lundi 18 mai

- 10h08

Terrorisme – Le Gouvernement de la République du Mali informe l’opinion publique nationale et internationale que le Chef du Mécanisme Opérationnel de Coordination (M.O.C) de Gao, le Colonel Oumar ABBA SOUMARE, agressé par des inconnus à bord de son véhicule, ce jeudi 14 mai 2020 a finalement succombé à ses blessures. Le Gouvernement de la République du Mali condamne énergiquement cet acte barbare et crapuleux. Une enquête a été ouverte et les forces de sécurité de la région sont mobilisées pour rechercher les coupables et les traduire devant la justice. Le Mali perd en Le Colonel Soumaré l’un de ses dignes fils, un militaire patriote et engagé pour la paix. En la circonstance, le Gouvernement du Mali s’incline respectueusement devant la mémoire de l’illustre disparu et présente ses condoléances les plus attristées à sa famille.

- 10h08

Terrorisme – Le Gouvernement de la République du Mali informe l’opinion publique nationale et internationale que le Chef du Mécanisme Opérationnel de Coordination (M.O.C) de Gao, le Colonel Oumar ABBA SOUMARE, agressé par des inconnus à bord de son véhicule, ce jeudi 14 mai 2020 a finalement succombé à ses blessures. Le Gouvernement de la République du Mali condamne énergiquement cet acte barbare et crapuleux. Une enquête a été ouverte et les forces de sécurité de la région sont mobilisées pour rechercher les coupables et les traduire devant la justice. Le Mali perd en Le Colonel Soumaré l’un de ses dignes fils, un militaire patriote et engagé pour la paix. En la circonstance, le Gouvernement du Mali s’incline respectueusement devant la mémoire de l’illustre disparu et présente ses condoléances les plus attristées à sa famille.

- 10h02

Lutte contre la Covid-19 – Educo Mali apporte une aide d’une valeur de 2,3 millions FCFA pour les travailleuses domestiques.

- 10h02

Lutte contre la Covid-19 – Educo Mali apporte une aide d’une valeur de 2,3 millions FCFA pour les travailleuses domestiques.

vendredi 15 mai

- 17h46

Kayes – Amnesty International demande l’ouverture d’une « enquête impartiale et transparente » sur la mort de trois jeunes à Kayes, à l’ouest du Mali, en marge de manifestations débutées lundi et mettant en cause la police.

- 17h46

Kayes – Amnesty International demande l’ouverture d’une « enquête impartiale et transparente » sur la mort de trois jeunes à Kayes, à l’ouest du Mali, en marge de manifestations débutées lundi et mettant en cause la police.

- 17h37

Minusma – Une patrouille des casques bleus nigériens repousse une attaque complexe à Ménaka. Une patrouille du contingent nigérien de la Minusma a fait l’objet d’une attaque complexe le mercredi 13 mai à Ménaka. Les casques bleus nigériens ont repoussé l’attaque obligeant les assaillants à fuir. Trois (3) blessés ont été enregistrés dans les rangs des soldats nigériens. Selon Olivier Salgado, porte-parole de la Mission des nations unies au Mali, c’est une patrouille nocturne du contingent nigérien de la force onusienne qui a été confrontée à une attaque complexe. Un véhicule blindé « MVP » a d’abord heurté un engin explosif improvisé (EEI) et la patrouille a essuyé par la suite des tirs directs. « Les casques bleus ont riposté obligeant les assaillants à prendre la fuite » a confirmé la même source qui a ajouté ce jeudi matin, que « les informations préliminaires indiquent que trois soldats de la paix ont été gravement blessés tandis que le véhicule a subi des dommages ». Selon la Minusma, une force de réaction rapide avec une équipe de secours a été dépêchée sur les lieux. Le Lieutenant-général Dennis Gyllensporre, commandant de la Force de la Minusma, a salué « le professionnalisme des soldats nigériens qui ont su repousser les assaillants », avant de souhaiter un prompt rétablissement aux blessés. A noter qu’un bataillon du contingent nigérien de la Minusma est déployé dans la zone de Ménaka, à la frontière avec la région de Tillabéri au Niger. Son QG est basé à Gao avec une importante présence dans la zone d’Ansango. Les soldats nigériens ont été déployés au Mali depuis le début de la crise sécuritaire que connait le pays et ont fait depuis, l’objet de plusieurs attaques parfois meurtrières. Source: Niamey.com

