Phase de groupes de la Ligue des Champions : 1xBet présente le preview du deuxième tour

Le deuxième tour de la Ligue des Champions promet d’offrir plusieurs matchs au scénario tourbillonnant et aux résultats inattendus. Le bookmaker 1xBet te souhaite de bons jeux et te présente les matchs qui auront lieu les 3 et 4 octobre.

 

3 octobre, Naples vs Real Madrid

Les Napolitains ont connu un début de saison médiocre en Serie A, et seul Victor Osimhen répond encore aux attentes. Les « Galactiques » sont menés par l’excellent Jude Bellingham, mais l’absence d’un buteur pose beaucoup de problèmes à l’équipe d’Ancelotti. Quelle équipe sera la plus performante au Stadio Diego Armando Maradona ?

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3 octobre, Inter vs Benfica

Lors de la première journée du Groupe D, l’Inter a arraché le nul face à la modeste Real Sociedad, tandis que Benfica s’est incliné de manière sensationnelle face au Red Bull Salzbourg. Le grand club italien veut remporter tous les tournois de la saison et prouvera sa force au Giuseppe Meazza. Cependant, Benfica n’est pas aussi faible qu’il n’y paraît, même s’il a vendu ses meilleurs joueurs la saison dernière. Les Aigles parviendront-ils à sortir leurs griffes et à déstabiliser l’Inter en contre-attaque ?

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4 octobre, Borussia D vs Milan

L’AC Milan rend visite au Borussia Dortmund avec l’espoir de résister au déluge d’attaques et de trouver ses chances en contre-attaque. L’équipe de Hummels et Reus n’a rien à perdre : les Bourdons ont perdu contre le PSG au premier tour et se sont compliqués la tâche pour sortir du « groupe de la mort ». Cette saison, les « Rossoneri » ravissent les fans avec un jeu solide, mais la récente défaite face à l’Inter est encore fraîche dans les mémoires. Pioli résistera-t-il à l’équipe d’Edin Terzic ?

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4 octobre, Newcastle – PSG

Que dirais-tu de la perspective de rendre visite à une équipe qui vient d’anéantir son adversaire 8-0 ? Mais le PSG n’a pas le choix, l’équipe devra mettre Newcastle à l’épreuve à St James’ Park. Cependant, les Parisiens se distinguent favorablement de Sheffield United par la présence de Killian Mbappé, Ousmane Dembélé, Gonçalo Ramos et d’autres stars. Qui sortira vainqueur d’un derby entre les deux clubs riches ?

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4 octobre, Leipzig – Manchester City

En début de saison, Josep Guardiola a perdu Kevin De Bruyne, mais a brillamment compensé son absence par des remaniements tactiques. Les Cityzens continuent d’écraser tous leurs adversaires, mais ils n’ont pas oublié leur match nul sur le terrain du RB Leipzig en Ligue des champions la saison dernière. Cette sous-estimation profite au talentueux entraîneur Marco Rose et à son équipe. Les Saxons ont surpris le Bayern Munich en s’imposant 3-0 en Supercoupe d’Allemagne, et ils voudront maintenant le faire revivre contre les champions d’Europe.

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4 octobre, Porto – Barcelone

Le FC Barcelone a infligé une manita face à l’Anvers au premier tour de la Ligue des champions, mais tout n’est pas rose pour les Catalans. En La Liga, l’équipe ne joue pas aussi bien – la domination et l’aisance habituelles dans leur jeu n’ont pas été remarquées contre le Celta et Majorque. Le match contre le FC Porto est une excellente occasion pour le staff de Barça de résoudre les difficultés temporaires et de retrouver leur jeu.

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FC Barcelone : l’UEFA ouvre une enquête sur les scandales liés à l’arbitrage

Ce jeudi, l’UEFA a décidé d’ouvrir une enquête contre le FC Barcelone autour de l’affaire Negreira. D’après les informations récoltées par le quotidien espagnol AS, le club catalan risque une sanction. Déjà dans le viseur de la justice et de la ligue espagnole, le club catalan fait aujourd’hui l’objet d’une enquête ouverte par l’UEFA ce jeudi. La commission d’éthique et de discipline de l’instance européenne aurait, d’après Marca, assez d’informations pour mener l’investigation concernant une éventuelle violation du cadre juridique par le Barça, conformément à l’article 31-4 de son règlement.  Certains anciens joueurs du club, Andres Iniesta notamment se sont exprimés sur l’affaire pour défendre le Barca. «Lors de ma période au Barça (2002-2018 ndlr), je n’ai jamais rien vu ni rien entendu d’étrange, a assuré l’ancien international espagnol. Je suis convaincu que le Barça n’a jamais acheté le moindre arbitre.» AS relayé par l’Equipe informe de son côté que le club espagnol risque une sanction, qui pourrait être l’empêchement de disputer des compétitions européennes dans les prochaines années.

Stade malien de Bamako : un géant qui vacille

Eliminé des coupes africaines, la ligue des champions et la coupe CAF, le Stade malien de Bamako connait également des difficultés en championnat national ligue 1 orange cette saison. 7ème au classement après huit journées (un match en retard), le club le plus titré du Mali est loin d’être à son meilleur niveau.

3 Victoires, 3 défaites, 1 match nul. 7 buts marqués, 5 encaissés et 10 points seulement sur 21. C’est le bilan peu reluisant du Stade malien de Bamako en championnat national en ce début de saison 2021-2022.

A cela s’ajoute les déconvenues face au Horoya AC de Guinée au 2ème tour préliminaire de la ligue des champions (0-1 ; 2-1) et surtout l’élimination au tour de cadrage de la coupe CAF par le club libyen Al Ahly Tripoli.

Que ce soit sur le plan continental ou national, rien ne va pour les blancs de Bamako cette saison. Pour le consultant sportif, Mohamed Soumaré, le stade malien fait face à une fin de cycle, après avoir régné sans partage sur le football national sur les dix dernières années.

Départ des cadres et instabilité sur le banc de touche

« On ne peut pas passer tout le temps à battre toutes les autres équipes. A un moment donné vous devenez aussi l’équipe à abattre.  Après tout ce succès et après le départ des cadres, il fallait s’attendre à un petit chamboulement. Le stade est actuellement à ce tournant », relève M. Soumaré.

