Tic’s Awards Bamako: une première réussie

L’hôtel Salam de Bamako a abrité ce samedi 12 mars, la première édition des Tic’s Awards organisée par l’Agence Malienne Marketing International (AMMI Marketic). Cabinet d’expertise marketing, constitué de jeunes cadres dynamiques, dotés d’une expérience approfondie acquise au sein de multinationales à  l’intérieur et à  l’extérieur du pays, Ammi Marketic est piloté par Djibril Doucouré, le Président Directeur Général. Premier événement du genre au Mali dans le cadre du numérique, ce grand RDV autour du numérique a réuni les professionnels des NTIC. Sponsorisé par Orange Mali et accompagné par de nombreux partenaires, cette première édition a décerné onze titre dans de domaine différents en rapport avec les TIC. En effet, après délibération, le jury a décerné les titres suivants: E Keneya remporte le titre de la meilleur application mobile, meilleur site E Commerce est revenu à  Mali Shopping, meilleur service TIC « Senekela », meilleur innovation TIC, « intellect 3 », meilleur Startup, « LOGINEO », Web et Stratégie digital, « Voolinks », meilleur service mobile, Orange Money, meilleur personnalité TIC, Alliou Yattasaye, meilleur promoteur du service RSE (Responsabilité Sociétale d’entreprise), « Orange Mali », meilleur entreprise TIC, « Afribone ». Journal Du Mali meilleur site d’information Pour la première fois le Journal Du Mali a été honoré pour son travail. En effet, face aux sites d’informations tels que Malijet et Maliweb, le Journal Du Mali a reçu le prix du meilleur site d’information.

« On a tué Charlie Hebdo! »

« C’est un vrai massacre en plein C’œur de Paris », annonce le présentateur de TV5 Monde visiblement ému. Jamais dans l’histoire de la presse française, une rédaction n’avait été la cible d’une telle attaque visant à  décimer une bonne partie du personnel d’un journal; C’est aux environs de 11h ce mercredi 7 janvier 2015 que trois hommes lourdement armés et cagoulés ont pénétré dans les locaux de l’hebdomadaire satirique Charlie Hebdo, et tiré à  balles réelles sur la rédaction en réunion. « Ils étaient cagoulés et armés de kalachnikov, raconte un témoin proche du bâtiment, qui a entendu d’énormes déflagrations dans la rue ». Aussitôt après avoir accompli leur sale besogne, ces hommes armés repartent dans la rue et y abattent un policier, qui tentait d’intervenir. Au même moment, de nombreux journalistes se sont réfugiés sur le toit de l’immeuble pour échapper aux tirs des assaillants. Plus tard, les caméras de surveillance montreront deux hommes habillés en noir monter dans une voiture et s’enfuir. Le troisième s’échappera par la rue. En quittant les lieux, les agresseurs ont ensuite percuté un automobiliste porte de Pantin et une autre légèrement blessée. Ce qui explique l’activation immédiate du plan Vigipirate maximal dans toute l’Ile de France. « Un massacre à  Paris » Le tout premier bilan de cet acte barbare, fait d’abord état d’une dizaine de morts et de plusieurs blessés grave, un bilan provisoire qui s’alourdira à  12 morts en fin de journée ; Parmi les victimes à  Charlie Hebdo, le directeur de Publication Stéphane Charbonnier dit « Charb », Cabu, Tignous et Wolinski, tous de grands dessinateurs de presse français en plus des autres membres du journal dont Bernard Maris, journaliste économique. Un vrai massacre, précise un éditorialiste choqué. Pourquoi eux ? Qu’est-ce qui explique cet acte ignoble ? Pour comprendre, il faut remonter à  2006, l’hebdomadaire satirique, avait publié des caricatures controversées sur le prophète Mohamed PSL, et par la suite, reçu plusieurs menaces de la part de mouvements intégristes religieux. En son temps, Charlie Hebdo s’en était vivement défendu par la voie de Charb lui-même, pas du tout effrayé par les fatwas lancées à  son encontre et au nom de la liberté de la presse : « Je n’ai pas de femme, de gosses, de voiture, de crédit. Ca peut paraà®tre pompeux, mais je préfère mourir debout plutôt qu’à  genoux », disait-il. Plus incroyable, ce dessin prémonitoire publié la semaine dernière dans Charlie Hebdo o๠la légende disait : « Toujours pas d’attentats en France, attendez là , on a jusqu’à  fin janvier pour souhaiter les vœux ». Une satire qui n’est pas malheureusement pas tombé dans l’oreille de sourds. Réactions mondiales… D’emblée, C’’est la piste terroriste qui est privilégiée. En s’enfuyant, les agresseurs ont plusieurs fois répété en arabe : «Allah Akbar, Allah Akbar ! On a tué Charlie Hebdo ». Le président François Hollande arrivé sur les lieux du drame a immédiatement dénoncé un acte « d’une exceptionnelle barbarie » et convoqué une réunion de crise alors que Matignon avait déjà  relevé le plan Vigipirate à  son niveau maximal dans tout Paris. Il est désormais au niveau « alerte attentats ». Ce qui avait déjà  été le cas lors de l’affaire Mohamed Merah. Tout comme la mobilisation policière exceptionnelle pour retrouver les assaillants en fuite, les agresseurs ont abandonné leur véhicule un peu plus tard pour se fondre dans la foule dans le 19è arrondissement de Paris. Ce sont près de 3000 policiers et forces de l’ordre engagés dans une course poursuite à  l’issue incertaine. « La dessinatrice Coco, qui travaille pour l’hebdomadaire, a été contactée par téléphone par l’Humanité. Elle raconte qu’elle était « allée chercher [sa] fille à  la garderie, en arrivant devant la porte de l’immeuble du journal deux hommes cagoulés et armés nous ont brutalement menacées. Ils voulaient entrer, monter. J’ai tapé le code. » La dessinatrice raconte ensuite que les deux hommes « ont tiré sur Wolinski, Cabu. à‡a a duré cinq minutes… Je m’étais réfugiée sous un bureau… Ils parlaient parfaitement le français… Se revendiquaient d’Al-Qaà¯da. » Avant elle, c’était la dessinatrice Catherine Meurisse, qui avait témoigné auprès du Courrier de l’Ouest. Arrivée en retard à  la conférence de rédaction hebdomadaire qui se tenait au moment de l’attaque, la journaliste a vu « deux hommes encagoulés qui étaient encore dans la rue lorsque je suis arrivée ». Très choquée, elle s’est dit incapable de s’exprimer davantage. La France en état de choc Pour Hollande, la France est aujourd’hui devant un choc, un choc qui est celui d’un attentat terroriste », un peu comme ceux qui ont touché les Etats Unis lors du dernier marathon de Boston. A chaque fois, ces actes surviennent de manière inattendue et alimentent la propagande des mouvements djihadistes. Il ne reste plus qu’à  condamner pour la communauté internationale. Ban Ki Moon, le secrétaire général des Nations Unies s’est dit « consterné » par un acte qui vise à  diviser. John Kerry, la Reine d’Angleterre, Barack Obama, tous ont condamné la folie meurtrière de ce 7 janvier survenue dans les locaux de Charlie Hebdo. Ce mercredi soir, la France entière est en état de choc et l’émotion est vive. Des milliers de parisiens ont convergé vers la Place de la République pour manifester leur soutien à  la rédaction de Charlie Hebdo, durement touchée par un acte qui lui a coûté le C’œur de sa rédaction. Avec la disparition de Cabu, Wolinski, Tignous et « Charb » son directeur de publication, C’’est une entreprise de presse, qui aura du mal à  renaà®tre de ses cendres… Sur les réseaux sociaux, le mouvement #jesuischarlie a déjà  fait le tour de la toile et des foules. Tandis que la France a décrété ce jeudi journée de deuil national.

