« Nuit ORTM 2014 » : Miss Ortm change de formule !

L’annulation in extremis de la soirée Miss ORTM 2014, le 21 novembre dernier avait provoqué l’ire du syndicat de la télévision nationale, qui n’avait pas compris la décision du tout nouveau ministère de l’économie numérique et de la communication. Miss ORTM au fil des années et depuis sa création est devenue une petite institution qui consacre une reine de beauté chaque année. Le fait donc d’annuler l’évènement, avait aussi énervé les téléspectateurs habitués à  leur spectacle glamour de l’année. Ensuite le syndicat et le MENIC se sont à  plusieurs reprises concerté et ont choisi la date du 5 décembre pour reporter l’évènement. Mais ce que les aficionados de Miss Ortm ignoraient, c’est que le concept serait tout nouveau. De Miss Ortm à  la Nuit ORTM… En effet depuis quelques jours, à  la télévision, on peut apercevoir le spot d’une soirée, intitulée Nuit ORTM 2014 et qui aura lieu ce vendredi 5 décembre au CICB. En images de fond, des spectacles de danse et des affiches culturelles. Dans un communiqué publié ce vendredi, le ministère de l’économie numérique précise que: le Gouvernement a insisté pour que le nouvel événement tienne compte du contexte actuel, marqué par la crise sécuritaire dans le Nord du Mali, le processus de réconciliation nationale en cours, et la lutte contre la maladie à  virus Ebola, qui nécessite une mobilisation générale. Aussi, la formule a été revue et remaniée : au cours de la soirée, des artistes invités dévoileront des messages de paix et de réconciliation nationale, ainsi que de promotion de la femme. Alors, plutôt que d’admirer seulement la beauté de ces reines d’un soir, il faut leur faire la part belle et élargir leurs prérogatives. Elle deviendront alors les ambassadrices du Mali pour la paix et la réconciliation, la lutte contre Ebola, et la promotion de la femme. Rendez-vous ce vendredi sur vos petits écrans à  21h !

10è Tamani d’Or : les trophées de la musique malienne renaissent

Afin de mettre la musique malienne au diapason, les Tamani D’or récompensent chaque année les meilleurs artistes, ceux de la diaspora, et tous les hommes et les femmes qui font la culture au Mali. « La grande nuit du Tamani d’Or » va donc rassembler ces artistes qui se verront décerner les trophées de la musique malienne le vendredi 26 septembre au Palais de la Culture Amadou Hampaté Bâ de Bamako. Une pléiade d’artistes récompensés Depuis sa première édition, près de 400 artistes musiciens maliens, africains et de la diaspora ont été honorés et plus de 150 femmes et hommes de culture qui ont reçu les trophées Tamani d’honneur et d’hommage en leur qualité d’ambassadeur de la musique malienne. C’est donc à  cause de la crise socio-politique en 2011 que la 10è édition du festival Tamani n’avait pu se tenir. A présent que la scène culturelle reprend vie, l’édition actuelle qui débute officiellement le 24 septembre, aura un écho tout particulier et fera la part belle à  la paix et à  la réconciliation nationale. La toute dernière édition s’était donc déroulée en décembre 2011 au Centre international de conférence de Bamako et avait vu la griotte Fati Kouyaté remporter le Tamani d’or de la musique malienne. Selon Fousseyni Traoré, délégué général du festival, cette édition est toute spéciale, comme une renaissance et accompagnée par la Minusma. Mais en définitive, les artistes sont invités à  s’associer aux actions de sensibilisation du public, pour donner l’image d’un Mali uni grâce à  la culture et pour la réconciliation nationale.

