Sky Mali : dans les airs ce mardi

La nouvelle compagnie aérienne malienne s’apprête à effectuer ses premiers vols domestiques le 29 septembre 2020. Des vols en direction de la ville de Kayes essentiellement, durant le premier mois d’activité. il s’agira de 3 vols au départ de Bamako le mardi, le vendredi et le dimanche.

Ces vols seront au prix promotionnel de 120 000 francs CFA aller – retour. Les autres destinations, vers le Nord du pays, devraient rapidement suivre et concerner les villes de Gao, Tombouctou et Mopti.

Sky Mali envisage également des vols entre Bamako et plusieurs capitales sous-régionales et africaines à court terme. Abidjan, Dakar, Cotonou, Conakry, Libreville, Brazzaville et Pointe Noire, qui doivent accueillir de 4 à 10 vols hebdomadaires, sont entre autres les destinations ciblées, comme, à terme, partout où des Maliens se trouvent à travers le monde, selon les termes des responsables de la compagnie.

Les premiers passagers voyageront à bord d’un Boeing 737-500, qui compte 12 sièges en classe affaires et 102 en classe économique. Le deuxième avion attendu comptera 16 places en classe affaire. À terme, la société doit acquérir au total 5 avions.

Corsair effectue le premier vol de sa ligne Paris-Bamako

La compagnie française Corsair, a effectué hier mardi, le premier vol de la ligne Paris-Bamako. Les responsables espèrent que ce vol sera le début d’une grande histoire d’amour avec le Mali.

L’histoire est en vol, pour Corsair et le Mali en tout cas. Pour les deux, la date du 30 janvier est à marquer d’une pierre blanche. C’est ce jour vers 19h 50 que le premier avion de la compagnie Corsair, en provenance de Paris-Orly, s’est posé sur le tarmac de l’aéroport international Modibo Keita de Senou. 280 des 303 sièges étaient occupés, un ‘’taux  de remplissage important ‘’  pour le premier vol d’une nouvelle ligne selon les mots d’Antoine Huet, directeur général adjoint affaires commerciales de la compagnie, présent à Bamako pour ce vol inaugural. Les 280 passagers de ce tout premier vol, ont pu bénéficier d’un service de grande qualité, « aux standards » de ceux offerts par les grandes compagnies, et de la magie de plats concoctés par un chef étoilé. De la vraie gastronomie française, qui rassurez-vous saura ravir les plus adeptes de mets maliens. « Nous insistons sur la qualité de nos services, et nous y mettons un accent particulier, notre ambition est de faire de Corsair, une des compagnies de référence dans le ciel malien », affirme Antoine Huet.

Choix  plus larges

Pour le premier trimestre de l’année 2018, la compagnie effectuera un vol hebdomadaire, tous les mardis. Mais dès mois d’avril, Corsair opérera deux vols par semaine (mardi, et samedi), et grâce à un partenariat avec la compagnie Aigles Azur pour un partage de code, les clients pourront choisir entre cinq vols hebdomadaires. De quoi ravir et voyageur standard et le plus grand des globe-trotteurs avides de découvertes. De la Caraïbe aux Amériques, la compagnie entend rendre le monde plus accessible, et dans un confort de palace à ces passagers.  « Nous représentons un vaste réseau à nous deux, les clients bénéficieront d’une grande variété de tarifs », assure Huet. Le tout à des prix défiant toute concurrence. Et le terme n’est pas employé pour faire commercial. 409.000 FCFA TTC, c’est le prix de billets aller-retour Paris-Bamako. De quoi permettre d’assurer à toutes les bourses une petite visite de la Tour Eiffel.

Corsair déploie ses ailes à Bamako

Du nouveau dans le ciel malien. La compagnie aérienne Corsair vient de lancer sa ligne Bamako-Paris. Une annonce bienvenue pour de nombreux voyageurs maliens, qui auront désormais un éventail de choix plus large.

Avion de dernière génération, confort maximal, prix concurrentiel et service de chefs étoilés, la compagnie a mis les petits plats dans les grands pour satisfaire ces potentiels futurs clients. Le premier vol de Corsair se fera le 30 janvier. Les voyageurs ont jusqu’à cette date pour bénéficier d’un tarif promotionnel de 340.000 FCFA TTC sur les billets. « Nous ne sommes pas là pour faire du coût, nous voulons démocratiser le traffic, augmenter le nombre de voyageurs », rassure le PDG de Corsair Pascal de Izaguirre. Déjà présent au Sénégal et en Côte d’Ivoire, avec succès selon le PDG, la compagnie entend capitaliser sur ces expériences chez nos voisins pour offrir un service de qualité aux voyageurs maliens. « Nous savons que les Maliens aiment voyager, et le plus souvent avec beaucoup de bagages, notre appareil à une grande capacité, ce qui devrait donc faire le bonheur de nombreuses personnes, nous pouvons répondre aux besoins de toutes les clientèles », affirme le premier représentant de Corsair. Pour ce faire, la compagnie mettra à disposition l’un de ces fleurons : l’Airbus A330, avion de ligne long courrier pouvant accueillir 352 passagers.

Priorité désenclavement

Au-delà d’assurer la liaison Bamako-Paris, la compagnie a fait du désenclavement l’une de ses priorités, de quoi ravir le gouvernement malien. « Cela s’inscrit directement dans les ambitions du président de la République qui a mis un point d’honneur dans le désenclavement intérieur et extérieur du pays », juge le ministre du transport et du désenclavement, Moulaye Ahmed Boubacar, présent au lancement de la ligne. Néanmoins, il faudra faire preuve de patience pour voir s’opérer ce service. « Nous n’avons que des appareils gros porteurs pour l’heure, mais avec notre partenariat avec la compagnie Aigle Azur, qui a des avions plus petits, nous pourrons le faire. Avec le temps, nous développerons nos activités, nous avons à cœur de nous inscrire sur le long terme », annonce le PDG de la compagnie.

Partenariat gagnant

D’un vol hebdomadaire dans un premier temps (mardi), Corsair opérera à compter du mois d’avril, deux vols par semaine soit les mardis et samedis. Bénéficiant d’un partenariat avec Aigle Azur, les deux compagnies effectueront un partage de code qui offrira donc aux Maliens 5 vols hebdomadaires par semaine. « Il était naturel pour nous de nous intéresser à ce grand pays d’Afrique de l’Ouest, nous croyons au Mali », conclut Pascal de Izaguirre.