Alassane Cissouma, journaliste sportif, abonde dans le même sens. Pour lui, en plus du départ des joueurs cadres à l’instar de Djigui Diarra, Sadio Kanouté, Demba Diallo, Issiaka Samaké entres autres,  qui  sont partis sans remplaçants au même niveau, il y a également l’instabilité sur le banc de touche, en ce qui concerne les entraîneurs.

Une instabilité pour laquelle beaucoup de supporteurs des Blancs pointent la gestion du club par le président actuel du comité exécutif, Cheick Diallo qui, selon eux, aurait de surcroît réveillé beaucoup de conflits internes au sein du club dès sa prise de fonction et fait certains mauvais choix.

Les limogeages des anciens entraîneurs  Djibril Dramé et Nouhoum Diané et la signature du technicien français Jean-Christophe Gratecap, passent mal. D’ailleurs ce dernier a fait les frais des mauvais résultats du stade malien et a été remercié à son tour.

« Tant que les humains feront des choix, ils vont se tromper, c’est clair. Ce n’est pas propre qu’au stade malien, c’est le cas dans beaucoup de clubs. Le choix de l’entraineur ne se fait pas en fonction de sa nationalité, de sa couleur de peau ou autres. Cela se fait en fonction d’un profil. Le stade malien est un club à pression où les supporteurs sont là tous les jours pour suivre les résultats. Même sur le plan local il n’est pas facile pour beaucoup entraîneurs d’y réussir même s’ils sont bons », relativise Mohamed Soumaré.

« En voulant fustiger souvent le management de nos clubs, on ne s’attaque pas à la racine du problème.Il va falloir qu’on revoit aussi la politique de financement à travers la parafiscalité, l’encouragement des entreprises et autres. Je pense que ce procès qu’on fait en général aux dirigeants des clubs ici est à revoir parce que le financement du football va au-delà de la gestion du club et va jusqu’au niveau de la politique de l’Etat pour encourager le sport», ajoute-t-il.

Redresser la barre                                                                           

Si le champion en titre de la ligue 1 connait des débuts difficiles cette saison, rien n’est pour autant joué dans le championnat national où les Blancs peuvent encore remonter la barre.

C’est cela l’objectif des dirigeants du club de Sotuba pour le reste de la saison. Et il est encore atteignable, étant donné que le championnat n’est qu’à la 8ème journée et que le leader actuel, le Djoliba n’a pris que 15 points sur 24 possibles.

« Les positions sont très serrées. Il n’y a que 5 points entre le leader actuel et le Stade malien. Cela veut dire que le championnat n’a pas encore livré son verdict. Le stade peut rebondir  au cours de la saison », pense Mohamed Soumaré.

Un point de vue que partage Alassane Cissouma. « Si le Stade gagne son match en retard, il reviendra à 2 points du Djoliba sachant que le week-end prochain aura lieu le clasico entre ces deux équipes. Une possible victoire des Blancs leur donnerait les rennes du championnat », souligne-t-il, rappelant que la saison passée, le club avait démarré très timidement avant de finir champion et remporter la coupe du Mali.

Coupes européennes : Les décisions se font attendre

Elle était très attendue, il faudra encore patienter. L’UEFA devait se réunir le 27 mai 2020 pour statuer sur l’avenir de ses compétitions (Ligue des Champions, Ligue Europa, Euro), mais la réunion a finalement été repoussée au 17 juin. Selon le communiqué officiel que l’instance a publié sur son site, « certains points restent en effet ouverts concernant plusieurs sites proposés pour l’UEFA Euro 2020, qui a été reporté à l’année prochaine », ceci expliquant le report.

Quand se fera le retour des compétitions – phares de l’UEFA ? La question devait être tranchée le 27 mai, mais l’instance a décidé de se donner du temps. Déjà parce qu’au cours de cette réunion, les compétitions de clubs n’étaient pas les seuls sujets au menu, l’instance qui gère le football européen doit en plus se prononcer sur l’Euro, qui doit se dérouler dans plusieurs villes et qui a été repoussé à l’année prochaine. L’UEFA se donne donc le temps d’évaluer l’évolution de la pandémie de Covid-19 pour prendre des décisions concernant l’Euro. Mais également pour scruter les championnats, dont la reprise est prévue, pour la plupart, avant le 17 juin prochain. Par la voix de son Président, Aleksander Ceferin, l’instance a d’ailleurs jugée prématurée la fin du championnat de France, dont deux clubs sont encore engagés en Ligue des Champions. La confirmation d’un calendrier de reprise dépendra de la reprise des championnats et de l’accord des autorités sanitaires.

Scénarios multiples

Avant cette réunion, qui devrait définitivement entériner l’avenir de ces coupes, la confédération européenne s’était réunie fin avril pour dégager des pistes. Il en est ressorti qu’elle souhaitait la fin des championnats domestiques pour le 3 août, pour terminer les coupes d’Europe dans la foulée. Le truculent Président du club français de l’Olympique Lyonnais, Jean-Michel Aulas, a même avancé une date pour le match retour de son club contre la Juventus de Turin. « Le match contre la Juventus est confirmé le vendredi 7 août à Turin, à huis clos », a-t-il affirmé.  Une assertion par la suite démentie par son propre club et par l’UEFA, qui soutiennent qu’aucune décision n’a été prise en ce sens. Il reste encore 17 matches de Ligue des Champions et 27 de Ligue Europa à disputer, de quoi voir être repoussé un probable plan pour août.

Ligue des Champions : La réforme de la discorde

Les opposants au projet de la réforme de la Ligue des Champions se sont réunis le mardi 7 mai à Madrid, avec l’objectif de parvenir à une position commune contre l’éventuelle Super Ligue quasi fermée que prévoient de créer certaines grosses écuries du continent européen à partir de 2024.

En particulier, l’un des thèmes de discussion qui était programmé à Madrid était intitulé « Une ligue fermée de facto pour les clubs d’élite » : tel est le scénario que, selon plusieurs médias, l’Association européenne des clubs de football (ECA) et son Président Andrea Agnelli (Juventus Turin) souhaiteraient voir adopter à partir de 2024.

Selon la presse, le projet permettrait aux six premières équipes au sein de quatre poules de huit d’être directement qualifiées pour l’édition suivante, indépendamment de leur classement en championnat. Ce qui en pratique favorisera les géants continentaux et réduira les aléas sportifs.

