« La femme de Dieu »: entre imagination et réel…

Né en 1964 en Côte d'Ivoire, Minga S. Siddick est arrivé au Mali en 2002 o๠il intègre la rédaction…

Né en 1964 en Côte d’Ivoire, Minga S. Siddick est arrivé au Mali en 2002 o๠il intègre la rédaction du journal Le Challenger entant que secrétaire de rédaction. Journaliste indépendant, enseignant et blogueur, l’auteur du roman « La femme de Dieu » est à  sa troisième parution dans ladite catégorie. Après, à‰trange destinée en 1991 et Valses et tourbillons en 2008, Minga S.Siddick de lance dans une nouvelle aventure dont l’univers n’est que le fruit d’une imagination inouà¯e. La femme de Dieu est une œuvre littéraire atypique par sa construction a témoigné l’auteur ce samedi au centre de photographie à  l’hippodrome. Œuvre passionnant, « la femme de Dieu » est d’abord une histoire d’amour, ensuite, une prose poétique et enfin un contenu politique, symbolique et affectif. Plus qu’un roman, « la femme de Dieu »est un outil introspectif pour chaque lecteur, un manuel d’exercice littéraire par son style et sa construction particulière. Fiction littéraire sur une à®le rebelle Maovi, journaliste travaille pour une organisation humanitaire au Bénin. Il est envoyé en Fermalie, une à®le imaginaire, à  la recherche d’une folle. Sa mission coà¯ncide avec de graves catastrophes naturelles et des troubles politiques sur l’à®le dirigée de main de maitre par le tout puissant président Gobon Tekon, qui rêve de « rivaliser d’éternité avec Dieu » au pouvoir. Vite, Maovi devient secouriste. Il ne trouve pas la folle mais fait la découverte d’un manuscrit. Une partie de ce texte raconte l’histoire d’amour de Maà¯kan, une jeune femme qui sombrera dans la folie et qui sera surnommée La femme de Dieu. L’autre est le récit d’un albinos qui serait le fils de la folle.