Journaldumali.com : 5 ans déjà !

Journaldumali.com. Le Mali en un clic ! Ce 13 Mai 2009, avec une équipe de 3 journalistes, une red -chef, toujours à  votre service, un Directeur de publication, mais point de local, nous lancions ce quotidien d’informations en ligne, pour toucher une nouvelle cible de lecteurs. Dans un Mali en constante mutation, les nouvelles technologies représentaient ce vide qu’il fallait combler. Cet espace à  conquérir. Bien sûr, de nombreux portails en ligne existaient, nés de cette vague numérique, qui a connu son point culminant dans les années 2000. Animés d’un idéal, d’une volonté de fer, nous avons lancé ce quotidien en ligne, « un pure player » dans des conditions précaires, et dans un paysage médiatique malien, dominé par la presse papier. Petit à  petit, Journaldumali.com s’est imposé dans le milieu, a séduit des lecteurs, touché des Maliens ici, ailleurs, ceux de la diaspora, de Kayes à  Kidal, en passant par Washington, Dubai et Paris. De quelques articles par jour, nous avons augmenté notre production quotidienne au fil de ces cinq ans d’existence, axée sur une ligne éditoriale de qualité, neutre et un regard distancié sur l’actualité malienne. Avec hargne, nous avons tenté de conquérir des marchés publicitaires, même face aux annonceurs frileux habitués au papier. Inutile de se mentir, nous avons essuyé des refus, mais rencontré des partenaires fidèles qui nous ont soutenus annuellement. En cinq petites années, nous avons surtout gagné des amis, des relations solides, des partenaires de confiance. 2012 fut évidemment une année difficile pour tous. Au regard de ce bouleversement politique qu’a connu le Mali, nous avons vécu l’incertitude, l’angoisse du lendemain. Allions nous survivre dans un marché réduit de moitié, déserté des annonceurs, oubliés des partenaires étrangers. Malgré la morosité ambiante, puis le renouveau en début 2013, il a fallu tenir, affronter les longues journées, les heures inquiétantes comme celles du contre coup d’Etat en avril 2012, puis celles pleines d’espoir, les débuts de l’opération Serval, la libération en janvier 2013… Les élections de sortie de crise, furent un moment palpitant dans la vie du journal, des moments intenses pour nos chers scribouillards. Je voudrais ici faire une belle mention à  notre stagiaire Macalou. D’un meeting à  l’autre, d’une conférence de presse à  un déplacement à  l’intérieur du Mali, nous fûmes animés de cette exaltation propre au métier, de celles qu’ont connues Albert Londres ou Citizen Kane. Avec passion, nous avons suivi ces candidats, écouté leurs promesses, enregistré des pics d’audiences comme lors des grandes compétitions sportives mondiales comme la CAN ou du Mondial brésilien à  venir. Oui, vuvuzelas en main, nous avons été animés de l’esprit citoyen, pour faire du Mali, un exemple de démocratie en réveil. Pas complètement à  terre. Et un nouveau président fut élu, plébiscité par les Maliens pour sortir le Mali de l’ornière. Après l’euphorie électorale, retour à  nos radars, et vigilants nous nous sommes promis de demeurer, quant à  l’action patriotique et quant aux résultats des promesses de campagne. Aujourd’hui cinq ans après, l’équipe s’est étoffée. Notre siège s’est imposé en plein C’œur de l’ACI 2000, ce quartier d’affaires, avec des commerciaux, de stagiaires, des représentants. Ils ont pour nom Moussa, Célia, Augustin, Modibo, Makhtar, Aurélie, Sackinatou ils sont les chevilles ouvrières du site, qui tricotent chaque jour l’actualité, la décortiquent pour tenter de vous livrer le meilleur regard sur l’actualité malienne et aussi mettre en avant, tous ces talents jeunes, ces parcours, qui font bouger un Mali à  peine sorti de la crise, un Mali qui amorce le virage de la reconstruction nationale, un Mali qui se relève petit à  petit, mais un Mali toujours debout. Journaldumali.com