Loin de faire l’unanimité

Ces informations ont suscité un tollé auprès des clubs les plus modestes, mais aussi des Ligues organisatrices des championnats nationaux, qui craignent de voir leurs compétitions dévaluées, surtout si la réforme empiète sur les épreuves domestiques en incluant des matches européens à jouer le week-end. L’UEFA en réunion à son siège à Nyon (Suisse) mercredi a présenté son projet de réforme de la C1 à partir de 2024. il y aurait bien quatre poules de huit équipes, donc beaucoup plus de matches européens qu’actuellement pour chaque club engagé, et un système de promotion-relégation favorable aux plus grosses écuries. « Aucune décision n’a été prise. Jusqu’ici, ce ne sont que des idées et des opinions », a toutefois tempéré le président de l’instance européenne Aleksander Ceferin dans un communiqué. Il n’y aurait, en revanche, pas de matches européens le week-end. Dans cette nouvelle C1, les cinq meilleures équipes de chaque poule seraient directement qualifiées pour l’édition suivante, indépendamment de leur classement en championnat, ce qui réduirait de facto l’intérêt des compétitions domestiques.

Certaines figures du football mondial ont également critiqué l’esprit du projet, à l’image du Français Zinedine Zidane, pourtant entraîneur du Real Madrid. « Pour ceux qui sont (petits), ce sera certainement beaucoup plus compliqué de pouvoir jouer la Ligue des Champions », a fait valoir Zidane. « Vivre un moment comme celui-là, pour ceux qui ne la jouent pas régulièrement ou qui la jouent une fois dans une vie, c’est magnifique ».

Le FC Barcelone, l’autre géant du football espagnol, s’est dit pour sa part opposé aux matches européens le week-end, tout en soutenant une réforme de la C1 visant à développer la compétition. En Allemagne, Karl-Heinz Rummenigge et Hans-Joachim Watzke, patrons respectifs du Bayern Munich et du Borussia Dortmund, ont avoué que la réforme ne leur plaisait guère, mais qu’ils étaient prêts à des « compromis » puisqu’elle semble désormais inévitable.

Le président de la Ligue allemande (DFB) Christian Seifert est pour sa part opposé à cette réforme, et très combattif. Il estime notamment que les matches européens le week-end sont « une ligne rouge » à ne pas franchir, sous peine de recours en justice.

Premier League : Des enjeux partout

Alors que tout est joué dans la plupart des autres grands championnats, en Premier League le suspense reste entier. Titre de champion, qualification pour la Ligue des Champions, septième place qui pourrait être qualificative pour la Ligue Europa ou encore relégation, les deux dernières journées du championnat britannique ne manqueront pas d’attrait et d’intérêt.

Elle aura été passionnante cette saison de Premier League. Engagées dans le sprint final du championnat, plusieurs équipes ont encore tout à gagner… ou à perdre. Le plus important d’abord : la course au titre. Liverpool va-t-il enfin décrocher pour la première fois de son histoire le trophée de la Premier League ou Manchester City résistera-t-il à la pression, afin de, dix ans après son voisin de United, devenir la deuxième équipe à conserver deux années de suite le trophée ? « Quatre-vingt-douze points, c’est incroyable. C’est entre nos mains, on doit gagner les deux prochains matchs », a prévenu Pep Guardiola, le coach espagnol des Sky blues de City, après la difficile victoire sur le terrain de Burnley le dimanche 28 avril.  Avec un point d’avance sur leur dauphin, les Citizens gardent leurs atouts pour remporter le titre pour la sixième fois de leur histoire et recoller à Chelsea. Pour cela, ils seront dans l’obligation de gagner leurs deux derniers matchs. Contre Leicester lundi prochain, une équipe qui les avait battus à l’aller (2 – 1), et contre Brighton, qui pourrait jouer sa survie dans l’élite durant cette rencontre. Espérant un faux pas de City pour espérer régner sur l’Angleterre, Liverpool n’en a pas moins un calendrier très compliqué. Les Reds auront un déplacement difficile ce samedi sur la pelouse de Saint James Park pour y défier Newcastle, et ce trois jours après un match de Ligue des Champions au Camp Nou de Barcelone (défaite 3-0). Les deux derniers matchs de Liverpool se disputent en effet entre les deux rencontres de demi-finale de la C1. Les hommes de Jurgen Klopp clôtureront leur saison dans leur antre d’Anfield, face à l’équipe surprise de cette saison, Wolverhampton. La formation des Wolves, à l’accent très lusitanien, a pris des points contre toutes les équipes du « Big six » cette saison, Liverpool mise à part, qu’ils ont néanmoins battue en F.A. Cup. « C’est comme dans Highlander, un seul de nous deux sera là à la fin (…). Mais nous ne jouons pas seulement pour être champions à la fin de la saison. Oui, c’est l’objectif principal, un grand objectif. Ce groupe essaie d’y parvenir pour la première fois et nous en sommes évidemment assez proches en ce moment. Nous avons encore une chance de le faire », a confié le technicien allemand, qui garde foi en les chances de son équipe.

Qui pour le Big 4 ?

Si City et Liverpool sont déjà assurés de finir aux deux premières places, tout reste encore à jouer en bas du classement. Alors qu’il y a encore quelques semaines ils étaient annoncés comme prétendants à la victoire finale, les joueurs de Tottenham se sont liquéfiés et voient désormais leur place menacée. Troisièmes avec 70 points, cinq de plus que le sixième du championnat, les Spurs n’ont plus droit à l’erreur s’ils veulent s’assurer une présence à la prochaine Ligue des Champions. L’équipe de Mauricio Pochettino a encore deux matchs à disputer : un déplacement toujours très difficile à Bournemouth et la réception d’Everton, équipe en forme. Toute nouvelle sortie de piste sera scrutée par ses concurrents, qui n’attendent que cela pour prendre l’ascenseur. Chelsea, à deux points des Spurs, devra pour conforter sa place être solide contre Watford et Leicester, ses deux derniers adversaires.  Arsenal, qui reste sur trois défaites en trois matchs, devra sortir la tête de l’eau pour ne pas rater une deuxième saison d’affilée le train de la C1. Équipe la plus titrée de l’histoire du championnat anglais, Manchester United a également des lendemains très compliqués. Après avoir réussi une formidable remontée suite au limogeage de José Mourinho, les Mancuniens sont retombés dans leurs travers. Il faudra vraiment une conjoncture favorable aux Reds Devils, sixièmes, pour accrocher la Ligue des Champions. Leur coach l’a lui-même reconnu. « Si on regarde le classement, on voit que ce sera difficile pour nous de terminer dans le top 4. On va essayer de bien jouer et de gagner les deux derniers matches, on ne sait jamais », a déclaré Ole Gunnar Solskjaer, après le nul concédé contre Chelsea. Manchester devra aussi espérer des faux-pas de ses concurrents pour jouer la compétition reine de l’UEFA la saison prochaine.