- 17h37

Minusma – Une patrouille des casques bleus nigériens repousse une attaque complexe à Ménaka. Une patrouille du contingent nigérien de la Minusma a fait l’objet d’une attaque complexe le mercredi 13 mai à Ménaka. Les casques bleus nigériens ont repoussé l’attaque obligeant les assaillants à fuir. Trois (3) blessés ont été enregistrés dans les rangs des soldats nigériens. Selon Olivier Salgado, porte-parole de la Mission des nations unies au Mali, c’est une patrouille nocturne du contingent nigérien de la force onusienne qui a été confrontée à une attaque complexe. Un véhicule blindé « MVP » a d’abord heurté un engin explosif improvisé (EEI) et la patrouille a essuyé par la suite des tirs directs. « Les casques bleus ont riposté obligeant les assaillants à prendre la fuite » a confirmé la même source qui a ajouté ce jeudi matin, que « les informations préliminaires indiquent que trois soldats de la paix ont été gravement blessés tandis que le véhicule a subi des dommages ». Selon la Minusma, une force de réaction rapide avec une équipe de secours a été dépêchée sur les lieux. Le Lieutenant-général Dennis Gyllensporre, commandant de la Force de la Minusma, a salué « le professionnalisme des soldats nigériens qui ont su repousser les assaillants », avant de souhaiter un prompt rétablissement aux blessés. A noter qu’un bataillon du contingent nigérien de la Minusma est déployé dans la zone de Ménaka, à la frontière avec la région de Tillabéri au Niger. Son QG est basé à Gao avec une importante présence dans la zone d’Ansango. Les soldats nigériens ont été déployés au Mali depuis le début de la crise sécuritaire que connait le pays et ont fait depuis, l’objet de plusieurs attaques parfois meurtrières. Source: Niamey.com

- 10h51

Présence française au Mali : Les doutes du PCF. Le Parti communiste français (PCF) s’interroge sur la stratégie du gouvernement de son pays vis-à-vis du Mali. Dans une déclaration du 12 mai 2020 signée du collectif Afrique du PCF, il questionne sur l’agenda poursuivi et les objectifs, ainsi que les réponses et solutions politiques. « Il ne suffira pas d’énièmes effets d’annonce en juin, lors du prochain G5 Sahel à Nouakchott, pour sortir du guêpier. La perpétuation de la présence militaire Barkhane ne peut pas être une fin en soi, ni un objectif non-dit ». Le parti alerte également sur la montée du sentiment anti-français au sein de la population, où l’espoir et la confiance ne sont pas au rendez-vous. « Rien ne serait pire qu’un enlisement où les forces étrangères seraient perçues comme armées d’occupation. Les extrémistes islamistes et les entrepreneurs de la violence n’attendent que ça ». Pour le PCF, afin d’être crédible, l’État français doit faire la démonstration que l’objectif est de créer les conditions d’un départ des troupes françaises et, à moyen terme, étrangères du Mali. B.S.H.

- 10h51

Présence française au Mali : Les doutes du PCF. Le Parti communiste français (PCF) s’interroge sur la stratégie du gouvernement de son pays vis-à-vis du Mali. Dans une déclaration du 12 mai 2020 signée du collectif Afrique du PCF, il questionne sur l’agenda poursuivi et les objectifs, ainsi que les réponses et solutions politiques. « Il ne suffira pas d’énièmes effets d’annonce en juin, lors du prochain G5 Sahel à Nouakchott, pour sortir du guêpier. La perpétuation de la présence militaire Barkhane ne peut pas être une fin en soi, ni un objectif non-dit ». Le parti alerte également sur la montée du sentiment anti-français au sein de la population, où l’espoir et la confiance ne sont pas au rendez-vous. « Rien ne serait pire qu’un enlisement où les forces étrangères seraient perçues comme armées d’occupation. Les extrémistes islamistes et les entrepreneurs de la violence n’attendent que ça ». Pour le PCF, afin d’être crédible, l’État français doit faire la démonstration que l’objectif est de créer les conditions d’un départ des troupes françaises et, à moyen terme, étrangères du Mali. B.S.H.

