Journaldumali un site de presse, bien sûr mais puisque nombre d’entre nos lecteurs n’ont jamais visité nos locaux, l’occasion m’est offerte de leur dire que le journaldumali.com C’’est l’affaire des femmes. Un matin nuageux d’août 2013, je fus joint par une veloutée voix féminine qui m’invita à  passer à  JDM (C’’est ainsi que nous appelons votre site préféré). Information prise ça et là , J’appris que JDM C’’est Jolies Dames Matures ou comme le disent mes amis maliens Mousso Sô (la maison des femmes). Je me mis sur mon trente et un pour faire bonne impression mais à  force de me rapprocher du siège sis à  l’ACI 2000 mon C’œur battait la chamade. A quelle sauce serai-je mariné par ces femmes craintes de tous ? Retenez –vous messieurs, elles ne mordent pas C’’est juste qu’elles ont des têtes bien faites et tiennent à  le faire savoir. Dés l’accueil, une belle dame au sourire ouvert vous reçoit. Elle est si professionnelle qu’elle ne s’empêche de faire attendre le visiteur le temps d’aviser la cheftaine qui pourtant se trouve dans la salle voisine o๠se tiennent les réunions de rédaction. Faux timide que je suis, je fus reçu en toute simplicité avec une convivialité déconcertante. C’’est Mame, comme on l’appelle affectueusement, qui fait les présentations. Avec un petit visage qui cache une forte personnalité, la rédactrice en chef est professionnelle jusqu’au bout des ongles. Elle lit, relit, corrige et remonte tous les papiers. Elle définit les angles de traitement et reçoit s’érige en mur de lamentations des personnes et institutions égratignées par les productions des journalistes. Son côté maman poule et sa souplesse en font un bon chef d’équipe. Prés de Mame Diarra Diop trône une autre belle plume, je veux parler de Célia. Celle-là , elle impose le respect. Consultante et formatrice, elle parle peu et fait du journalisme un sacerdoce. Elle est minutieuse et comme toutes les femmes, elle travaille avec minutie. Célia complète bien Mame. Célia est ferme sans être dure pendant que Mame sait être dure quand l’interlocuteur verse dans des critiques subjectives. Leur complicité vaut bien des satisfactions à  la direction de JDM. En bonnes féministes cachées, elles couvent leur cadette Djénéba aux reportages sublimes. J’aurai dû commencer par elle. Aurélie Dupin, directrice de JDM brille par une simplicité en tout. Du verbe au port vestimentaire en passant par le management des hommes, Aurélie imprime son style de gestion. Sereine et réfléchie, elle tient le gouvernail et compte mener la barque au loin. En cette journée de célébration des femmes, par ma voix, les mâles de JDM rendent hommage à  ces professionnelles de l’information qui souvent sacrifient beaucoup de choses pour satisfaire le public par la livraison d’informations de première main. Leur mérite est certes de montrer que les femmes sont plus rigoureuses et plus sérieuses en matière de gestion mais surtout de manager avec doigté et tact des hommes souvent trop égocentriques. Pour la petite histoire, elles ont le don de nous faire travailler sans forcer la main et à  chaque fois qu’elles commencent par « mon grand » C’’est pour t’envoyer au charbon. Nous avons compris le jeu mais laissez-moi, chers internautes et lecteurs de JDM, vous dire que les femmes de votre site méritent soutien et encouragement pour leur dévouement et leur engagement. Bonne fête à  vous les divines de JDM.