Ligue des champions UEFA : Ce qui change

Les aficionados du ballon rond l’auront attendu durant des semaines, depuis la reprise des grands championnats européens début août. Elle est enfin de retour. La plus prestigieuse des compétitions européennes reprend ses droits ce 18 septembre 2018. Une édition qui s’annonce inédite, avec quelques changements notoires qui vont relooker la compétition.

Quel club va remporter la Coupe aux grandes oreilles cette saison et succéder  aux triples vainqueurs d’affilée du trophée que sont les Merengues ? Les protégés de Julien Lopetegui pourront-ils rempiler et mieux asseoir leur hégémonie sur le football européen ? Autant d’interrogations qui taraudent déjà les esprits des mordus du cuir rond à l’orée de cette nouvelle aventure footballistique palpitante.

Nouveaux horaires

Traditionnellement, les affiches du mardi et mercredi soir débutaient à 18h45 GMT. Mais Cette saison, les coups d’envoi des matchs seront donnés à 16h55 et 19h GMT, un peu comme ce qui se faisait en Europa league jusqu’alors.

Quatrième remplaçant

L’UEFA a revu sa règle en ce qui concerne les remplacements. Désormais elle autorisera un quatrième joueur à entrer sur le terrain en tant que remplaçant, mais uniquement en cas de prolongations. Cela sous-entend naturellement que la nouvelle donne ne pourra s’appliquer qu’à partir des phases à élimination directe.

Banc de touche « connecté »

Jusqu’ici interdits sur les bancs de touche, les ordinateurs, casques, micros, tablettes, montres connectées et smartphones seront autorisés pour les staffs des équipes en Ligue des champions à partir de cette nouvelle saison. Une avancée technologique qui devrait  assurer le bien-être et la sécurité des joueurs et aussi bénéficier aux ajustements tactiques. Mais elle peut toutefois poser problème, car les joueurs trop connectés sur le banc risquent d’être déconnectés de ce qui se passe sur le terrain.

De grosses affiches

On n’attendra pas très longtemps pour savourer les premières grandes affiches de cette phase de groupes. La première journée en offre au moins deux. Les tenants du titre madrilènes entameront leur tournoi par la réception de l’As Rome à Santiago Bernabeu le 19 septembre. Quand on se rappelle du gros coup, la saison dernière, des Romains face au Barça, il y a de quoi s’exciter. Entre temps, la veille, les Vice-champions d’Europe, les Reds de Liverpool, auront eu à en découdre avec la superbe et ambitieuse équipe du PSG.

Ligue des champions: Barcelone avec l’Inter, le PSG jouera Liverpool

Alea jacta est. La cuvée 2018-2019 de la Ligue des champions dont le tirage a été effectué ce jeudi promet une nouvelle fois de grandes rencontres. La Juventus Turin de Cristiano Ronaldo défiera Manchester United dans le groupe H, l’une des belles affiches de cette phase de groupe. Le Portugais fera son retour à Old Trafford cinq ans après, où il avait inscrit le but synonyme d’élimination pour United sous les couleurs du Real Madrid. PSG-Liverpool vaudra également le détour. La confrontation entre ces deux équipes résolument tournés vers l’offensif promet des étincelles. Le PSG et sa MCN affrontera également le Naples de Carlo Ancelotti dans un match particulier pour le coach italien et l’attaquant uruguayen Edison Cavani, qui a fait les belles heures de Naples. Le F.C. Barcelone devra faire avec  les Anglais de Tottenham et les Italiens de l’Inter Milan dans son groupe. Le Real Madrid, triple tenant du titre est tombé dans un groupe largement à sa portée avec la Roma, le CSKA Moscou et le Victoria Plzen. La Ligue des champions débutera le mardi 18 septembre. La finale se jouera le 1er juin 2019 au stade Metropolitano, l’enceinte de l’Atlético de Madrid.

Mohamed Salah Ballon d’Or ?

Un « One Salah show ». C’est à cela que les amoureux de foot ont assisté mardi lors de la demi-finale aller entre Liverpool et l’AS Roma. Un récital offert par le « Pharaon » d’Égypte, qui ne cesse d’éblouir par son talent et sa classe.

Deux buts et deux passes décisives, rien que ça pour terrasser la « Louve ». Après une frappe enroulée pour ouvrir le score, l’Égyptien doublait la mise juste avant la mi-temps d’une petite balle piquée. Au retour des vestiaires, le joyau des Reds se muait en passeur décisif pour ses compères Sadio Mané et Roberto Firmino, avant de sortir sous les acclamations du stade à un quart d’heure de la fin. Avec ce doublé contre son ancien club, le meilleur joueur d’Angleterre 2018 est devenu le premier joueur africain à atteindre la barre des 10 buts en Champion’s league. Un nouveau record pour Salah, qui ne cesse de les égaler ou de les faire tomber. Avec 31 buts en Premier League, il a rejoint de grands noms comme Alan Shearer, Luis Suarez ou Cristiano Ronaldo. A trois jours de la fin du championnat anglais, et avec quatre buts de plus, Salah pourrait entrer dans l’histoire comme le joueur ayant marqué le plus de buts sur une saison de Premier League.

Deuxième Ballon d’Or africain ?