Le Balafon fait vibrer les berges du fleuve Niger

Organisée par Mamadou Dembélé dit Dabara et ses amis balafonistes, la soirée s’est déroulée le samedi 19 avril au Palais de la culture. Une occasion pour les balafonistes de se rencontrer et d’émerveiller le public. Sur scène on a pu voir Mariam Bagayoko, la doyenne de ce genre musical, Molabali Keita, la star de Koutiala, Lamissa Bengaly N°2. Et bien entendu, Dabara qui de sa voix vibrante a tenu le public en haleine sur la berge du fleuve. Annoncé à  la manifestation, le parrain de la nuit du Balafon Malamine Koné de Airness s’est fait représenter par M. Guillaume Diallo. Le Balafon célèbre la paix au Mali Cette Nuit de balafon était en fait l’activité de lancement de l’Association des Balafonistes du Mali ( AB-MALI) qui a pour objectif de créer la cohésion entre les balafonistes du Mali. Le second objectif de ce concert était de chanter la paix pour réconcilier les Maliens. Les spectateurs étaient venus de tous les coins du district de Bamako pour se masser à  la berge du fleuve avec la fraicheur de Djoliba qui agrémentait la dite soirée. Au menu de cette nuit du balafon, les prestations de plus d’une vingtaine de joueurs de balafons. Une occasion de découvrir d’autres figures de cet art. Mariam Bagayoko, la doyenne, du haut de sa soixantaine largement entamée n’a rien perdu de son entrain. Ses bonds et pas rapides spécifiques ont arraché des cris de joie à  la foule. Lamissa Bengaly N° 2 est venu de Sikasso, le fief du balafon. Il a lui aussi ravi le public par son style original. Que dire Dabara et Molobaly, tous deux très populaires dans cet art. Malgré quelques absences remarquées, comme celle de Neba Solo endeuillé, les organisateurs se disent satisfaits. « Je suis vraiment comblé de joie de voir réunis tous ces joueurs de Balafon autour de moi. Je pense que l’objectif est atteint » s’est réjouit Dabara. Du coté des partenaires, l’Association pour la paix et la solidarité (APS) Mali qui soutient les actions de Malamine Koné Airness était largement présenté. Le président Madiba Keita a livré le discours de Malamine Koné. Les spectateurs quant à  eux sont rentrés chez eux, heureux d’avoir vécu cette fête du balafon. La soirée a pris fin par la remise des diplômes de reconnaissance à  Mariam Bagayoko, Malamine Koné dit Airness, Dougakoro Diarra, Soumaila Cissé homme politique, Souleymane Traoré dit Néba Solo, Molobaly Keita.