fait de la lumière à  tous ces jeunes leaders, ces forces de la société civile qui veulent changer la société en profondeur. Journaldumali.com s’acharne à  éviter le sensationnalisme, la diffamation abusive, tout en dénonçant les travers, les dérives du pouvoir ou encore, ce qui apparaà®t injuste aux yeux de l’opinion nationale. Journaldumali.com s’efforce de faire la part des choses, en toute humilité. La perfection n’étant pas acquise, nous nous imposons de l’approcher au plus près, tout en essayant de surprendre au quotidien nos lecteurs et avec respect pour leurs opinions, sur nos erreurs éventuelles ou manque d’acuité. Qu’ils nous pardonnent d’avance. 2014 ! Evidemment, cette année, nous amorçons un nouveau virage, celui du multimédia, des nouveaux outils, du blogging citoyen, de la vidéo, des applications mobiles et autres contenus SMS, une interactivité constante pour participer à  la grande conversation mondiale, via de nouvelles stratégies horizontales ou verticales. Bi-média, multisports, les possibilités, les ouvertures sont là , pour faire de l’actualité une ligne, une vraie référence au Mali. Une solution efficace, instantanée et fiable. Journaldumali.com est votre média, sur qui vous pourrez toujours compter pour avoir une analyse juste et modérée des faits. Journaldumali.com compte également sur ses nombreux amis et lecteurs pour l’accompagner dans les évolutions futures, quelque soient les équipes qui l’animeront et les tournants qui s’imposeront. Enfin, pour vous remercier de votre constante fidélité, nous vous convierons très prochainement à  une fête pour commémorer ces 5 ans. Comme le temps file !

Kassim Traoré: « Notre ligne éditoriale, ce sont les faits »

Kassim Traoré, « Le Reporter » a un an, parlez nous de la genèse de ce titre et de sa ligne éditoriale K.T : Le Reporter est une initiative de jeunes journalistes, qui travaillent dans différents organes, qui ont décidé de mettre en place un journal en se basant sur les faits. C’est-à -dire le genre reportage d’o๠le nom Le Reporter. Mais comme C’’est un journal d’informations générales, il englobe, naturellement, les autres genres journalistiques comme les commentaires, les chroniques, les opinions, les contributions et les brèves. La ligne éditoriale ce sont les faits. Un an déjà , quelle affaire a passionné vos lecteurs ? K .T : avec la crise au nord du pays, et la transition nous avions créé une rubrique intitulée « Les leaders du MNLA Sud », dans laquelle on parlait des comportements peu responsables de nos ministres. Nous avions touché presque tous les ministres, le président de la transition, le capitaine Haya de même que Diango Sissoko. Cette rubrique a passionné les gens, C’’est pourquoi avec le nouveau régime nous venons de créer « Les Leaders du Mali d’abord ». Quelles ont été vos scoops et gros sujets ? K.T : les scoops, si on peut le dire ainsi, C’’est par rapport à  Kati, o๠nous avons toujours ce qui se passait dans ce camp, au moment o๠ça chauffait. C’’est vrai que nous avons été victimes de menaces, d’intimidations, mais nous sommes restés égaux à  nous-mêmes. Et nous comptons rester sur cette voie. Enfin, faire vivre un journal au Mali, est-ce facile, au regard de la liberté de la presse aujourd’hui et de l’éthique déontologique ? K.T : le côté finance était notre souci majeur , surtout que nous avons lancé le journal dans un moment difficile. On paraà®t chaque mardi et en une année, nous avons publié 62 numéros. Cela nous a coûté cher. Mais aujourd’hui nous avons tiré le maximum d’enseignements pour aller de l’avant. Nous nous disons que l’éthique et la déontologie C’’est l’éducation que nous recevons dans nos familles, chaque enfant est le fruit d’une éducation familiale d’abord avant la rue et l’école, en la matière nous n’avions pas de problème. Nous faisons de notre mieux.

