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Le Mali classé 1er sur les 17 Etats membres de l’Organisation Africaine de la Propriété Industrielle

Office commun d’application du Traité qu’est l’Accord de Bangui révisé et le Droit dérivé constitué par ses Annexes, l’OAPI regroupe…

Office commun d’application du Traité qu’est l’Accord de Bangui révisé et le Droit dérivé constitué par ses Annexes, l’OAPI regroupe à ce jour, dix-sept Etats membres que sont le Mali, le Bénin, le Burkina Faso, le Cameroun, la Centrafrique, les Comores, le Congo, la Côte d’Ivoire, le Gabon, la Guinée Conakry, la Guinée Bissau, la Guinée Équatoriale, la Mauritanie, le Niger, le Sénégal, le Tchad et le Togo.

Lors de la 60ème Session Ordinaire du Conseil d’Administration de l’Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI), la délibération du jury a distingué le Mali parmi ses pairs car le Centre Malien de Promotion de la Propriété Industrielle (CEMAPI) a obtenu le 1er prix, devançant le Burkina Faso et la Mauritanie sur le podium le 8 décembre à Lomé au Togo.  Cette distinction a été saluée par les autres Etats membres qui y ont vu la consécration de la constance, du sérieux et des efforts inlassables du CEMAPI, sous le leadership de la Directrice Mme. Fatoumata Siragata TRAORE, dans la promotion de la propriété intellectuelle au niveau national mais aussi, dans la mise en œuvre du Plan d’actions stratégique de l’OAPI rapporte le communiqué reçu au sein de la rédaction.

Cette distinction, quatrième du genre pour le Mali, doit constituer une opportunité pour intensifier davantage les  actions de sensibilisation des usagers sur l’importance de la protection de leurs actifs de propriété industrielle (marques de produits et de services, brevets d’invention, noms commerciaux, dessins et modèles industriels, etc.) dans un environnement économique de plus en plus  compétitif.

C’est également une opportunité pour le Département d’intensifier les efforts pour faire aboutir le processus de l’enregistrement de l’échalote de Bandiagara en  indication géographique tout en élaborant une véritable stratégie nationale d’enregistrement de marques collectives en vue de valoriser les produits locaux et freiner l’érosion de nos savoirs locaux vers le reste du monde.

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