MASA 2014 : le stade Houphouët Boigny, une boîte de nuit à ciel ouvert

Communément appelé «Félicia» au bord de la lagune Ebrié, le stade Félix Houphouà«t Boigny, du nom du premier Président de la Côte d’ivoire, à  la faveur de la cérémonie officielle d’ouverture du Masa 2014, a été transformé en une grande boà®te de nuit à  ciel ouvert. En plus des discours des officiels, des artistes, comme Salif Keita, P Square et Magic system, ont amené les 20 000 abidjanais qui avaient fait le déplacement, à  danser. Et, les couleurs de la 8ème édition du Marché des arts et du spectacle africain étaient données. Il y a 7 ans que les lampions s’étaient éteints sur la dernière édition du Masa. En 2014, cette 8ème édition a été voulue par le Président ivoirien Alassane Dramane Ouattara, qui était d’ailleurs Premier ministre de la Côte d’Ivoire, à  l’époque de la première édition en 1993. Puissant facteur d’intégration et de cohésion sociale, la manifestation de cette année vise à  aider le peuple ivoirien sur son long chemin de la réconciliation. Présidée par Daniel Kablan Duncan, Premier ministre de la Côté d’Ivoire, la cérémonie d’ouverture qui a été exceptionnellement conçue comme une grande manifestation, a enregistré la participation de fortes personnalités comme : Robert Beugré Mambé, Gouverneur du District d’Abidjan, Maurice Bamdama, ministre ivoirien de la culture, Henriette Dagri Diabaté, grande chancelière de l’Ordre national, marraine de l’édition 2014 et Abdou Diouf, secrétaire général de l’Organisation internationale de la Francophonie. Pour donner le ton de la soirée, le samedi 1er mars 2014, au « Félicia », le Groupe «Afrique Tempo » a été mis à  contribution pour chanter l’hymne national de la Côte d’ivoire. Ensuite, comme pour exorciser l’espace et partant toute les villes de la Côte d’Ivoire qui doivent abriter les manifestations, le chef Haby Lucien, doyen des ébriés de Cocody, a procédé à  une cérémonie de libation. «Que le Masa soit une occasion pour la valorisation de la culture et que les ancêtres aident la Côte d’Ivoire à  aller très loin et surtout à  aider les ivoiriens à  retrouver la cohésion », a indiqué le chef traditionnel. En sa qualité de Directeur général du Masa, Pr Yacouba Konaté, après avoir mis l’accent sur la nécessité d’une l’alliance entre la politique et la culture, a souhaité que le présent Masa soit le lieu de l’éclosion de plusieurs artistes africains. Robert Beugré Manbé, Gouverneur du District autonome d’Abidjan, a rappelé que la culture C’’est la manière d’être, de penser et d’agir. Pour cela, il a estimé que la culture permet à  l’homme de marquer son originalité. « Nous nous réjouissons du réveil du Masa. Tel le sphinx, le Masa se réveille et sera beau et plus grand », a-t-il déclaré. Pour sa part, Maurice Bamadama, ministre de la culture de la Côte d’ivoire, a indiqué qu’il y a 27 ans que le Masa existe grâce à  la volonté des ministres de la culture de l’espace francophone. Il a réitéré l’engagement des autorités ivoiriennes de faire de cette rencontre l’espace de promotion des talents africains pour la conquête des marchés africains et du monde. Le Masa, facteur d’intégration Henriette Dagri Diabaté, grande chancelière de l’ordre national de la Côte d’Ivoire, marraine du Masa, a souhaité que le Masa soit un moment de ferveur qui participe à  la réconciliation des C’œurs et des esprits, dans une Côte d’ivoire en paix et résolument engagée pour le développement. « La réussite du Masa 2014 sera notre réussite à  tous », a-t-elle indiqué. Ensuite, ce fut le tour du dialogue des religions entre deux groupes. Une chorale musulmane sénégalaise et une chorale chrétienne de la RDC. En sa qualité de secrétaire général de l’OIF, Abdou Diouf, a rappelé un dicton de Houphouà«t Boigny, selon lequel « nous voulons allez en avant sans renoncer à  notre passé ». Le secrétaire général de l’OIF, a indiqué rien n’aurait pu l’empêcher de fêter cette renaissance du Masa, avec les ivoiriens. Avant de rappeler que l’Afrique a une civilisation millénaire, des traditions et des valeurs pour bâtir des industries culturelles de demain. « Si la francophonie a soutenu le Masa, C’’est parce que nous sommes convaincus que la culture est un pilier du développement », a-t-il déclaré. Avant d’estimer que le Masa, un puissant instrument d’unité et d’intégration continentale, est aussi un espace qui approvisionnera le marché en attente de créations et de productions africaine. « Nous sommes ici pour offrir une vitrine des meilleurs créations d’art contemporain du continent », a-t-il ajouté. Avant de rappeler qu’ils sont réunis à  Abidjan pour faciliter l’intégration des artistes africains dans les circuits de distribution à  travers le monde. Il a invité la jeunesse africaine à  prendre soins du patrimoine culturel africain. « Le patrimoine culturel africain est entre vos mains jeunesse africaine. Protéger et développer ce patrimoine précieux », a-t-il conclu. Représentant, le Président de la République de Côte d’Ivoire, le Premier ministre Daniel Kablan Duncan, a indiqué qu’après 7 ans d’interruption, le Masa reprend ses droits dans une ferveur populaire à  Abidjan. « Le Masa vient apporter des solutions concrètes aux problèmes des artistes et des professionnels de la culture en Afrique », a-t-il estimé. Avant d’annoncer que le gouvernement ivoirien sous la houlette du Président Alassane Dramane Ouattara, ne peut que soutenir cette initiative. Ce discours du Premier ministre ivoirien a permis aux artistes de donner libre cour à  leur talent. Le groupe Ribbab fusion du Maroc, Gnahoré Dobet de la Côte d’Ivoire, Dara J du Sénégal, Salif Keita du Mali, Maggic système de la Côte d’Ivoire et P Square du Nigéria, ont rivalisé d’ardeur pour une animation riche en sons et en lumière. Et, du coup, les nombreux mélomanes qui ont fait le déplacement du stade, n’ont pas pu se retenir. Le Stade a été transformé en une grande boà®te de nuit à  ciel ouvert. Cela augure de la réussite de cette édition du Masa.