- 10h47

Terrorisme – Opérations des commandos et de la composante aérienne de Barkhane dans le Gourma. Les 2 et 4 mai derniers, la force Barkhane a mené deux nouvelles opérations commandos destinées à affaiblir les groupes armés terroristes (GAT) agissant dans la région du Liptako-Gourma. La première opération s’est déroulée le 2 mai, au sud-ouest de Gossi au Mali, région où sévit le RVIM. Elle a été menée par des commandos au sol et un module héliporté appuyé par un drone. La deuxième opération a été réalisée le 4 mai, au nord de Gorom-Gorom au Burkina Faso, dans une région connue pour être une zone de prédation de l’EIGS. Des frappes aériennes de Mirage, y ont été couplées à l’engagement d’hélicoptères de combat et de drones. Ces deux opérations ont permis de mettre hors de combats plusieurs membres de ces GAT, et ont également donné lieu à la destruction de 5 motos et à la saisie d’armement, de téléphones et de matériel électronique.

- 10h47

Terrorisme – Opérations des commandos et de la composante aérienne de Barkhane dans le Gourma. Les 2 et 4 mai derniers, la force Barkhane a mené deux nouvelles opérations commandos destinées à affaiblir les groupes armés terroristes (GAT) agissant dans la région du Liptako-Gourma. La première opération s’est déroulée le 2 mai, au sud-ouest de Gossi au Mali, région où sévit le RVIM. Elle a été menée par des commandos au sol et un module héliporté appuyé par un drone. La deuxième opération a été réalisée le 4 mai, au nord de Gorom-Gorom au Burkina Faso, dans une région connue pour être une zone de prédation de l’EIGS. Des frappes aériennes de Mirage, y ont été couplées à l’engagement d’hélicoptères de combat et de drones. Ces deux opérations ont permis de mettre hors de combats plusieurs membres de ces GAT, et ont également donné lieu à la destruction de 5 motos et à la saisie d’armement, de téléphones et de matériel électronique.

- 10h44

Action civilo-militaire – Barkhane rénove des puits de la ville de Tessit. Le 23 avril, la force Barkhane a participé à l’inauguration de plusieurs projets d’action civilomilitaires, dont deux puits dans la ville de Tessit, dans le Gourma malien. Ces projets, conduits par les équipes de coopération civilo-militaires (CIMIC) de Barkhane, répondent à certains besoins urgents de la population, et précèdent d’une manière plus générale les actions d’ampleur mises en œuvre par les acteurs du développement. Ainsi, un puits au marché et un puits à proximité du camp des Forces armées maliennes ont été inaugurés en présence des autorités locales et militaires. Les équipes CIMIC travaillent quotidiennement auprès de la population, afin de comprendre leurs besoins premiers. Elles réalisent des projets qui faciliteront la vie du plus grand nombre de personnes.

- 10h44

Action civilo-militaire – Barkhane rénove des puits de la ville de Tessit. Le 23 avril, la force Barkhane a participé à l’inauguration de plusieurs projets d’action civilomilitaires, dont deux puits dans la ville de Tessit, dans le Gourma malien. Ces projets, conduits par les équipes de coopération civilo-militaires (CIMIC) de Barkhane, répondent à certains besoins urgents de la population, et précèdent d’une manière plus générale les actions d’ampleur mises en œuvre par les acteurs du développement. Ainsi, un puits au marché et un puits à proximité du camp des Forces armées maliennes ont été inaugurés en présence des autorités locales et militaires. Les équipes CIMIC travaillent quotidiennement auprès de la population, afin de comprendre leurs besoins premiers. Elles réalisent des projets qui faciliteront la vie du plus grand nombre de personnes.

