Avec comme fil conducteur le leadership des femmes, cette 4ème édition a rassemblé du monde autour du désormais célèbre «Â Défi des Entreprises », organisé chaque année par l’agence Binthily Communication. La soirée s’annonçait animée à l’espace culturel Blonba de Bamako avec le Groupe musical «Â Chaà¯ne », qui a égayé l’assistance avec une chanson dédiée au leadership féminin. Prenant la parole, le Manager de Binthily communication, Birama Konaré, a expliqué tout le sens de cet évènement autour du leadership des femmes notamment celles du Mali. «Â Avec les femmes nous pouvons bâtir un monde équitable, prospère, et moins violent  », a t-il rappelé. Au total 15 candidats étaient inscrits au quizz de culture générale de cette 4ème édition. Les entreprises participantes étaient, entre autres, Afrilog, AZI-SA, Trainis, Banque Atlantique, Orange-Mali, les Echos, BDM, et bien sûr journaldumali.com… Toutes souhaitaient décrocher le prestigieux trophée. Duel serré A l’issue de la troisième manche, 4 candidats (2 hommes et 2 femmes) sont restés dans la course. La phase finale a opposé Mame Diarra Diop, de journaldumali.com à Racine Thiam d’Orange-Mali. En validant la majeure partie des 31 questions posées, Mama Diarra Diop a remporté le « Défi des Entreprises ». Le trophée lui a été remis par la présidente du Jury Mme Ouattara Maya Guindo : « l’arrivée d’une femme à la tête de cette compétition est la preuve qu’être une femme n’est pas une fin en soi. Les femmes peuvent pleinement jouer leur partition dans toutes les initiatives de développement », a souligné la présidente du Jury. En plus du trophée, notre consÂur Mame Diarra DIOP a bénéficié d’une bourse de formation Trainis d’une valeur de 450 000 F CFA en Gestion des projets et risques, d’une télévision Haute définition et de recharges Orange d’une valeur de 75 000 F CFA. Son adversaire Racine Thiam d’Orange Mali, qui n’a pas démérité a obtenu lui une bourse de formation d’une valeur de 300 000 F CFA. Prenant la parole, la lauréate a dédié cette victoire à une femme : « Je pense d’abord à ma mère, la première femme dans mon coeur. Je remercie également Binthily Communication pour m’avoir donné l’opportunité de remporter cette 4è édition, et surtout, je tiens à remercier mon directeur Mr Mahamadou Camara et toute l’équipe de Journaldumali.com pour avoir cru en moi ». Le Challenge Sportif Le trophée de la séquence «Â Challenge sportif » a été remis, par Birama Konaré à la candidate de «Â Fitness Center », Aminata Traoré, une jeune femme courageuse, qui a battu dans une épreuve de vélo, son concurrent de l’entreprise Liberty Dom. Initié par l’agence Binthily communication, le Défi d’Entreprise est un quizz de culture générale avec des jeux interactifs, des sketchs humoristiques, qui rassemble de jeunes travailleurs. L’objectif est d’échanger et de se cultiver dans un cadre convivial. l’engouement autour de ce jeu est grandissant d’année en année. Les plus grandes structures du pays y participent désormais. Cette année, le Défi des Entreprises a innové en intégrant le Challenge Sportif Fitness Center ACI dans son programme, avec des épreuves sportives au campement Kangaba de Bamako. l’objectif de ces épreuves sportives est de renforcer la cohésion au sein des entreprises participantes. Vivement la 5è édition !
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Le Défi des Entreprises : Célia D’Almeida de Radio Kledu remporte la 3è édition
Le Défi des entreprises est une initiative de l’agence de communication Binthily Com, et qui permet à de jeunes cadres, journalistes ou responsables de communication de s’affronter dans un jeu de culture générale, afin de remporter le trophée des Entreprises. Pour cette 3è édition, on comptait des représentants d’Orange Mali, de Rado Kledu, de l’API Mali, des banques comme BDM ou la Banque Atlantique ou encore des journaux comme le Républicain ou les Echos. Tous ces candidats, au nombre de 12 au départ, se sont inclinés après 4 manches de jeu, à la fin, il n’en restait plus que deux. Célia d’Almeida de Radio Kledu et Saada Wallet Ibrahim de la Banque Atlantique. La soirée a eu lieu le samedi 1er Mai, (fête du travail ) à la salle de spectacle BlonBa de Bamako, en présence des ministres de l’emploi et de la Solidarité. Un défi des entreprises, Spécial Cinquantenaire » Pour Birama Konaré, Directeur de l’agence de Communication Binthily, basée à Bamako et promotrice du jeu » Il s’agit de valoriser les talents Maliens, des jeunes et femmes, qui en veulent et qui construisent le Mali de Demain. Et au regard du cinquantenaire fêté cette année, il fallait orienter l’évènement et les questions du jeu vers cela ». Lors de la première manche, les candidats, au nombre de 12, ont répondu à un questionnaire de culture générale, sur le Mali, l’Afrique, les indépendances, le sport, l’économie etc… Ils avaient aussi droit à des jokers, pour interroger le public. Au terme de cette manche, il restait 10 candidats, qui se sont départagés sur des questions de musique. Cette fois, il fallait après un jingle musical trouver le nom d’artistes comme Kar Kar, Salif Keita ou Beyoncé, une manche interactive qui a permis d’éliminer 6 autres candidats. Pour la 3è manche, il ne plus que restait Célia D’Almeida de Radio Kledu, et Saada Wallet de la Banque Altlantique, et