Nabou Touré, journaliste à Africable : Une jeune présentatrice du JT qui fait fureur

Venue dans la presse avec à  l’origine, l’ambition de travailler avec son père Almamy Samory Touré promoteur de radio, Nabou, aujourd’hui est connue au Mali et dans la sous-région. Déterminée et volontaire, elle a su s’imposer par son talent et son dynamisme dans un domaine o๠la compétition est de rigueur. D’une beauté angélique, la jeune Nabou a une voix qui colle parfaitement à  sa personne. Née en France, o๠elle a fait la plupart de ses études, Nabou Touré venait chaque année au Mali en vacances et aussi pour voir son père, ses tantes, etc. Elle aimait tellement ça qu’à  l’approche des grandes vacances, elle comptait les jours avant d’atterrir à  l’aéroport de Bamako Sénou. Touré de Kayes, descendante du grand guerrier mandingue, Almamy Samory Touré, Nabou Touré a fait des études en Langues étrangères appliquées (LEA) au Commerce International, en France, avant de décider de venir au Mali appuyer son père qui avait déjà  un réseau de radios de proximité, appelé TDM (Télédiffusion du Mali). C’est ainsi qu’elle a fait du journalisme son métier en décrochant finalement un diplôme de spécialisation dans ce domaine. La Radio toujours Nabou a grandi avec la première station de radio de son père dénommé  » Radio Liberté  » créée en 1991. Elle a co-animé des émissions et prêté sa voix à  des pubs dès l’âge de 6 ans. Elle a appris sur le tas, avant l’obtention d’un diplôme. A l’époque, elle ne pensait pas qu’elle deviendrait présentatrice télé. Avant de devenir journaliste, Nabou a occupé plusieurs emplois qui n’avaient rien à  voir avec la presse. Elle a été agent commercial et a vendu des espaces publicitaires  » j’ai aussi fait dans l’automobile avec les achats de vieux catalyseurs et la vente de savon pour les mains, ultra concentrés !!  » dit-elle en riant. A Africable depuis 2007, la belle Nabou fait plus. En dehors de la présentation du J.T, elle fait des reportages et des magazines. Au début c’était avec  » 7 afrik  » diffusé le dimanche à  20h TU qui retrace les grandes lignes de l’actualité hebdomadaire sur le continent. En plus de cette émission qui l’a propulsée au devant de scène, elle a présenté  » Agora J « , une émission hebdomadaire, dédiée à  une jeunesse désireuse de contribuer au développement de l’Afrique.  » Le cocktail « , débats entre jeunes sur des thèmes de société et reportages mettant la jeunesse en avant-plan, a tout de suite été un succès.  » Et depuis fin 2009, je présente aussi deux fois par semaine Actu +, le journal de 20h « . ajoute t- elle. Toutes choses qui ont fait qu’elle a pu réussir à  s’adapter et atteindre un certain niveau dans ce métier, même si elle estime qu’elle n’est qu’au début de l’aventure. Cependant, des déceptions, elle en a vécues car les difficultés et les mesquineries qu’elle subit l’ont considérablement forgée à  devenir ce qu’elle est aujourd’hui. Côté presse au Mali, Nabou dira que c’est assez difficile d’être journaliste.  » Pas plus tard que la semaine dernière, j’ai assisté à  une rencontre sur la santé et lors d’une conversation, une dame qui venait d’un pays voisin a mentionné le fait que pour être journaliste au Mali, il fallait vraiment aimer ce métier « . Et c’est vrai, ce n’est nécessairement pas une voie dans laquelle on se lance en espérant devenir riche. Sans compter le fait que c’est souvent difficile d’entretenir une vie sociale car  » lorsqu’on est appelée pour couvrir un événement, on doit être disponible. Peu importe le jour ou l’heure. Les journalistes jouissent de conditions très peu enviables, mais ils s’en sortent quand même « . Sociabilité et respect Par ailleurs, la journaliste, selon notre constat est très sociable. Rien qu’à  entendre ses propos sur la valeur des parents, des amis et de la famille on se rend compte que Nabou a le sens de la solidarité, de l’amitié et de l’entraide. Communicatrice confirmée, elle aime l’échange  » pour moi la communication est primordiale « . Mais, elle déteste la discorde, et tous les comportements négatifs tels que la mauvaise foi et l’hypocrisie,  » je préfère quelqu’un de naturellement austère à  une personne faussement amicale. Mais surtout le manque de respect me répugne, je n’arrive pas à  m’y faire, on peut être en colère et se reprendre, mais quand c’est une habitude chez les gens, là  c’est une question d’éducation et ça on y peut rien  » Nabou est une férue des voyages. Si elle le pouvai,t explique t- elle, elle serait chaque mois dans un nouveau pays car rester trop longtemps dans le même environnement lui donne l’impression d’être emprisonnée.  » Le voyage en effet, permet de voir des choses différentes, côtoyer des personnes diverses et variées et ça colore la vie « . En outre, elle demeure aussi une passionnée de l’Internet et de la lecture, car dit-elle  » on ne se cultive jamais assez « . La belle célibataire, qui sait sans doute cuisiner, ne résiste pas à  un bon plat. Cependant, elle savoure avec délicatesse le Thièb et avec finesse, la cuisine italienne, indienne et chinoise.