- 10h37

Covid-19 – Alors qu’il peine à faire appliquer la plupart des mesures prises dans le cadre de la lutte contre la propagation du Covid-19 au Mali et que les cas de contamination continuent de grimper à travers le pays, le gouvernement a opté, à l’issue du Conseil extraordinaire de défense nationale du 8 mai dernier, pour la levée du couvre-feu et l’instauration du port obligatoire du masque dans les lieux publics. De nouvelles mesures dictées par un concours de circonstances qui a abouti à un climat socio-politique délétère, mais qui viennent mettre à mal la cohérence dans la gestion de cette crise sanitaire, où l’État semble de plus en plus tâtonnant. A lire l’article complet sur notre site avec pour titre « Lutte contre le Covid-19: Faux sur toute la ligne? »

- 10h37

Covid-19 – Alors qu’il peine à faire appliquer la plupart des mesures prises dans le cadre de la lutte contre la propagation du Covid-19 au Mali et que les cas de contamination continuent de grimper à travers le pays, le gouvernement a opté, à l’issue du Conseil extraordinaire de défense nationale du 8 mai dernier, pour la levée du couvre-feu et l’instauration du port obligatoire du masque dans les lieux publics. De nouvelles mesures dictées par un concours de circonstances qui a abouti à un climat socio-politique délétère, mais qui viennent mettre à mal la cohérence dans la gestion de cette crise sanitaire, où l’État semble de plus en plus tâtonnant. A lire l’article complet sur notre site avec pour titre « Lutte contre le Covid-19: Faux sur toute la ligne? »

- 10h19

Les services de la santé du Mali ont signalé jeudi 21 nouveaux cas confirmés de COVID-19, portant le nombre total à 779 dans le pays. Selon le ministère malien de la Santé et des Affaires sociales, sur 96 échantillons testés au cours des dernières 24 heures, 21 se sont avérés positifs, dont 13 cas se trouvent à Bamako, épicentre de la pandémie au Mali. Un total de 24 patients ont été contrôlés négatifs, donc déclarés guéris, et 2 décès ont été enregistrés au cours des dernières 24 heures dans le pays, a fait savoir dans un communiqué le ministère la Santé et des Affaires sociales, ajoutant que 1.785 cas contacts font l’objet d’un suivi quotidien. A ce jour, ce pays ouest-africain compte 779 cas confirmés, dont 46 décès et 436 guéris, depuis le 25 mars dernier.

- 10h19

Les services de la santé du Mali ont signalé jeudi 21 nouveaux cas confirmés de COVID-19, portant le nombre total à 779 dans le pays. Selon le ministère malien de la Santé et des Affaires sociales, sur 96 échantillons testés au cours des dernières 24 heures, 21 se sont avérés positifs, dont 13 cas se trouvent à Bamako, épicentre de la pandémie au Mali. Un total de 24 patients ont été contrôlés négatifs, donc déclarés guéris, et 2 décès ont été enregistrés au cours des dernières 24 heures dans le pays, a fait savoir dans un communiqué le ministère la Santé et des Affaires sociales, ajoutant que 1.785 cas contacts font l’objet d’un suivi quotidien. A ce jour, ce pays ouest-africain compte 779 cas confirmés, dont 46 décès et 436 guéris, depuis le 25 mars dernier.

mercredi 13 mai

- 15h02

Covid 19 – La pandémie de nouveau coronavirus a fait plus de 290.000 morts dans le monde, dont plus de 80% en Europe et aux Etats-Unis, depuis son apparition en Chine, selon un bilan établi par l’AFP à partir de sources officielles mardi à 22h00 GMT.

- 15h02

Covid 19 – La pandémie de nouveau coronavirus a fait plus de 290.000 morts dans le monde, dont plus de 80% en Europe et aux Etats-Unis, depuis son apparition en Chine, selon un bilan établi par l’AFP à partir de sources officielles mardi à 22h00 GMT.

- 12h43

Le MDAC a tenu une réunion d’information et d’échanges avec la hiérarchie militaire ce 12 mai 2020. L’objet de cette réunion était d’échanger avec les Chefs militaires sur les problèmes d’actualité que connaît l’Armée et y apporter des solutions.  