deux autres candidats du CREDOS et de l’API Mali, un jeune handicapé, soutenu par Maya Guindo du Ministère de l’Industrie, et par ailleurs présidente du Jury. Une finale 100% féminine Pour la dernière manche, c’est donc une finale féminine qui s’est jouée entre Célia et Saada. Remportée haut la main, par la représentante de Radio Kledu, Mlle Célia D’Almeida, journaliste émérite, rédactrice en chef et d’origine togolaise, installée au Mali depuis quelques années : « Ce jeu m’a permis de m’imposer et la leçon que je retiens, c’est qu’il y a des choses que j’avais oublié et qui me sont revenus tout naturellement lors du jeu, c’est cela qui est formidable », déclare la lauréate en arborant un sourire ravie. On peut faire confiance à sa mémoire, c’est certain ! Un ordinateur, une TV, un abonnement chez Orange, et d’autres lots, voilà ce qu’a gagné Célia, lors de cette soirée. Tout comme Saada Wallett, qui n’a pas démérité. L’on retiendra surtout de cette soirée, une ambiance ludique et interactive, un échange de savoirs et de compétences entre tous les candidats à féliciter,, même si certains comme Assane Koné du Journal Le Républicain ( et qui avait remporté la 1ère édition ) était déçu : » J’ai chuté lors de la séquence musique, vraiment je ne comprends pas ce qui s’est passé ! ». Qu’il se console donc car chaque édition dévoile ses talents. Le Défi des Entreprises, voilà une initiative concrète qui met en avant les talents africains et du Mali, en cette année de Cinquantenaire. Chose étrange, l’on a noté l’absence du président de la Commission du cinquantenaire, Mr Dicko ? Vivement la 4è édition du Défi des entreprises !
Le 10è Forum de Bamako débute demain
Le Forum de Bamako fête ses dix ans cette année. Aussi, les orgnaisteurs ont animé un point de presse, avant la tenue prochaine du forum du 16 au 20 février 2010, autour du thème : . Face à la presse, le premier ministre Modibo Sidibé, président de la fondation Forum de Bamako (FFB), Abdoulaye Coulibaly vice président et le secrétaire général de l’organisation Mr Patrice Renault Sablonière, étaient respectivement les animateurs de la conférence. Le forum de Bamako, « 10 ans de chemin remarquable » Selon le premier ministre l’objectif de cette rencontre de presse était de mettre à disposition des journalistes des éléments d’appréciation du Forum de Bamako, qui est un espace (organisé par la Fondation du forum de Bamako (FFB) ) de partage, de réflexions entre intellectuels africains et experts étrangers sur les enjeux du développement du continent africain. Toujours selon Modibo Sidibé, président du FFB, le chemin parcouru par le forum (10 ans) est remarquable, « pour une idée qui a été forgée dans un certain pessimisme », a-t-il déclaré. à propos du thème de cette année, M. Sidibé pense que son organisation ne pouvait l’éviter d’autant plus que pour lui, la combinaison des (10 ans du forum et les 50 ans de l’Afrique) offre une occasion de réflexion décomplexée sur le parcours de l’Afrique ; car « C’est aussi ça les défis qui sont posés », a t-il ajouté. Abdoullah Coulibaly, vice-président de la Fondation du Forum de Bamako, a estimé que son organisation, à défaut d’un bilan inopportun à l’heure actuelle, est auréolée d’un succès international, succès confirmé par la présence de nombreux médias internationaux comme France 24, RFI ou TV5, CFI ou panafricains comme Africable à Bamako. La clé du succès étant de croire à soi-même, le forum de Bamako a réussi le métissage de connaissances et le partage des savoirs dans une approche participative qui suscite chaque année un intérêt grandissant, dixit Abdallah Coulibaly, directeur de l’IHEM, l’institut des Hautes études en Management du Mali. Un forum, espace de dialogue et de tolérance Il faut noter le forum ouvre ses portes à partir du 16 février pour les refermer au soir du 20 février 2010. Il se saisira de différentes thématiques en 12 sessions, selon l’architecture des communications présentée par le secrétaire général du FFB, M. Témé. Les sessions débattront, entre autres, de la place et du rôle de l’Agriculture dans le développement économique et social de l’Afrique ; Quelle politique de financement pour l’Agriculture ? Expériences croisées de pays etc. D’éminentes personnalités seront présentes à cette 10ème édition du Forum de Bamako, conformément aux objectifs du forum, qui sont de mettre à la disposition des cadres africains, un espace de dialogue, de tolérance, et de partage pour l’accès du plus grand nombre au Savoir ; Il s’agit de canaliser les compétences et les ressources disponibles ainsi que les énergies au service exclusif du développement de l’Afrique, entre autres. Le public visé étant les chefs d’entreprises, les décideurs, les universitaires africains et occidentaux, les représentants de la société civile, les partenaires au développement et institutions internationales. Les questions des confrères ont porté sur le bilan de dix ans d’existence du forum, les innovations à venir et la place de la jeunesse au sein de cette plèbe. A signaler que les étudiants de l’IHEM, l’institut des Hautes études en management, étaient massivement présents à cette conférence. Une jeunesse qui a un vrai rôle à jouer dans ce forum, afin de le prévenir d’un élistisme, uniquement réservé aux intellectuels Africains et occidentaux.