13 Mai 2010 : JournalduMali.com fête ses 1 an d’existence !

Comme le temps passe vite! Il y a exactement un an, JournalduMali.com, votre site d’actualité en ligne était lancé sur la toile. Petit frère de Journalducameroun.com, JournalduMali.com se voulait, comme nous l’indiquions dans l’édito de Bienvenue : « un véritable journal en ligne. En phase avec le Mali d’aujourd’hui, il présenterait l’actualité du pays en continu. A la fois reflet de notre société, révélateur de talent, mais aussi initiateur de débats et lieu d’échange, ce nouveau site a pour ambition de vous servir une information claire, objective, fiable et variée sur le Mali ». Le journal a donc pris son envol avec une rédactrice en chef (Mame Diarra Diop ), un directeur de publication ( Mahamadou Camara) et plusieurs plumes qui vous sont maintenant familières ( Hawa Semega, David Dembélé, Modibo Fofana, Diakaridia Dembélé, Lancinet Sangaré etc…) autant de jeunes journalistes motivés et déterminés et qui ont été séduits par ce concept de Journal en ligne. On parle même de « Pure player », indiquait sur RFI, notre consoeur Ingrid Alice Ngounou, rédactrice en chef du Journalducameroun.com. C’est à  dire, un journal qui ne publie qu’en ligne et fonctionne comme une rédaction normale, sauf qu’il n’y a pas impression mais plutôt parlera t-on de mise en ligne quotidienne, un défi permanent dans un environnement pas toujours interconnecté. En un an, JournalduMali.com a séduit les Maliens de l’intérieur comme de l’extérieur. Ses lecteurs ont augmenté, son contenu s’est étoffé et ses publicités sont venues petit à  petit. En ce troisième millénaire, le concept du Webzine, du Journal en ligne, séduit tous les médias. Les plus grands journaux tels le Monde, Libération ou le New York Times ont leur interface web, ceci en raison de la crise de la presse écrite mais aussi pour acquérir une visibilité mondiale, toucher le lecteur du bout du monde. Voilà  la magie de l’Internet et du clic digital ! Merci aux lecteurs ! Vous avez donc été nombreux à  nous écrire, de partout, des Etats-Unis, d’Australie, de France pour contribuer au site, à  son amélioration quotidienne. Votre regard et votre distance de lecteurs nous ont aidé à  nous orienter vers le meilleur. Vos critiques ont été les bienvenues car nous sommes loin de la perfection vers laquelle nous tendons, pourvu qu’on nous en donne les moyens et l’ergonomie. A la fois sur le plan éditorial mais aussi graphique, artistique, rédactionnel et pratique. Une connexion fiable et un matériel de qualité en plus d’une équipe soudée sont la base de la réussite d’une telle aventure. Tout récemment, Malamine Koné, le PDG d’Airness, offrait à  la Maison de la Presse du Mali, une dizaine d’ordinateurs portables et des appareils photos, des outils indispensables aux jeunes journalistes pour effectuer leur travail dans les conditions les meilleures. Car trop souvent le journaliste Malien reste confronté à  la précarité matérielle et financière… Aujourd’hui, JournalduMali.com n’en est qu’à  ses débuts et à  de nombreux défis à  relever : une plus grande visibilité, un contenu encore plus riche, des analyses plus poussées, des reportages, des portraits de talents, l’intégration de la vidéo, du son, du Multimédia, les nouveaux outils. Seul bémol, ai-je envie d’ajouter, les vitesses de connexion restent encore trop aléatoires au Mali. L’installation de la fibre optique devrait améliorer l’intéractivité sur le net. Peut-on oser rêver de l’ADSL d’ici quelques années ? Ce qui explique sans doute que de nombreux médias émettent à  partir de l’étranger. Voilà  donc l’un des défis de l’Internet sur le continent. L’accès à  l’information en ligne, une information sensible qu’il faut vérifier contamment, puisque tout et à  la fois rien, circule sur la toile mondiale. La vigilance reste donc de mise sur Internet. Chers lecteurs, JournalduMali.com vous souhaite un bon anniversaire. Vos remarques, courriers et contributions nous serons d’autant plus utiles qu’une nouvelle année débute pour le Journal. L’équipe sera sans doute amenée à  changer, à  s’étoffer, à  s’agrandir, cela dans un seul but, faire du devoir d’informer et de la liberté d’écrire( pour reprendre l’hebdomadaire Jeune Afrique), un sacerdoce !

La presse malienne en crise de légitimité ?

