AJS : optez pour des ressources humaines de qualité !

AJS se veut une solution pour les entreprises maliennes, en leur offrant des ressources humaines de qualité. En outre le cabinet africain assure aussi la gestion (relation avec les organismes sociaux, respect de la réglementation, code du travail, traitement des salaires et formation). Autant d’aspects qui font d’AJS, un cabinet sous régional, basé au Mali, en Guinée et en Côte d’Ivoire). AJS travaille essentiellement avec des entreprises du secteur minier et des travaux publiques. « Nous avons fait le constat qu’il fallait offrir une formation technique et professionnelle pour des secteurs porteurs tels que les Mines, pourvoyeurs de près de 2000 emplois », souligne Mamadou Demba, du cabinet AJS. Il insiste aussi sur l’idée de donner aux jeunes un avenir meilleur, en aidant le gouvernement malien à  offrir une formation en adéquation avec les besoins exprimés par les jeunes. D’o๠la signature de cet Accord cadre de partenariat avec le Ministère de l’Emploi et de la formation professionnelle. « Cet accord va permettre d’impulser des solutions, de mettre en place un Centre de formation professionnelle de qualité pour rencontrer les besoins de certains agents d’exécution, dans l’ingénierie ou l’artisanat par exemple », a souligné Mahamane Baby, le ministre malien de l’emploi et de la formation professionnelle. African Job Solutions a près de 30 ans d’expérience dans le management des Hommes. Cumulé à  une expérience sous régionale, le cabinet se distingue par une phase d’embauche rigoureuse, la gestion administrative du personnel et le traitement efficace de la paie et de tous les aspects connexes.

Didier Acouétey : « Ce sont les hommes qui font les entreprises ! »

Le président du groupe Afric Search, Mr Didier Acouétey, était à  Bamako la semaine dernière. Sa visite avait pour objet de participer au forum de Bamako (achevé le 20 février ) et de promouvoir celui de Singapour (5 et 6 avril prochain). Le forum de Singapour A Singapour, il s’agira d’un forum économique ayant pour objet de rapprocher les chefs d’entreprises africains et ceux d’Asie du Sud-Est (Singapour, Mali, Indonésie.) Mr Acouétey explique ce choix ainsi : «les montées en développement d’entreprises les plus abouties se trouvent en Asie du Sud-Est, et sont d’une excellence remarquable. Et comme on veut que les entreprises africaines aient un modèle d’excellence, nous tenons absolument à  ce que ces entreprises internationales apportent leurs stratégies aux notres. Cela dans le souci que les dirigeants puissent échanger pour favoriser l’investissement en Afrique, via la plate-forme d’Asie du Sud-Est. » Mr Acouétey estime que le forum de Bamako est un espace riche en terme d’échanges d’abord, de force de propositions et de réflexionS pour l’Afrique. Selon lui, ce forum qui est aujourd’hui, à  sa 10e édition, est devenu une référence en matière de carrefour intellectuel, mais aussi culturel. Il permet un brassage intercontinental, sous régional et socio-économique. Que propose Afric Search aux jeunes diplômés revenus au bercail ? Didier Acouétey explique qu’en tant que cabinet de recrutement, selon les emplois proposés par les potentiels clients, Afric Search offre la possibilité de postuler à  ces postes et de rentrer sereinement au pays. Par ailleurs, il explique que lorsque la structure organise un salon tel que ‘Mali talent’, C’’est dans l’optique d’offrir aux jeunes cadres maliens, des opportunités d’emplois. Un bilan satisfaisant après 14 ans d’existence Le président d’Afric Search constate un bilan assez positif de la structure, après 14 années d’existence. En effet, en 1996, comme il le précise, il n’y avait aucun cabinet de recrutement spécialisé sur l’Afrique et les africains. Et il se réjouit du fait que les cabinets se développent chaque année. Ce qui signifie que le continent se modernise en terme de gestion puisque davantage d’entreprises, font appel à  ces diplômés. « Ce sont les hommes qui font les entreprises et de plus en plus d’entreprises africaines font appel à  ces compétences. Nous ne pouvons qu’en être satisfaits. » Le siège du cabinet d’Afric Search est basé à  Paris (France) et certaines représentations sont en Afrique du Sud, au Sénégal, au Caméroun, au Togo, en Côte d’Ivoire, au Kenya. Et bientôt au Mali.

Sciences sociales et humaines, La France appuie les chercheurs maliens

« Soutien aux recherches en sciences sociales et humaines », C’’est le nom de ce nouveau projet entre la France et le Mali. Une convention a été signée entre les deux pays depuis le 12 janvier dernier dans le cadre du FSP (fonds de solidarité prioritaire). Le programme « vise à  combler les déficits constatés en matière de recherches dans le secteur sciences sociales et humaines. Le projet doté d’un montant de 392 millions de FCFA prend en compte trois volets. Il s’agit de la formation, du soutien à  la recherche et le renforcement des capacités de l’Institut des Sciences Humaines (ISH). Une réflexion est déjà  faite sur ces aspects du projet. Lors d’une réunion tenue à  Bamako du 12 à  14 novembre 2007, quatre axes recherches ont été dégagés. l’appel à  proposition porte sur les thèmes dégagés. Le premier sujet porte sur l’Economie politique des migrations. Ce thème renferme des ébauches de recherches telles que : « Comprendre les causes des migrations », « Identifier les nouvelles routes migratoires», « Prendre des mesures de l’implication des Associations de migrants dans la gouvernance locale » et « Appréhender les transformations familiales et conjugales consécutives au fait migratoire ». Le deuxième axe de recherche porte sur la décentralisation, la citoyenneté et la démocratisation. La troisième problématique est axée sur les enjeux du développement et politique publique. En dernier ressort, les chercheurs seront appuyés à  développer la question des dynamiques religieuses contemporaines. Sur ce volet, la recherche portera sur les religions ( Islam, le Christianisme et les religions traditionnelles ) et leurs intéractions, les nouveaux acteurs religieux et leurs pratiques… La part belle donnée aux chercheurs maliens Seules des équipes de chercheurs peuvent postuler au programme. Il s’agit donc pour les chercheurs de se regrouper en équipes et de faire des propositions de thèmes en fonction des quatre axes définis. Les propositions seront soumises à  l’appréciation du comité de sélection. Les équipes peuvent êtres mixtes. Regroupant maliens et français. Ce qui est d’ailleurs souhaitable selon les membres du comité. Mais la priorité est donnée aux candidats maliens. Ils auront une côte part plus élevée que celle de la partie française. Les chercheurs « juniors », peuvent siéger au sein des équipes. Sinon la priorité est donnée aux chercheurs confirmés. Difficile pour le moment de dire combien de chercheurs bénéficieront du financement. Car « C’’est en fonction des propositions reçues que l’on déterminera les enveloppes à  allouer », ont précisé les experts chargés de la sélection. Outre les équipes maliennes qui bénéficieront de l’aide, en complément au projet, le gouvernement malien a promis de construire un nouveau bâtiment pour l’Institut des Sciences Humaines. Au terme du projet? un accent sera mis sur la restitution, la communication et la vulgarisation des résultats en direction de la société civile. De même, les résultats de l’évaluation externe au plan international seront vulgarisés.