliards), le cheptel 6,5% (108 milliards), les engrais à 2,6 et 0,4% pour les mangues. Ces produits ont été destinés à 61,9% à l’Afrique, 11,2% à l’UEMOA, 23,2% à l’Europe et 14,5% à l’Asie. Dans le même temps, les importations se sont élevées à 2 095,4 milliards de francs CFA. Ces produits viennent d’Afrique pour 46,3%, d’Europe pour 25,9% et d’Asie pour 21,5%.

- 10h31

L’analyse des comptes extérieurs du Mali, révélée à la faveur de la Journée annuelle des comptes extérieurs par la Banque centrale des États de l’Afrique de l’ouest (BECEAO), le 25 février 2019, a démontré un creusement du déficit commercial en 2017. « La vulnérabilité du pays face à la hausse des cours des produits pétroliers » était le thème de cette journée. Ces importations, en nette croissance, ont été estimées à 572 milliards de francs CFA, soit 27,3% du total. Le déficit courant, à 7,9% du PIB en 2017, était de 7,2% en 2016, toujours supérieur aux critères de convergence de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA). Si la hausse s’explique par les contreperformances enregistrées dans les échanges commerciaux, le déficit a été en partie résorbé par les flux importants de capitaux publics et privés, plus importants en 2017. Le déficit de la balance commerciale s’est établi à 101,5 milliards de francs CFA, contre 317,8 milliards en 2016. Par ailleurs, les exportations se sont élevées en 2017 à 1 686 milliards de francs CFA, en hausse de 0,6%. L’or arrive en tête avec 69,7% (1 175 milliards). Suivent le coton avec 13,3% (223 milliards), le cheptel 6,5% (108 milliards), les engrais à 2,6 et 0,4% pour les mangues. Ces produits ont été destinés à 61,9% à l’Afrique, 11,2% à l’UEMOA, 23,2% à l’Europe et 14,5% à l’Asie. Dans le même temps, les importations se sont élevées à 2 095,4 milliards de francs CFA. Ces produits viennent d’Afrique pour 46,3%, d’Europe pour 25,9% et d’Asie pour 21,5%.

- 10h30

Le 25 février, Benjamin Netanyahu s’est exprimé devant la Conférence des présidents de la mission annuelle israélienne des principales organisations juives américaines dans un hôtel de Jérusalem. Au cours d’un discours de 30 minutes, il a présenté aux participants un diaporama des réalisations israéliennes dans divers domaines, y compris la diplomatie. En rouge se trouvaient les « pays arabes », avec lesquels Israël n’a aucune relation formelle. Le Mali et le Niger étaient colorés en beige, ce qui, selon la légende de la carte, indique qu’Israël a « des relations potentielles » avec eux. Le Mali a rompu ses liens avec Israël en 1973, suite à la guerre du Kippour. En juin 2017, Netanyahu a rencontré le Président Ibrahim Boubacar Keita lors d’une conférence régionale au Libéria et les deux dirigeants se sont « accordés sur le réchauffement des relations » entre les deux pays, a déclaré le bureau du Premier ministre. Le mois dernier, Netanyahu s’est rendu à N’Djamena pour rétablir les relations diplomatiques avec le Tchad. Yoram Elron, directeur général adjoint du ministère des Affaires étrangères pour l’Afrique, avait alors déclaré à la radio militaire qu’Israël « espère que le Mali sera le prochain pays avec lequel nous renouerons nos relations ». Une visite du Premier ministre Soumeylou Boubeye Maiga avait été évoquée. Dans notre parution du 31 janvier 2019, la ministre des Affaires étrangères et de la coopération internationale réaffirmait pourtant le soutien du Mali à la cause palestinienne.

- 10h30

Le 25 février, Benjamin Netanyahu s’est exprimé devant la Conférence des présidents de la mission annuelle israélienne des principales organisations juives américaines dans un hôtel de Jérusalem. Au cours d’un discours de 30 minutes, il a présenté aux participants un diaporama des réalisations israéliennes dans divers domaines, y compris la diplomatie. En rouge se trouvaient les « pays arabes », avec lesquels Israël n’a aucune relation formelle. Le Mali et le Niger étaient colorés en beige, ce qui, selon la légende de la carte, indique qu’Israël a « des relations potentielles » avec eux. Le Mali a rompu ses liens avec Israël en 1973, suite à la guerre du Kippour. En juin 2017, Netanyahu a rencontré le Président Ibrahim Boubacar Keita lors d’une conférence régionale au Libéria et les deux dirigeants se sont « accordés sur le réchauffement des relations » entre les deux pays, a déclaré le bureau du Premier ministre. Le mois dernier, Netanyahu s’est rendu à N’Djamena pour rétablir les relations diplomatiques avec le Tchad. Yoram Elron, directeur général adjoint du ministère des Affaires étrangères pour l’Afrique, avait alors déclaré à la radio militaire qu’Israël « espère que le Mali sera le prochain pays avec lequel nous renouerons nos relations ». Une visite du Premier ministre Soumeylou Boubeye Maiga avait été évoquée. Dans notre parution du 31 janvier 2019, la ministre des Affaires étrangères et de la coopération internationale réaffirmait pourtant le soutien du Mali à la cause palestinienne.