La presse malienne évolue dans un environnement socio-politique o๠le mépris, la tolérance et l’indifférence s’érigent contre la liberté de la presse et donnent à  cette presse un pouvoir qui n’est pas le sien. Le mépris et l’indifférence sont devenus les armes utilisées par les maliens abusés par une certaine presse qui ne distingue pas l’information de ses propres opinions et qui pense qu’il lui appartient de « régler » des comptes. l’espoir né de la liberté de la presse depuis l’avènement de la démocratie s’est estompé très tôt. C’’est pourquoi certains politiques ont mesuré et bien évalué le pouvoir de la presse, surtout dans une démocratie naissante. « Ils ont créé et soutenu des médias d’opinion sous le statut« privé et d’informations générales qu’ils utilisent pour le marketing ou pour régler des comptes ». Les pouvoirs publics s’appuient sur la puissance publique pour mettre la presse sous influence. La précarité économique et financière dans laquelle vit la presse malienne favorise toutes les formes de pression et de corruption du pouvoir économique et politique. Le citoyen malien est la seule victime du non respect des principes professionnels élémentaires de vérification et de recoupement des informations par les organes de presse, surtout face à  la vie privée et à  la dignité de la personne humaine.. Médias privés économiquement paralysés Les défis majeurs auxquels les médias privés sont confrontés sont des problèmes économiques. Ces difficultés économiques ont pour noms, le manque de ressources financières, matérielles, logistiques et humaines sans oublier le déficit de professionnalisme lié au manque de formation et de retard technologique. Les contraintes économiques expliquent en grande partie les dérives et les violations de l’éthique et de la déontologie du métier de journaliste. « Surexploitation » des journalistes par les patrons de presse… A l’ORTM (la télévision nationale) comme dans les journaux en passant par les radios, les journalistes sont nombreux à  être l’objet de la surexploitation. Pour la plupart, ils sont jeunes, ces hommes de médias qui s’ingénient de jour et comme de nuit et dans des conditions difficiles, à  délivrer l’information au public. Reconnaissant cette réalité des journalistes, le ministre de la communication à  l’occasion de la cérémonie d’ouverture des 3èmes journées de la communication et devant les patrons de la presse, a rendu hommage à  ces hommes et femmes de médias pour leur sacerdoce malgré qu’ils soient sous payés, et surexploités, sans assurance maladie ni protection sociale. Aussi, Mariam Flantié Diallo félicite ces hommes de médias pour leur contribution à  l’émergence et à  la consolidation de la démocratie malienne et à  l’ancrage de la liberté d’expression. … qui débouche sur des dérapages récurrents « Quant on ne nous pas donne les moyens, on se créé les moyens », explique un jeune journaliste qui dénonce la précarité de l’organe ou il travaille depuis cinq ans. D’o๠la multiplication des attaques contre les acteurs de la vie politique, le traitement politisé de l’information, la corruption, la confusion entre information et publicité, toutes choses qui violent les règles de base de la déontologie et de l’éthique professionnelle du métier de journaliste. Pour donner à  la presse sa valeur réelle, les experts de la communication examinent la pratique du journalisme dans un contexte socio-économique difficile et qui détourne souvent le journaliste de « son devoir d’informer et de sa liberté d’écrire », pour paraphraser un grand éditorialiste connu.

Recharges téléphoniques ou l’art de se ruiner…

Ces dix dernières années, l’usage du téléphone portable a connu un boom incroyable à  travers le monde. De l’avis de nombreux utilisateurs, le téléphone portable est devenu incontournable dans un monde dominé par la communication de masse. Aujourd’hui, presque tout le monde à  un portable, du PDG à  l’aide ménagère. Ce qui a valu à  cet outil l’adhésion générale. Mais, une chose est de se procurer un téléphone, l’autre est de l’alimenter constamment avec des cartes de recharges vendus à  chaque coin de rue. Pour Orange ou Malitel, les pourvoyeurs de recharges, ne lâchent pas le citoyen malien ! « Même quand tu es dans ta voiture, en plein milieu de la circulation, un jeune vendeur tape à  ta vitre pour te proposer une carte et tu n’ as d’ autres choix que de la baisser, parce que tu réalises que ton crédit est presque fini, » confesse Anna, Commerciale. En ces temps de crise, certains détenteurs de portables, trouvent inopportuns les recharges à  répétition du téléphone portable. « Non seulement la minute coute cher, mais la recharge se vide de façon aberrante. Je prends l’exemple d’une recharge de 5000 francs CFA, elle ne me fait pas deux jours, parfois ! », ajoute Salimata, femme au foyer. Tout dépend évidemment de qui Salimata appelle, il n’empêche que ces recharges constituent des entrées considérables de bénéfices pour les opérateurs de la place. Pour Mory Fofana, journaliste, l’usage du téléphone portable est une charge lourde, mais inévitable et le téléphone reste précieux pour le travail : « Chaque fois que je dois rencontrer quelqu’un pour une interview, je recharge mon crédit pour appeler ». Doumbia S, un autre utilisateur, qui estimait au départ pouvoir se passer du portable, le trouve précieux aujourd’hui. « Comment vivre sans cet outil dans l’ère de la communication globalisée. Je ne peux plus m’en défaire car mon travail, ma vie en dépendent… » On veut bien croire Doumbia, qui risquerait de passer pour démodé aujourd’hui, s’il avait tenu sa promesse il y a six ans… Satisfaire à  une dépense impromptue… Et face à  certaines urgences, n’est-on pas obligé de débourser de l’argent pour payer une recharge ? Une dépense imprévue qui perturbe un budget de famille ou une bourse scolaire : beaucoup d’étudiants admettent l’endettement lié à  l’usage du téléphone portable : « mon souci C’’est qu’à  chaque fois que ma copine me bipe, je me sens obligé de la rappeler immédiatement, cette recharge n’étant pas prévu sur mon argent de poche, lorsque des situations urgentes se présentent, cela me porte préjudice », signale Abdoulaye, universitaire. Pour Alioune Ndiaye, opérateur économique, l’équation est simple : « A consommer moins de 10 000F CFA de crédit par jour, cela affecte négativement mes activités. Mon chiffre d’affaires baisse. Ne pas appeler, C’’est mettre mes affaires en stand-by ».