A une question sur les similitudes entre Messi et Salah, Pep Guardiola, l’entraineur de Manchester City, répondait : « nul ne peut s’asseoir à la table de Messi ». Avec 43 buts toutes compétitions confondues, Salah fait pourtant mieux que lui (40) et Ronaldo (42), pour l’heure. L’idée de le voir Ballon d’Or ne cesse donc de faire du chemin. Salah a les arguments pour mettre fin à l’hégémonie Messi – Ronaldo depuis dix ans. Le dernier sacre de Messi date de la victoire de Barcelone en Ligue des champions de 2015. Son rival portugais a gagné trois de ses quatre derniers titres après les sacres européens du Real Madrid. Avec une victoire 5 – 2 contre la Roma, Salah a déjà un pied et demi en finale. La Coupe du monde peut tout faire basculer. Si l’Égyptien fait mieux que Ronaldo ou Messi, il passera d’outsider encombrant à gagnant en puissance. Peu probable, diront certains. Sait-on jamais ? Le football n’est pas une science exacte.

FC Barcelone : la disette continue en ligue des champions

Le FC Barcelone ne verra pas les demi-finales de la ligue des champions. Pour la troisième saison consécutive la bande à Lionel Messi finit son parcours en quarts de finale. Battus hier 3 à 0 par une solide équipe de l’AS Roma, le Barça inquiète en C1.

La presse sportive espagnole n’est pas du tout tendre avec le club catalan au lendemain de la déroute au stade olympique de Rome. »La chute de Rome », a titré Mundo Deportivo. « Echec sans excuses », a surenchéri Sport. Marca quotidien pro-madrilène a accentué : « Echec total ». En vrai, c’est un fiasco pour  Messi et ses coéquipiers. Alors qu’ils avaient pensé avoir fait le plus dur en venant à bout des Romains au Camp Nou (4-1), c’était sans compter sur la hargne et la détermination des hommes d’Eusebio Di Francesco. A l’arrivée, 3-0  et une élimination en quarts de finale de la ligue des champions. Oui, encore en quarts ! Trois saisons de suite que les Blaugrana échouent à l’entrée du dernier carré de la C1. Pire, deuxième année consécutive que le géant catalan s’écroule devant une équipe italienne. On se rappelle encore du revers subi face à la Juventus la saison dernière.

Fin de cycle ?

Depuis le départ de Guardiola en 2012, beaucoup ont évoqué une fin de cycle du FC Barcelone. Mais, entre temps Luis Enrique était venu redorer le blason de la maison notamment avec le doublé C1-championnat espagnol en 2015 trois victoires en Copa del Rey. Depuis lors, le Barça déchante sur la scène européenne. Ernesto Valverde a repris les rênes. Neymar, lassé d’être dans l’ombre de Messi a quitté le club durant l’été, mais en retour, la direction a énormément investi (plus de 300M) pour les recrutements d’Ousmane Dembélé et de Philipe Coutihno. S’il est vrai qu’en liga, le club reste au top, notamment avec cette saison une série en cours de 38 matchs sans défaite et une avance confortable au sommet du championnat, il n’en demeure pas moins criard qu’en Europe, les Blaugranas sont à l’agonie.

Valverde mis en cause

Le technicien basque a subi mardi son premier véritable « coup de bâton », comme il l’a reconnu lui-même, après un quasi sans-faute entre septembre et avril. Il n’aura donc pas réussi sa plus importante mission, celle de faire renouer le Barça avec la coupe aux grandes oreilles. Hier, ses choix prudents n’ont pas résisté à une Roma qui n’avait rien à perdre. « Valverde a choisi des options défensives et n’a pas su réagir à temps », a déploré le quotidien Sport. Son directeur Ernest Folch, dans un éditorial, a enfoncé le clou: « Valverde a envoyé le pire des messages depuis son banc: la peur d’attaquer, la peur de viser la victoire, la peur d’être grand », a-t-il écrit.

Echec collectif                                                                   

La charnière Piqué-Umtiti a tout simplement bu la tasse. Le duo jusque là adulé, l’une des bases de la réussite tactique de Valderde, est tout simplement passé à coté du match. Que ce soit sur le l’erreur du français sur le premier but ou le pénalty concédé par l’espagnol, la défense catalane a sombré. Mais que dire du reste de l’équipe ? Messi n’était que l’ombre de lui-même, maladroit dans ses derniers gestes, la faute peut être à très peu de mouvements autour de lui. Iniesta, le maitre à jouer de l’entrejeu n’a jamais su trouver ses décalages habituels par un dribble ou une passe venu d’ailleurs comme. A bientôt 34 ans, c’était peut être sa dernière apparition sous les couleurs blaugranas en Europe, lui qui doit se prononcer fin avril sur sa situation. Suarez, l’Uruguayen était inexistant sur la pelouse, incapable d’inquiéter le mur romain.

Revus d’effectif

Cette claque doit permettre au club du président Josep Maria Bartomeu de tirer les enseignements nécessaires pour la saison prochaine. Avec certains cadres qui accumulent de nombreux kilomètres au fil des matchs, il convient de poursuivre une véritable revue d’effectif et de ne pas se contenter de simples retouches sous peine de graves désillusions. Une seule C1 en quatre ans pour les Blaugranas alors que l’eternel rival madrilène a en gagné 3 sur la même période, il faut le souligner, c’est un échec cuisant pour le FC Barcelone.

Ligue des champions : Real-Juve et Liverpool-City en quarts

Les deux finalistes de 2017 se retrouveront dès les quarts de finale de la Ligue des Champions, au mois d’avril, avec également un alléchant Liverpool-City.


Les affiches des quarts de finale de la Ligue des champions sont désormais connues. Deux rencontres retiennent l’attention. Le remake de la finale de la saison dernière qui avait vu le Real Madrid étrillé la Juventus Turin (4-1). Les Italiens auront une bonne occasion de prendre leur revanche sur le double tenant du titre. La tâche s’avérera néanmoins ardue pour la Vieille Dame, qui devra notamment contenir un Cristiano Ronaldo toujours très efficace dans la compétition reine de l’UEFA (117 buts). « Rencontrer deux fois les vainqueurs des deux dernières années, ça va être difficile, il va falloir chercher à les mettre en difficulté, même si c’est un tirage très dur pour nous. Le Real a été fantastique à Paris, il a joué un match splendide, ça va être très dur de les mettre en difficulté » a reconnu Pavel Nedved, ambassadeur pour la Juventus à l’issue du tirage.
Deuxième affiche à retenir, la confrontation ‘’So British’’ qui opposera Liverpool à Manchester City. Elle offre déjà une certitude. Une équipe anglaise sera en demi-finale. Ce match entre les deux meilleures attaques de Premier League promet déjà des étincelles. Liverpool est la seule équipe à avoir réussi à battre Manchester City en championnat cette saison (4-3). La formation de Jurgen Klopp, s’appuiera sur son trio Mané-Firmino-Salah pour faire chanceler le futur très probable champion d’Angleterre.
Le FC Barcelone recevra l’AS Rome pour le match aller de son quart de finale, le Bayern Munich se déplacera en Espagne, sur la pelouse du Sanchez Pijuan pour y défier le F.C. Séville, qui atteint ce stade de la compétition 60 ans après.
Les matchs aller se joueront les 3-4 avril et les retours une semaine plus tard 10-11 avril.

