5 choses que vous ignorez sur le nouveau président de la république française

Emmanuel Macron était "très mauvais en maths"... Il a raté le concours d’entrée de l’une des plus prestigieuses écoles universitaires…

Emmanuel Macron était « très mauvais en maths »… Il a raté le concours d’entrée de l’une des plus prestigieuses écoles universitaires de France parce qu’il été « trop amoureux ».

1. Il a une fibre royaliste

Le fait que l’une de ses principales amitiés « people » soit Stéphane Bern, le spécialiste des têtes couronnées du PAF, n’est pas anodin. Interrogé par le journal « Le 1 », Emmanuel Macron parle du Roi comme « d’un absent » de la scène politique: « Il y a dans le processus démocratique et dans son fonctionnement un absent. Dans la politique française, cet absent est la figure du Roi, dont je pense fondamentalement que le peuple français n’a pas voulu la mort. »

2. Il a écrit un roman

Quand il était en classes préparatoires, il s’est lancé dans l’écriture d’une fresque historique. « Babylone Babylone » retrace l’épopée du conquistador Hernan Cortés, au Mexique. « Il n’a eu qu’une seule lectrice, mon épouse, et n’en aura pas d’autres », dira Macron. Il a finalement publié deux volumes politiques mais il a mis ses ambitions littéraires en veilleuse.

3. Les maths comme point faible

Selon un ancien camarade de classe, Jean-Baptiste Froment, « l’économie ne l’intéressait pas et il était très mauvais en maths ». Plutôt littéraire, il a notamment été assistant du philosophe Paul Ricoeur, avant de se tourner sur le tard vers la finance et de devenir ministre… de l’Économie.

4. Recalé à Normale Sup’

Il a raté le concours d’entrée de l’une des plus prestigieuses écoles universitaires de France, Normale Sup’. La cause? « J’étais trop amoureux pour préparer (le concours) sérieusement. » Il se rattrapera à l’ENA, l’école des présidents.

5. Il a voulu créer une boîte

Après son passage à l’Élysée, mi-2014, il a voulu créer sa société de conseil financier. Selon le président du conseil d’administration de Sanofi, Serge Weinberg, elle avait déjà un nom: « Macron Partners ».