- 12h43

Le MDAC a tenu une réunion d’information et d’échanges avec la hiérarchie militaire ce 12 mai 2020. L’objet de cette réunion était d’échanger avec les Chefs militaires sur les problèmes d’actualité que connaît l’Armée et y apporter des solutions.  

- 09h39

Terrorisme et coopération – Selon le site Africaintelligence, c’est un véritable bras de fer qui se joue actuellement à huis clos à l’ONU : les États-Unis tentent d’imposer leur candidat à la tête de la Minusma et plaident pour une baisse des effectifs de l’opération de maintien de la paix. Deux exigences que refuse Paris.

- 09h39

Terrorisme et coopération – Selon le site Africaintelligence, c’est un véritable bras de fer qui se joue actuellement à huis clos à l’ONU : les États-Unis tentent d’imposer leur candidat à la tête de la Minusma et plaident pour une baisse des effectifs de l’opération de maintien de la paix. Deux exigences que refuse Paris.

- 09h35

Banques – Le résultat net de la Bank Of Africa (BOA) Mali, filiale du groupe bancaire du même nom, a connu une baisse de 25,9% à l’issue du premier trimestre 2020 comparé à la même période de 2019, ont annoncé les dirigeants de cet établissement bancaire basé à Bamako. Ce résultat s’est établi à 1,165 milliard de FCFA au 30 mars 2020 contre 1,572 milliard de FCFA un an auparavant, soit une contraction de 407 millions de FCFA.

- 09h35

Banques – Le résultat net de la Bank Of Africa (BOA) Mali, filiale du groupe bancaire du même nom, a connu une baisse de 25,9% à l’issue du premier trimestre 2020 comparé à la même période de 2019, ont annoncé les dirigeants de cet établissement bancaire basé à Bamako. Ce résultat s’est établi à 1,165 milliard de FCFA au 30 mars 2020 contre 1,572 milliard de FCFA un an auparavant, soit une contraction de 407 millions de FCFA.

- 09h27

Sécurité – Trois soldats tchadiens de la mission des Nations Unies au Mali (Minusma) ont été tués dimanche, et trois autres grièvement blessés, quand leurs véhicules ont sauté sur une mine dans le nord du pays ouest-africain, a annoncé l’ONU. « Deux véhicules du contingent tchadien de l’ONU au cours d’une patrouille de routine autour du camp ont sauté sur les mines. Il y’a trois morts et 3 blessés graves », a dit un responsable de la Minusma à Aguelok, ville du nord du Mali.Olivier Salgado, porte-parole de la Minusma a confirmé l’information et les pertes, ajoutant que des renforts avaient été envoyés dans la zone.La Minusma compte environ 13.000 soldats au Mali.

- 09h27

Sécurité – Trois soldats tchadiens de la mission des Nations Unies au Mali (Minusma) ont été tués dimanche, et trois autres grièvement blessés, quand leurs véhicules ont sauté sur une mine dans le nord du pays ouest-africain, a annoncé l’ONU. « Deux véhicules du contingent tchadien de l’ONU au cours d’une patrouille de routine autour du camp ont sauté sur les mines. Il y’a trois morts et 3 blessés graves », a dit un responsable de la Minusma à Aguelok, ville du nord du Mali.Olivier Salgado, porte-parole de la Minusma a confirmé l’information et les pertes, ajoutant que des renforts avaient été envoyés dans la zone.La Minusma compte environ 13.000 soldats au Mali.

- 09h25

Manifestations- Au moins trois personnes ont été tuées ce mardi lors des affrontements entre les manifestants et les forces de l’ordre à Kayes, dans l’ouest du Mali, a annoncé le gouvernement malien dans un communiqué. Une manifestation de colère a éclaté mardi à Kayes et a conduit à des affrontements entre les manifestants et les forces de l’ordre, à la suite d’un accident survenu lundi soir qui a coûté la vie à un jeune motocycliste interpellé par un agent de police. Deux commissariats ont été brûlés lors de la manifestation.