Le Real Madrid renverse le PSG

Les Madrilènes ont fait craquer les Parisiens en inscrivant deux buts dans les dix dernières minutes lors du match aller de Ligue des champions entre les deux équipes (3-1). La tâche sera compliquée pour le match retour.

Les Madrilènes étaient les premiers à se montrer dangereux devant le but adverse, par Ronaldo (3e, 5e) et Marquinhos, capitaine, manquait de marquer contre son camp (5e). Les Parisiens, eux, opéraient par contres. Et Neymar, très actif en début de partie, n’était pas loin de trouver Cavani au point de penalty, après une belle ouverture de Verratti (12e). A l’image d’un milieu parisien en difficulté, Lo Celso accrochait Isco à l’entrée de la surface (25e) et offrait un superbe coup franc à Ronaldo, avec un jaune en prime. Au-dessus. Neymar, encore lui, était tout proche de l’ouverture du score après un slalom (28e), mais dans la foulée, c’est Ronaldo, sur une merveille d’ouverture de Marcelo, qui se présentait seul face à Areola… qui remportait son duel (28e) ! Et sur un contre éclair, Mbappé centrait pour Cavani, qui laissait passer pour Neymar. La frappe du Brésilien était contrée, mais Rabiot traînait par-là (0-1). Le PSG pressait haut et les joueurs du Real n’arrivaient pas développer leur jeu, à l’image de cette frappe lointaine de Varane (43e). Ils égalisaient toutefois sur un penalty un peu léger que CR7 se chargeait de transformer (1-1, 45e).

Les Parisiens attaquèrent le second acte avec mordant. Du pied, Navas privait Mbappé d’un but dès la reprise (49e) et Ramos  détournait une frappe de Rabiot à l’entrée de la surface (54e). Les Madrilènes n’arrivaient plus à répéter les mêmes efforts qu’en début de partie et semblaient au bord de la rupture. Mais le choix tactique (très douteux) d’Emery de sortir Cavani pour faire entrer un défenseur à plomber le PSG. Ceux de Zidane en revanche s’avèrent payants.  Sur une action confuse  Ronaldo propulsait le ballon au fond des filets (2-1, 83e) à la suite d’un centre du nouvel entrant Asensio mal repoussé par la défense parisienne. Un but qui porter un coup au moral parisien. Et le Real inscrira même  le but du break par Marcelo (3-1, 86e). Mbappé (88e) avait une ultime occasion, en vain (3-1 score final). Le PSG devra montrer un visage plus conquérant au retour pour espérer voir les quarts.

 

Real Madrid-PSG : Cinq raisons de ne pas manquer le choc

Ce soir à 19 :45 GMT se joue le match aller des huitièmes de finale de Ligue des Champions entre le Real Madrid et le Paris Saint-Germain au Santiago Bernabeu. Cette affiche suscite les passions à travers le monde du football. Que vous soyez amoureux ou non du ballon rond , voici cinq bonnes raisons pour lesquelles il ne faudrait pas rater ce « choc des titans ».

Ronaldo vs Neymar

Certes, c’est une opposition entre deux équipes mais il est évident qu’on assistera à un « match dans le match ». La star portugaise du Real a l’habitude de ces grands rendez-vous depuis de nombreux saisons et il a toujours répondu présent quand son équipe se trouve en difficulté. Il aborde d’ailleurs cette rencontre dans une meilleure forme que depuis le début de l’exercice 2017-2018. Son dernier triplé face à la Real Sociedad le week-end dernier en Liga le prouve. En face, le feu follet brésilien du club de la capitale française est aussi sur des statistiques impressionnantes depuis son arrivée au Parc des Princes l’été dernier. Neymar se sait attendu et donnera tout pour porter haut le projet parisien. Ce qui est sûr, un grand nom va tomber au terme de cette double confrontation qui débute ce soir.

Enormes enjeux                                                    

Plus qu’un simple match, cette confrontation est sujette à pas mal d’enjeux des deux cotés. La Casa Blanca, déjà éliminée en coupe du Roi et très mal en point en Liga, tentera de sauver sa saison en Ligue des Champions. Tout se joue sur ces huitièmes de finale. Du côté des hommes d’Unai Emery, il s’agira de franchir un cap. Le projet qatari de remporter la C1 avec le PSG, passe forcément par un résultat devant les Champions d’Europe en titre.

Record historique en vue

Le Real Madrid, douze fois vainqueur de la coupe aux grandes oreilles, et double détenteur du trophée, va tenter d’inscrire définitivement son nom dans les annales du football européen et mondial en s’adjugeant cette année encore le titre. Pour cela,  Zinedine Zidane et sa bande sont conscients du rendez avec l’histoire et cet exploit commence dès ce soir face à l’équipe parisienne.

Zidane contre un club français

Le légendaire Numéro 10 des bleus, depuis qu’il a pris les rênes du club n’a tout simplement jamais rencontré de clubs français en C1 sur sa route. C’est donc une grande première ce soir. Et on a hâte de voir ce qui se passera, d’autant plus que certains rumeurs l’envoie déjà en ligue 1 après la fin de son aventure dans la capitale française.

Des supporters VIP

Enfin, si vous êtes plutôt  fan de People, vous serez servi aussi sur ce match. Le Santiago Bernabeu sera plein à craquer ce soir. 80000 spectateurs sont attendus dans les tribunes parmi lesquels, en tribune VIP, Florentino Perez, Nasser Al-Khelaifi, Nicolas Sarkozy, DJ Snake, Omar Sy entres autres.

Rappelons que dans l’histoire les deux clubs se sont rencontrés à six reprises sur le plan européen, pour deux victoires de chaque coté et deux matchs nuls. Egalité parfaite.

