La célébration a enregistré la présence des représentants d’autres notamment Soumaila Cissé de l’URD, Djiguiba Keita du Parena, Amadou Abdoulaye Diallo du PDES, Daba Diawara du PIDS, pour ne citer que ceux-ci. Deux ans de création seulement, le PRVM s’est imposé sur l’échiquier politique malien avec deux députés à  l’Assemblée Nationale. C’’est un parti qui s’est inscrit dans l’opposition avec pour objectif de restaurer les valeurs démocratiques au Mali. Dans la lutte contre le chômage, ce parti a déjà  employé 60 jeunes en son sein sans oublier ses soutiens de près de 20 millions aux commerçants de Sikoroni en commune I du distrisct de Bamako. Ousmane Sangaré, président du mouvement des jeunes du PRVM, témoigne à  la tribune de l’anniversaire et remercie les dirigeants du parti pour leur vision et leurs efforts en faveur de la jeunesse. Pour lui, il faut que la politique soit faite par les hommes honnêtes et dignes d’o๠le slogan de leur jeune formation politique. Pour Cheik Oumar Konaté, l’un des députés du parti, leur formation politique est sur les traces des grands partis. « Notre secret n’est autre que de faire la politique avec des hommes de parole, d’honneur et dignité, valeurs qui sont le socle de notre société » déclare –t-il. Les partis invités ont réaffirmé leur soutien au Parti pour la Restauration des Valeurs du Mali (PRVM). Soumaila Cissé président de l’union pour la république et la démocratie(URD) . « Je suis fière d’être avec vous, car vous ne courez pas derrière le gâteau du gouvernement . Je suis fiere également, chaque fois que nous organisons nos activités vous avez été avec nous. Je me rappelle le grand meeting de l’opposition, le PRVM a fait la plus grande mobilisation » déclaré –t-il. Une occasion pour Soumaila Cissé de tirer à  boulet rouge sur le régime d’IBK qui s’illustre par « l’insécurité grandissante, la gabegie financière, la confiscation de l’administration par le parti présidentiel ». Pour Diguiba Keita dit PPR, l’option de l’opposition une fois faite, le PRVM FASOKO a été de tous les combats, dénonçant « l’amateurisme du pouvoir, son manque de vision, sa mauvaise gouvernance, son népotisme, son incapacité notoire à  mener des négociations digne du Mali ». l’accord d’Alger s’est invité dans le débat et Djiguiba Keita comme Soumaila Cissé ont martélé une fois de plus que cet accord à  Alger est un germe de partition du Mali.