Interpellation à l’Assemblée Nationale : Le député Koniba Sidibé « coince » le ministre des finances

Le manque d’argent au trésor paralyse les activités des services et institutions de l’Etat avec une dette intérieure de plus de 106 milliards de FCFA. Le trésor malien est à  court d’argent. Ses caisses sont vides. l’état ne parvient pas à  honorer ses engagements face à  ses créanciers. C’’est le constat établi par les députés de l’assemblée nationale, qui ont décidé d’interpeller le gouvernement sur cette question sensible. A travers l’honorable Koniba Sidibé, le budget de l’Etat a été mentionné : le déficit se chiffre à  119,472 milliards en 2008 et 127,304 milliards en 2009. « Ce n’est pas acceptable pour deux bonnes raisons : la première, C’’est la surestimation des recettes fiscales et douanières de l’Etat. La deuxième, C’’est l’accumulation des arriérés de salaires dont le montant doit être pris en compte dans les besoins de financement de l’Etat. Et ils ne sont pas imputables à  l’équilibre entre les recettes et les dépenses de l’état », a déploré le député Koniba Sidibe La réponse du Ministre « Au vu des agrégats du premier semestre 2009, pensez-vous qu’il soit réaliste de pouvoirréaliser un taux de croissance de 7% sur l’année en cours ? Pensez-vous vraiment que le déficit de l’Etat soit acceptable ? Quelle solution envisagez-vous pour résorber les arriérés de paiement du trésor ? Pour le Ministre des Finances et de l’économie, Sanoussi Touré « environ 230 milliards de francs CFA ont été réajustés en cours d’année. Ceci pour tenir compte de la flambée des prix du carburant et la hausse de certaines denrées de première nécessité. Interrogés, certains députés ont fustigé les arguments avancés par le ministre, impropres à  cacher aux citoyens, la vérité sur l’état déficitaire du trésor malien…

Ouverture du 3ème Salon de la Bande Dessinée : on fait des bulles à Bamako

Cet événement de la bande dessinée malienne a vu le jour grâce à  l’initiative de Papa Diawara, Massiré Tounkara, Julien Batandéo, tous trois dessinateurs, et de Georges Foli, administrateur. « Leur aventure commune commence en 2002 lorsqu’ils créent l’Atelier BDB (entendre « Bande de Dessinateurs de Bamako » sur les conseils avisés du bédéiste congolais Barly Baruti) qui devient rapidement l’association Esquisseavec laquelle ils organisent les premières éditions du salon ainsi que des projets éducatifs de sensibilisation avec la BD médicale comme support. « . Une fois par mois, ils animent également les ateliers pour enfants de la « Bulle du samedi » au Centre Culturel Français de Bamako. En 2008, l’Esquisse devient le Centre de la Bande Dessinée de Bamako, structure dynamisante et surtout rémunératrice. Elle fait d’eux des professionnels organisés au contraire de la plupart des dessinateurs du continent qui restent bien souvent isolés. C’’est Georges qui dirige le Centre et en assure la promotion pendant que Julien, Papa et Massiré dessinent. Ce salon, qui était à  l’origine Les Journées de la Bande Dessinée Médicale, a pour ambition, non seulement d’assurer la promotion de la Bande Dessinée et de ses auteurs, mais aussi de participer à  la création d’un espace de publication local. Et puis surtout, il s’agit bel et bien de créer le public pour la bande dessinée au Mali et en Afrique en général. « Si le public existe, les éditeurs existent. Et si les éditeurs existent, les dessinateurs peuvent vivre de leur métier » déduit logiquement Georges. Tout le nœud du problème est là . Il faut créer la culture de la bande dessinée dans un pays o๠le pouvoir d’achat ne fait pas du livre un achat prioritaire ou évident. Le défi est donc de taille mais mérite d’être relevé. Une programmation de qualité La programmation de ce troisième salon est éclectique et met la Côte d’Ivoire à  l’honneur. Six expositions seront présentées : -« On va o๠là  ? » sur la Côte d’Ivoire et treize ans de crise politique en dessins de presse enprésence des dessinateurs, -une exposition sur la BD éducative, -« Ma passion des véhicules » par Julien Batandéo, -« Regard sur le développement » par des jeunes scolaires de 12 à  18 ans, -« Black », l’animatic par Massiré Tounkara sur planches et vidéo -une exposition sujet libre des auteurs maliens. Un espace sera réservé aux deux éditeurs maliens : Balani’s et Edis. Et pour le reste, le salon fera la part belle aux animations visant à  faire connaà®tre la BD et à  la rendre accessible à  tous : un « coin lecture » mettra des albums a disposition des curieux, des concours de dessin et de lecture seront organisés ainsi que la « Bulle du salon » qui aura lieu le samedi. La démarche du Centre de la Bande Dessinée de Bamako prouve que dynamisme et créativité permettent de mettre en place des structures culturelles viables économiquement au Mali. Le Centre produit régulièrement et existe de manière autonome. Le Salon de la BD, quand à  lui, bénéficie du soutien des coopérations suisse et de Helvétas Mali. Se joignent à  eux cette année la Fondation Orange et l’ONG Santé Diabète. C’’est donc pour bien des raisons un événement à  ne pas manquer, et puis surtout l’occasion de passer un bon moment en famille à  dessiner, lire et s’enrichir !