Vous doutez toujours de ce choc des titans ? Vous avez le choix. C’est aussi un soir de Saint Valentin. Une sortie en couple ? Eh bien c’est vous qui voyez !

 

Ligue des champions : les chocs Real-PSG et Chelsea-Barcelone en huitième

Toute l’Europe du football avait les yeux tournés vers Nyon en Suisse, pour le tirage des huitièmes de finale de la ligue des champions. L’ancien international espagnol, Xabi Alanso, a eu la main lourde pour le Paris Saint-Germain, qui a hérité du Real de Madrid. Les matchs allers se joueront les 13/14 et 20/21 février et la manche retour sera pour le 6/7 et 13/14 mars 2018.

C’était le pire adversaire possible pour le Paris Saint-Germain. La destinée européenne du club de la capitale française passera au révélateur madrilène dès les huitièmes de finale. « Si on veut aller le plus loin possible, il faudra en passer par toutes les équipes. C’est la Ligue des champions, grand match, grand rendez-vous, il faudra être présent, c’est tout », confiait le gardien du PSG, Alphonse Aréola en marge du tirage. Lui et ses coéquipiers devront, donc, au-delà des mots confirmer sur le terrain leur nouveau statut d’équipe à craindre en Europe. La tâche s’annonce déjà ardue, face au double tenant du trophée, emmené par le quintuple Ballon d’Or et par ailleurs meilleur buteur de l’histoire de la Ligue des champions (113 buts), Cristiano Ronaldo. Les deux équipes s’étaient déjà affrontées il y’a deux ans (2015) lors de la phase de poule et se sont les Madrilènes qui s’étaient imposés au retour (1-0) après avoir fait nul à l’aller au Parc des Princes (0-0).

Barcelone-Chelsea : chaudes retrouvailles

Un des classiques de ces dernières années. Les Catalans du FC Barcelone vont recroiser les Londoniens de Chelsea FC. « Ni le PSG, ni Barcelone, ne veulent tomber sur Chelsea », avait assuré l’entraîneur des Blues, Antonio Conte, quelques jours avant le tirage. Son équipe devra pour son retour en Ligue des champions (une saison manquée) contenir les assauts des Messi et autre Suarez pour espérer atteindre les quarts de finale. Les deux équipes se sont déjà rencontrées plusieurs fois. Avantage pour l’heure à Chelsea qui a gagné trois matchs contre deux pour son adversaire, et cinq matchs nuls.

Tottenham-Juventus Turin : Buffon VS Kane

La meilleure équipe de la phase de poule Tottenham (cinq victoires, un nul) aurait pu espérer meilleur tirage, après sa première place dans un groupe très difficile (Real Madrid- Borussia Dortmund). Mais les Spurs (surnom de Tottenham) auront face à eux une opposition de taille face au finaliste de la saison dernière, la Juventus de Turin. Ces deux rencontres seront l’occasion d’assister à un duel entre l’un des meilleurs gardiens au monde, Gianluigi Buffon et le serial-buteur anglais Harry Kane.

City épargné

Le F.C. Bale peut trembler. Après avoir rencontré Manchester United lors de la phase de groupe, les Bâlois vont de nouveau retourner à Manchester, pour cette fois-ci, affronter le peuple bleu de Manchester City. Face au leader invaincu de la Premier League, il faudra un véritable miracle au club suisse pour faire tomber les Citizens de Pep Guardiola. Attention tout de même pour City, puisque le FC Bâle a déjà réussi ces dernières années à faire tomber Chelsea et Manchester United.

Ronaldo dépasse la barre des 100 buts

En inscrivant un triplé hier soir, le portugais Cristiano Ronaldo a atteint la barre mythique des 100 buts en Ligue des Champions. Grace à cette performance, le portugais étoffe un peu plus sa légende et continue d’écrire en grand l’histoire de cette compétition.

Nous sommes à la 105ème minute du match de quart de finale de Ligue des Champions opposant le Réal Madrid au Bayern Munich. Les deux équipes sont à égalité (2-2) quand soudain à la réception d’un centre de Sergio Ramos, Ronaldo contrôle le ballon et l’envoie au fond des filets d’une reprise du droit. Un but qui réduit à néant les espoirs des Allemands et qui fait de Ronaldo, le premier joueur de l’histoire à inscrire 100 buts en Ligue des Champions. Il en est même à 101 après avoir converti une offrande de son coéquipier Marcelo à la 110ème minute. Un autre record donc pour le quadruple ballon d’or qui continue à les enchaîner, après avoir déjà la semaine dernière atteint la barre des 100 buts toutes compétitions européennes confondues (Ligue des champions, super coupe UEFA). « Quand j’ai commencé à marquer des buts en Ligue des Champions, je n’aurai jamais pensé que j’allais atteindre ce record. Pour moi c’est un honneur » s’enthousiasmait-il.

Quelques buts mémorables

Son premier but, il l’inscrit sous les couleurs de Manchester United face au club hongrois de Debrecen en 2005 lors du tour préliminaire de Ligue des Champions. Deux ans plus tard, il marque un but contre son club formateur, le Sporting Portugal dans le stade qui l’avait révélé. Après son but, il demanda d’ailleurs pardon au public. Trois semaines plus tard, il réussit son premier doublé face au club ukrainien du Dynamo Kiev (un but de la tête et un autre sur penalty). Le 21 mai 2008, il ouvre le score contre Chelsea lors de la finale de Ligue des Champions qu’il remportera par la suite. Il réalise son premier triplé contre l’Ajax d’Amsterdam le 3 octobre 2012. En huitième de finale cette année-là, il affronte son ancien club Manchester United. Il marque à l’aller et au retour le but qui élimine les Anglais, comme face au Sporting Portugal il ne célèbre pas le but. Lors de l’édition 2013-2014, il bat le record du nombre de buts marqués dans cette compétition en une saison en inscrivant 17 buts (14 était le record).

 

Le PSG écrase le F.C. Barcelone

Le Paris Saint Germain a réalisé un match historique pour étriller le F.C. Barcelone (4-0). Les joueurs de la capitale française ont territorialement dominé les catalans à qui ils n’ont laissé aucune chance.

