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Can 2015 : le pays hôte se veut rassurant

C'’est le 17 janvier prochain que débute la grand-messe du foot continental. Selon le ministre Francisco Pascual Obama Asue, tout…

C’’est le 17 janvier prochain que débute la grand-messe du foot continental. Selon le ministre Francisco Pascual Obama Asue, tout a été mis en place pour accueillir les délégations. « Nous avons fait de notre mieux malgré le temps très court dont nous disposions. Et nous mettrons tout en oeuvre pour que la CAN soit une belle fête. La CAF a déjà  visité et revisité les sites de Mongomo et Ebibeyin qui ont fait l’objet de critiques dans certains médias. Les pelouses ont été renouvelées et sont prêtes à  accueillir les rencontres. Il y a des hôtels de bonne qualité à  Mongomo et à  Ebibeyin. Il y aura suffisamment de logements pour toutes les délégations officielles, les journalistes et même les supporters » a-t-il affirmé sur le site internet de la Confédération africaine de football (CAF). Pour ce qui concerne l’état des pelouses, le ministre déclare avoir fait confiance aux spécialistes. Intervenant hier lundi 05 janvier sur les ondes de Radio France Internationale, il est revenu sur la polémique sur la disponibilité des terrains d’entraà®nement notamment à  Mongomo, la restauration, et l’accueil des supporters. « (…) On laisse la CAF se charger de telles choses et des différents programmes, mais ce qu’il faut savoir, C’’est que les équipes logées à  Mongomo vont bénéficier de deux terrains plutôt qu’un, il y a en effet un terrain d’entraà®nement à  une quinzaine de kilomètres de la ville, on verra tout ça avec la CAF » a dit M. Francisco Pascual Obama Asue à  propos des terrains d’entrainement. Aux visiteurs, le président du comité local d’organisation a précisé qu’« il faudra respecter les formalités aux aéroports et autres frontières ». Parce que « des contrôles sur la détection d’éventuels cas d’Ebola seront effectués » peut-on lire sur le site de la CAF. Le comité d’organisation a contacté la semaine passée, les quinze fédérations engagées pour leur annoncer que leur transport ne serait finalement pas pris en charge, souligne France 24. Le comité invoque la « chute des prix du pétrole » pour justifier sa décision.