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Case Sanga 3 : C’est reparti pour une nouvelle saison !

Placée sous le signe du cinquantenaire et de l'intégration africaine, la 3ème édition de l'émission téléréalité, Case Sanga, a débuté…

Placée sous le signe du cinquantenaire et de l’intégration africaine, la 3ème édition de l’émission téléréalité, Case Sanga, a débuté ce vendredi dernier au Palais de la culture Amadou Ampathé Bâ. Pour cette édition 2010, neufs pays seront représentés. Il s’agit du Benin, de la Côté d’Ivoire, du Burkina Faso, du Niger, de la Guinée Conakry, Togo, Sénégal, la France et du Mali. Case Sanga en est à  sa troisième édition et le succès des deux précédentes éditions ne s’est pas démenti, aussi, les deux dirigeants de Fanaday Entertainment ont remis ça avec l’accord de diffusion de la chaà®ne panafricaine Africable, basée à  Bamako. 3 candidats pour le Mali Lors des castings, près de 300 candidats s’étaient inscrits. Au Mali, la sélection a eu lieu au Café des Arts de Bamako avec un jury composé du comédien Hamadoun Kassogué (président), Sabou Doronthié, Aly Castro Traoré, Mamadou Fakoly Doumbia, M’Baye B Diarra et Alassane Soumano. Trois candidats ont finalement été retenus pour la phase finale. Il s’agit de Fatoumata Diarra, Anne Marie Konaté et de Drissa Sogoba.Pour la Côté d’Ivoire, Saran Diabaté représentera son pays et Kiya Simaga, la fille de Sadio Kouyaté (épouse de Sékouba Kouyaté Donsoba) Elle a été choisie par 7 prétendants lors d’un casting organisé à  Evr pour représenter la diaspora. 5 millions de francs pour le lauréat Pour cette saison III, le grand prix s’élève à  5 millions de francs CFA, et les organisateurs ont innové. Les candidats ne seront plus nominés en public lors des prime-times, mais il y aura une autre forme de notation. L’organisation tout comme l’encadrement et l’héergement des candidats se voit améliorés, affirment les organisateurs. Le but étannt d’éviter les erreurs passées. On se souvient que le grand prix de la première édition avait été enlevé par Mamadou Dembélé dit « Dabara », tandis qu’à  la deuxième édition, C’’est la Burkinabé Pamika qui avait été sacré lauréate.