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JournalduMali.com, ou JDM, a pour ambition d’être un véritable journal en ligne. En phase avec le Mali d’aujourd’hui, il présente l’actualité du pays en continu. A la fois reflet de notre société, révélateur de talent, mais aussi initiateur de débats et lieu d’échange, ce nouveau site a pour ambition de vous servir une information claire, objective, fiable et variée sur le Mali. Le Mali est aujourd’hui l’un des pays d’Afrique les plus prometteurs en matière de développement socio-économique. Future puissance agricole, le pays réalise de grandes infrastructures, prochainement, la construction du troisième pont, parmi d’autres projets… Bamako est une ville pleine de promesses, qui s’étend davantage et sera demain l’un des carrefours de l’Afrique de l’Ouest, à  l’instar d’Abidjan, de Dakar ou encore d’Accra au Ghana. La capitale malienne abrite aujourd’hui de grandes entreprises internationales, et de nombreuses ONG. Elle se fait l’hôte de nombreuses conférences, au centre international de conférence, o๠s’est tenu dernièrement le premier salon International des transports en Afrique de l’Ouest, ou encore le Forum de Bamako chaque année. l’intérieur regorge également de richesses et de sites extraordinaires, du Nord au Sud, et d’Est en Ouest. Mais la richesse la plus importante du Mali se trouve sans doute ailleurs. Elle se trouve dans ses hommes et femmes, anonymes ou célébrités, qui construisent chaque jour l’avenir du pays. Pour toutes ces raisons, notre pays mérite une vitrine sur le Net, un outil d’information qui s’adresse à  tous, maliens de l’intérieur, diasporas, étudiants, cadres, employés, décideurs politiques ou économiques, membres du corps diplomatique, et représentants d’institutions internationales. Pour satisfaire ce public divers et exigeant, Journal du Mali s’appuie sur une équipe de journalistes expérimentés, motivés et impliqués, pour vous offrir tout le Mali en un clic ! Découvrez un site riche de rubriques, offrant des angles d’analyse différents, et un rapport plus ou moins distancié avec l’actualité : Dans A la Une, vous retrouvez chaque jour des articles de fonds sur l’actualité économique, sociétale, politique, sportive, culturelle, panafricaine etc. Les Instantanés du Mali, d’Afrique et du Monde vous livrent des informations de dernière minute grâce à  des dépêches régulièrement actualisées. Pour vos loisirs et sorties, le Guide du JDM met à  votre disposition toutes les informations souhaitées, et tout ce qu’il faut savoir sur le Mali… Chaque semaine, nous vous proposerons le Portrait d’une personnalité malienne au C’œur de l’actualité, ou qui force notre estime par son action et son engagement. La Grande Interview effectuée par notre rédaction donnera tous les mois la vision d’un homme ou d’une femme sur sa propre actualité et son environnement. Dans les autres médias, vous aurez accès à  une revue de presse, véritable condensé de l’actualité vue par nos confrères et amis de la presse écrite en ligne. Mais le JournalduMali.com serait incomplet sans une section multimédia, et nous proposerons très bientôt des Galeries photos plus complètes, avec de nombreuses images du Mali, insolites et quotidiennes, ainsi que d’authentiques reportages vidéo. En outre, vous pourrez prochainement visionner le journal télévisé de l’ORTM sur notre site. L’interactivité est aussi au coeur de JDM, qui vous permet de réagir et commenter des articles publiés. Nous espérons ainsi vous faire voir le Mali autrement, en un clic ! Le JournalduMali.com se veut ambitieux et humble. A ce titre, nous revendiquons votre indulgence, et votre participation pour nous aider à  améliorer quotidiennement ce site, et en faire notre site à  tous. Bonne visite sur JDM, et n’hésitez pas à  le faire découvrir à  vos ami(e)s en cliquant sur le lien ci-dessous ! Mame Diarra DIOP Rédactrice en chef Mahamadou CAMARA Directeur de publication