Voyagez en Français !

Entrepreneur indépendant et grand passionné de voyages, Julien D’Houndt a créé un site de location à l’endroit des voyageurs francophones. Ce site se nomme « www.location-francophone.com ».

C’est après plusieurs expériences dans la création de sites web que Julien D’Houndt décide de se lancer en Septembre 2015 dans ce projet et crée la première plateforme communautaire francophone sur ce secteur. « Après avoir développé ma plateforme pendant près d’un an, je me lance, mais avec difficultés, car il existe beaucoup de sites multilingues et similaires au mien. Cependant, je pense qu’un site comme le mien pourrait aider les francophones à réussir leur voyage où qu’ils aillent tout en élargissant la communauté francophone dans le monde », raconte–t-il.
Location-Francophone est la première plateforme communautaire francophone qui permet de proposer, de découvrir et de réserver des logements uniques dans le monde entier, quel que soit la durée. « Qu’il s’agisse d’un appartement pour une nuit ou d’une villa pour un mois, Location-Francophone offre aux voyageurs une expérience unique avec leurs hôtes, entre francophones. Elle met en relation les voyageurs et les hôtes, exclusivement francophones, dans le but de faciliter le voyage à l’étranger et de créer une réelle synergie lors de la location. Le but est de mettre en relation des personnes du monde entier partageant un même intérêt pour la langue française.

La plateforme s’adresse à la fois aux francophones et à tous ceux et celles qui apprennent le français. Selon son initiateur, plus de 50 pays ont déjà rejoint Location-Francophone depuis sa mise en ligne. Le projet Location – Francophone semble aller bon train, sur d’autres réseaux sociaux. « Nous commençons à avoir un bon réseau d’hébergements et nous sommes bien suivis sur les réseaux sociaux dont Facebook : plus de 5200 abonnés, Google+ plus de 1700 abonnés, Twitter : plus de 1700 abonnés. Je gère également la page Facebook ‘‘je suis Francophone’’ sur l’actualité qui compte plus de 14000 abonnés » conclut Julien D’Houndt.