Le score est lourd, mérité et la prestation magistrale. Face à une équipe qu’il n’avait battu qu’une seule fois en six matchs, le PSG avait toutes les raisons de s’inquiéter. Premièrement parce qu’ils n’ont plus la même assurance qu’ils avaient lors des trois dernières saisons, ensuite parce que leur entraîneur, Unai Emery, n’avait gagné qu’une seule de ses 24 confrontations contre le F.C. Barcelone et enfin parce que les Parisiens devaient faire sans leur capitaine et leader Thiago Silva, blessé.

Malgré toutes ces considérations, la seule réalité qui compte est celle du terrain et sur la pelouse du Parc des Princes, le PSG s’est transcendé. Dès le début, les Parisiens ont mis en place un pressing bien coordonnée qui a étouffé les Barcelonais et les a empéché de développer leur jeu. Plus agressifs, les hommes d’Unai Emery ont récupéré plusieurs ballons dans le camp adverse, ce qui leur permetaient de vite déclencher leurs attaques. Sur l’une de ces récupérations, Matuidi, capitaine du jour, était lancé dans la profondeur mais sa frappe était repoussée d’une main bien ferme par le gardien du Barca, le ballon revenait sur les pieds de l’allemand Julian Draxler dont le tir trop mou n’inquiétait pas le portier catalan. Mais la domination parisienne n’allait pas tarder à être récompensé.

A la 18ème minute, le PSG obtient un très bon coup-franc au vingt-cinq mètres. L’argentin Angel di Maria, passé par le Real Madrid s’en charge. Sa frappe laisse de marbre Ter Stegen et Paris ouvre le score. Ce but lance parfaitement les affaires parisiennes qui continuent à harceler les Barcelonais. Mais à force de ne pouvoir marquer le second, le PSG était tout proche de se faire surprendre. Suite à une belle chevauchée du brésilien Neymar, meilleur barcelonais sur le terrain, André Gomes avait une belle occasion d’égaliser, mais son tir était repoussé par Kevin Trapp en corner. C’est le seul tir cadré du quintuple vainqueur de la compétition de tout le match. A la 40ème, Rabiot récupérait le ballon dans les pieds de Messi, et transmettait à Verrati qui décalait parfaitement Julian Draxler, dont la frappe croisée ne laissait aucune chance au gardien barcelonais. Le but du break juste cinq minutes avant la pause consécutive à une perte de balle du quintuple ballon d’or Messi qui en était déjà à sa troisième. D’ailleurs une statistique étonnante concernant l’argentin, il n’a touché aucun ballon dans la surface parisienne et le gardien du Barça a touché plus de ballon que lui dans le match!

La deuxième mi-temps repartait sur les mêmes bases. Avec des Parisiens toujours aussi vifs et mordants. Dix minutes après la reprise, Di Maria se mettait sur son pied gauche et envoyait une merveille de frappe dans les buts catalans. Barcelone sonné et groggy manquait vraiment de ressources. C’était un véritable naufrage collectif, la défense trop souvent pointée du doigt était fébrile. Le milieu s’est fait balladé et l’attaque hormis Neymar était fantomatique.

Mais le calvaire n’avait pas encore pris fin. A la 72ème, tel un symbole le latéral droit, Meunier faisait un double contact sur Neymar et remontait le terrain sur 60 mètres avant de servir Cavani qui crucifiât Ter Stegen et marquait le quatrième but parisien.

Avec cette large victoire, le PSG est quasiment sûr d’être qualifié pour le quart de finale. « C’est exceptionnel, c’est le meilleur match qu’on ait fait depuis que je suis à Paris » s’est félicité Matuidi à l’issue de la rencontre. « C’est une victoire collective, nous avons tous travaillé dur, mais il reste encore 90 minutes ». Malgré les dires de l’entraîneur parisien, le match retour le 8 mars prochain au Camp Nou ne devrait être qu’une formalité.

 

Ligue des champions, ça repart !

La ligue des champions fera son grand retour mardi 14 février. Après une pause de deux mois, la Coupe aux grandes oreilles reprendra avec de très belles affiches au programme des huitièmes de finales.

C’est presque devenu un classique européen. Le Paris Saint-Germain (PSG) et le FC Barcelone ont encore une fois rendez-vous en Ligue des champions. Le club catalan est à nouveau le grandissime favori pour cette énième double-confrontation et leurs précédentes rencontres apportent un plus psychologique à Barcelone. En 2013, le quintuple vainqueur de la compétition s’était qualifié face au PSG après deux nuls. Puis en 2015, ils avaient surclassés le club de la capitale française (2-0, 3-1). Cette même année, ils s’étaient déjà affrontés en phase de groupe pour une victoire de chaque coté. « Nous voulons aller plus loin que les quarts. Il faut se dire que Barcelone, étant donné son palmarès, est de toute façon favori, mais nous savons également que nous avons nos chances de nous qualifier et nous devrons faire preuve d’enthousiasme et nous accrocher à notre rêve lors de ces deux matchs », précise Thiago Motta, milieu italo-brésilien du PSG. Les Parisiens peuvent s’appuyer sur le talent du champion du monde allemand Julian Draxler, venu renforcer le club lors du mercato d’hiver et déjà auteur de cinq buts en six matchs. Néanmoins, les chances d’éliminer Barcelone sont très faibles, puisque la MSN (Messi-Suarez-Neymar) est en grande forme. L’Argentin a déjà inscrit dix buts dans la compétition.

Arsenal en embuscade Pour la quatrième fois en cinq saisons, Arsenal et le Bayern Munich se retrouvent pour une nouvelle empoignade. À chaque fois que les deux équipes se sont rencontrées, la confrontation s’est mal terminée pour Arsenal (deux éliminations). Pour ne rien arranger, cela fait six années de suite que les Gunners se font éliminer en huitièmes de finale. Les hommes du français Arsene Wenger restent aussi sur deux défaites en championnat. Pas idéal pour préparer un tel rendez-vous. « On dit que Dieu a fait le monde en sept jours et c’est le septième pour nous, donc on doit voir quelque chose de spécial », prophétise cependant Wenger.

Le tenant du titre madrilène aura quant à lui un déplacement périlleux au bouillant stade San Paolo pour y défier le Napoli. Le Real Madrid, après quarante matchs sans défaite, a concédé ses deux premiers revers de la saison. Et sa star Cristiano Ronaldo effectue, pour l’heure, sa pire saison depuis qu’il a rejoint la Casa Blanca en 2009. De quoi donner des idées aux Napolitains.