- 09h25

Manifestations- Au moins trois personnes ont été tuées ce mardi lors des affrontements entre les manifestants et les forces de l’ordre à Kayes, dans l’ouest du Mali, a annoncé le gouvernement malien dans un communiqué. Une manifestation de colère a éclaté mardi à Kayes et a conduit à des affrontements entre les manifestants et les forces de l’ordre, à la suite d’un accident survenu lundi soir qui a coûté la vie à un jeune motocycliste interpellé par un agent de police. Deux commissariats ont été brûlés lors de la manifestation.

mardi 12 mai

- 14h34

KAYES – Vive tension après le meurtre d’un jeune de 18ans sur la route de Sadiola. Du lundi nuit à ce mardi, la population a manifesté pour réclamer justice. Le commissariat du deuxième arrondissement de Kayes a même été incendié par les manifestants selon un média de la place.

- 14h34

KAYES – Vive tension après le meurtre d’un jeune de 18ans sur la route de Sadiola. Du lundi nuit à ce mardi, la population a manifesté pour réclamer justice. Le commissariat du deuxième arrondissement de Kayes a même été incendié par les manifestants selon un média de la place.

- 10h29

Culture du chanvre industriel au Mali : La décision a été abrogée depuis février 2020. Depuis la décision n°0231/MSPC-SG du 25 février 2020, portant retrait d’autorisation de culture et de production de chanvre industriel au Mali, il n’existe plus de licences pour la production du chanvre industriel.

- 10h29

Culture du chanvre industriel au Mali : La décision a été abrogée depuis février 2020. Depuis la décision n°0231/MSPC-SG du 25 février 2020, portant retrait d’autorisation de culture et de production de chanvre industriel au Mali, il n’existe plus de licences pour la production du chanvre industriel.

- 10h26

Attaques – Le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a fermement condamné les attaques avec des engins explosifs improvisés contre un convoi de la Mission des Nations Unies Mali (MINUSMA) près d’Aguelhok, dans la région de Kidal. Les attaques perpétrées dimanche matin ont tué trois Casques bleus du Tchad et en ont gravement blessé quatre autres. « Le Secrétaire général rappelle que les attaques visant des soldats de la paix des Nations Unies peuvent constituer des crimes de guerre au regard du droit international », a indiqué son porte-parole dans une déclaration de presse publiée dimanche soir. Ces Casques bleus sont « morts au service de la paix au Mali », a rappelé le Représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU dans le pays, Mahamat Saleh Annadif, qui a également fermement condamné des « actes lâches qui ont pour but de paralyser les opérations sur le terrain de la MINUSMA et de toucher indistinctement le personnel des Nations Unies et des civils innocents ». M. Guterres a appelé les autorités maliennes à ne ménager aucun effort pour identifier les auteurs de ces attaques afin qu’ils puissent être rapidement amenés devant la justice.

- 10h26

Attaques – Le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a fermement condamné les attaques avec des engins explosifs improvisés contre un convoi de la Mission des Nations Unies Mali (MINUSMA) près d’Aguelhok, dans la région de Kidal. Les attaques perpétrées dimanche matin ont tué trois Casques bleus du Tchad et en ont gravement blessé quatre autres. « Le Secrétaire général rappelle que les attaques visant des soldats de la paix des Nations Unies peuvent constituer des crimes de guerre au regard du droit international », a indiqué son porte-parole dans une déclaration de presse publiée dimanche soir. Ces Casques bleus sont « morts au service de la paix au Mali », a rappelé le Représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU dans le pays, Mahamat Saleh Annadif, qui a également fermement condamné des « actes lâches qui ont pour but de paralyser les opérations sur le terrain de la MINUSMA et de toucher indistinctement le personnel des Nations Unies et des civils innocents ». M. Guterres a appelé les autorités maliennes à ne ménager aucun effort pour identifier les auteurs de ces attaques afin qu’ils puissent être rapidement amenés devant la justice.

