Salon de l’étudiant : Une 2è édition réussie

Au Mali, l'enseignement supérieur signifie la promotion sociale, une chance d'émancipation et un instrument irremplaçable pour des pays comme le…

Au Mali, l’enseignement supérieur signifie la promotion sociale, une chance d’émancipation et un instrument irremplaçable pour des pays comme le nôtre, engagés dans la bataille pour le développement. Face à  ces défis, le forum national sur l’éducation avait exigé que la qualité de l’enseignement supérieur, soit l’élément dominant pour de nombreux étudiants désireux de parfaire leurs cursus, en regardant vers d’autres horizons, jusqu’ici bouchées à  cause de conditions matérielles et financières impossibles à  satisfaire, de la mauvaise présentation de dossiers, ou l’ignorance des conditions d’accès aux études supérieures une opportunité pour mieux orienter et s’orienter Le salon se propose d’informer, de conseiller et d’orienter les étudiants sur les filières d’études supérieures qui leur sont accessibles. Il étaient un peu plus de 900 étudiants à  envahir les stands du centre international de conférence de Bamako. Au stand du groupe EPSIEL, une école d’ingénieur, on propose des filières pluridisciplinaires dans le domaine de l’automatisme ou de l’informatique industrielle. Selon le représentant du groupe EPSIEL, les lauréats seront capables de s’adapter aux spécificités industrielles et de conduire des projets d’envergure intégrant l’analyse, l’élaboration et le choix de solutions techniques. D’autres stands comme APTECH (computer éducation), leader mondial dans l’enseignement des technologies de l’information et de la communication, sont désormais implantés au Mali. Ce centre universitaire propose des diplômes étrangers aux étudiants. Les représentants de ces centres universitaires orientent les étudiants sur les différents programmes d’études. Plutôt ravis de cette belle initiative. Mamadou Traoré : «Â Je suis à  la FLASH, et C’’est la première fois que je viens dans un tel salon, C’’est une mine d’information pour nous les étudiants. Aminata Doucouré, lycéenne : « Je suis venue m’informer sur les frais de scolarité de certaines universités privées, car que je compte faire du marketing après le bac ». La cérémonie d’ouverture du Salon à  laquelle participaient plusieurs étudiants et les promoteurs d’université était présidée par Garba Tapo, l’initiateur de ce salon.