Mali: ratissage à Tombouctou après des combats

Après une nuit calme à  Tombouctou (nord-ouest du Mali), l’armée ratissait lundi matin la zone oà¹, la veille, des soldats maliens appuyés par des militaires français ont affronté des jihadistes infiltrés dans la ville, selon une source militaire. « L’armée malienne ratisse (…) le camp militaire et vers la mosquée qui est à  côté du camp, pour vérifier qu’il n’y a plus de terroristes qui se cachent », a déclaré sous couvert d’anonymat cette source militaire. Le camp militaire, l’unique de Tombouctou, à  900 km de Bamako, est situé dans le centre-ville et en face de la mosquée historique de Djingareyber, construite au XIVe siècle. Un habitant, dont la maison jouxte la mosquée, a indiqué avoir entendu des coups de feu vers 09H30 (locales et GMT) », mais un proche de l’imam de la mosquée a affirmé que ces tirs avaient « beaucoup baissé en intensité » vers 10H00. Selon des témoins, les habitants qui s’étaient calfeutrés dimanche, ressortaient dans la rue lundi. Certains quartiers, dont celui du camp militaire, étaient toutefois interdits à  la circulation. Selon un bilan établi par l’AFP d’après des sources militaires, au moins sept personnes, dont un soldat malien et un civil nigérian, ont été tuées depuis la nuit de samedi à  Tombouctou. Le premier mort avait été enregistré dans un attentat suicide tard samedi soir à  une des entrées de la ville, les autres victimes avaient été enregistrées lors d’affrontements entre soldats maliens, français et jihadistes ainsi que lors d’une intervention de l’armée malienne contre un kamikaze qui avait pris en otage le civil nigérian. Dimanche, une source hospitalière a indiqué à  l’AFP avoir vu les corps de deux jihadistes, mais aucun détail supplémentaire n’était disponible dans l’immédiat.

LeylaTul Qadr : la nuit qui vaut milles mois

Dans l’évocation des mérites du mois de Ramadan à  travers les dires du Guide de l’islam (PSL) il est rappelé entre autres, que : « Ramadan, le mois de Dieu est supérieur aux autres mois, tout comme Dieu est supérieur à  ses créatures… » Pour les oulémas, lorsque le Messager en faisait état dans sa présentation du mois béni, soulignant qu’il « comportait une nuit meilleure que mille mois », il renvoyait aux sources du Livre saint de l’islam qui proclame : « Nous l’avons certes, fait descendre (le Coran) pendant la nuit du Destin. » Et ce moment est ainsi caractérisé : « La nuit du Destin est meilleure que mille mois. » (97:3) Pour les exégètes, le fidèle musulman qui cherche à  complaire par son œuvre au Créateur unique, et dans ce dessein, multiplie tout au long de l’année les actes d’adoration et les invocations, se trouverait fort comblé si les bienfaits d’une nuit pouvaient lui valoir le mérite de mille mois. l’aspiration en est fondée sur les propos du Messager, selon lesquels : « Il y a dans les jours de votre vie, des souffles bénéfiques de la part de votre Seigneur. Soyez soucieux de vous y exposez « . Au nombre de ces périodes faisant l’objet de la quête du croyant musulman, figure « la meilleure des nuits du Ramadan, la nuit du destin », suivant les recommandations du Prophète : « Quiconque a animé la nuit du destin (pour y être tombé) pour sa foi et son désir de complaire à  Dieu, ses péchés antérieurs lui seront pardonnés ». Les théologiens rapportent dans cet esprit que le Messager avait rejoint un jour un groupe d’hommes en grande discussion sur le Ramadan :  » Je suis venu vous annoncer la Nuit du Destin. Mais J’ai eu peur que vous ne comptiez que sur cela, et pourvu que ce soit pour vous un bien. Recherchez-la dans les dix derniers jours de Ramadan », avait-il recommandé. Il mettra l’accent à  cet effet sur les jours impairs dans ce décompte. Selon les exégètes, le Prophète encourageait les fidèles à  accomplir des œuvres surérogatoires durant tout le mois de Ramadan, sans les leur imposer. l’accomplissement en congrégation des prières surérogatoires du Ramadan relève de ces pratiques que le Prophète n’a pas maintenu tout au long du mois par crainte qu’elle ne fût une prescription à  observer par tous et que l’on se trouve incapable de l’exécuter Il est rappelé dans cet esprit que l’obtention des faveurs attribuées au Ramadan et mentionnées par le Messager est liée au respect par le fidèle du caractère sacré du mois, avec la recommandation que le fidèle garde sa langue du mensonge, de la médisance et qu’il se garde des transgressions, en préservant son C’œur de la jalousie et de l’hostilité envers son prochain.

5è Nuit des entreprises du Mali : Les meilleurs primés

Tous les ans, les meilleures entreprises maliennes sont primées dans plusieurs catégories telles les prix de : l’excellence, la persévérance, l’industrie, l’entreprenariat féminin, l’entreprenariat jeune, la qualité, etc. Proomouvoir l’entreprenariat au Mali Le ministre de l’industrie, des investissements et du commerce, Mr Amadou Abdoulaye Diallo exprime le souhait que d’ici 2012, le produit intérieur brut du Mali, augmente de 20%. Cela selon lui, contribuera à  améliorer l’environnement des entreprises et l’expansion du secteur privé: « Il est important d’améliorer la disponibilité des infrastructures. C’’est pour cette raison que nous avons jugé impératif, les constructions des zones industrielles de Ségou, Mopti, Kayes et Sikasso », explique-t-il avant d’ajouter que pour la réduction du coût de l’électricité, il faut nationaliser le fond national de garantie. Cela facilitera beaucoup la tâche aux entreprises du pays. Il appelle les entreprises à  prioriser le dialogue inter-branches, pour l’amélioration de la qualité et de la productivité. Le socle de développement d’un pays, à  travers les entreprises Par ailleurs, le ministre déplore la gestion de certaines entreprises familiales trop souvent confondues aux biens familiaux, donc mal gérées selon ses propres termes. « Une entreprise structurée s’améliore vite. Aucun pays ne peut se développer avec le commerce, ce sont plus tôt les entreprises qui font l’expansion économique d’un pays.» Sept prix décernés Au cours de cette 5e nuit des entreprises, sept (7) prix ont été décernés aux meilleures entreprises du pays. Le plus prestigieux des prix, celui de l’excellence est revenu à  Toguna Industries créée en 2006. Le Directeur général, Mr Keita se réjouit fortement de ce prix qui « contribuera à  n’en point douter, à  la consolidation du sérieux et de la meilleure suivie du travail dans l’entreprise». Le prix de la persévérance a été décerné à  la ‘holding Ben and Co’. Elle emploie environ 436 employés et est spécifiquement C’blée sur le domaine pétrolier. Les moulins modernes du Mali décrochent le prix de l’industrie. Pour sa part, la société Draméra et frères, la SONAF, empoche le prix de l’entreprenariat jeune. Le prix de l’entreprenariat féminin revient à  l’entreprise ‘Aicha BTP’. Sa promotrice indique vouloir lancer bientôt, un programme de construction de 100 logements sociaux. l’entreprise ‘Danaya s’envole avec le prix de la qualité. Elle fait la production de plusieurs céréales consommées au Mali et ailleurs (Mil, Mais, riz, sorgho, fonio…). Le dernier prix, celui de l’innovation, revient à  l’entreprise ‘la soudanaise’. ‘La soudanaise’ est l’inventeur de la fameuse brique H ou 2H, beaucoup utilisée dans la construction de nombreuses maisons.