- 10h23

Mines – Au Mali, la compagnie minière African Gold Group (AGG) a publié en fin de semaine dernière une étude d’ingénierie pour l’usine de traitement de son projet aurifère Kobada. Selon les travaux de conception réalisés par la société Senet, l’usine pourrait traiter environ 3 millions de tonnes de minerai par an et livrer annuellement plus de 100 000 onces d’or.

- 10h23

Mines – Au Mali, la compagnie minière African Gold Group (AGG) a publié en fin de semaine dernière une étude d’ingénierie pour l’usine de traitement de son projet aurifère Kobada. Selon les travaux de conception réalisés par la société Senet, l’usine pourrait traiter environ 3 millions de tonnes de minerai par an et livrer annuellement plus de 100 000 onces d’or.

- 10h22

L’honorable Moussa Timbiné a été élu ce lundi 11 mai nouveau président de l’Assemblée nationale. A l’issue d’un vote sans suspense qui l’opposait à l’ancien Premier ministre Moussa Mara, le député élu en commune V a remporté un large suffrage auprès des autres élus. Timbiné qui revient de loin. Sa liste avait été battu sur la base des résultats provisoires du second tour proclamés par le ministère de l’Administration territoriale. Mais l’arrêt du 30 avril de la cour constitutionnelle consacrait finalement la victoire de sa liste. Celui qui a été 1er vice-président de l’Assemblée nationale, en devient donc aujourd’hui le président.

- 10h22

L’honorable Moussa Timbiné a été élu ce lundi 11 mai nouveau président de l’Assemblée nationale. A l’issue d’un vote sans suspense qui l’opposait à l’ancien Premier ministre Moussa Mara, le député élu en commune V a remporté un large suffrage auprès des autres élus. Timbiné qui revient de loin. Sa liste avait été battu sur la base des résultats provisoires du second tour proclamés par le ministère de l’Administration territoriale. Mais l’arrêt du 30 avril de la cour constitutionnelle consacrait finalement la victoire de sa liste. Celui qui a été 1er vice-président de l’Assemblée nationale, en devient donc aujourd’hui le président.

samedi 09 mai

- 22h18

Covid 19 – Le gouvernement prévoit de distribuer 56 000 tonnes de vivres. Le Programme présidentiel « Un Malien, un masque » est en cours a précisé le Premier ministre dans son allocution, avant de préciser que l’Opération de distribution gratuite de vivres aux familles les plus démunies est à l’œuvre dans le District et à Kayes, touchant 1.350 000 personnes pour 14 000 tonnes avec pour objectif de distribuer 56 000 tonnes.

- 22h18

Covid 19 – Le gouvernement prévoit de distribuer 56 000 tonnes de vivres. Le Programme présidentiel « Un Malien, un masque » est en cours a précisé le Premier ministre dans son allocution, avant de préciser que l’Opération de distribution gratuite de vivres aux familles les plus démunies est à l’œuvre dans le District et à Kayes, touchant 1.350 000 personnes pour 14 000 tonnes avec pour objectif de distribuer 56 000 tonnes.

- 22h17

Covid – 19 – 5000 masques attendus ce dimanche. Près de 3000 tests qui ont été réalisés, dans quatre laboratoires de Bamako. Aujourd’hui, les autorités envisagent de renforcer les capacités de tests et de prises en charge dans les différentes régions du pays. A cet effet, l’aéroport International Modibo Keïta Bamako – Sénou va réceptionner ce dimanche (09/05/20), 10 tonnes de matériels dont 5.000 tests. Les autorités précisent que cet avion a été envoyé par son altesse Cheick Mohamed Bin Zayed, prince héritier des Emirats Arabes Unis.

- 22h17

Covid – 19 – 5000 masques attendus ce dimanche. Près de 3000 tests qui ont été réalisés, dans quatre laboratoires de Bamako. Aujourd’hui, les autorités envisagent de renforcer les capacités de tests et de prises en charge dans les différentes régions du pays. A cet effet, l’aéroport International Modibo Keïta Bamako – Sénou va réceptionner ce dimanche (09/05/20), 10 tonnes de matériels dont 5.000 tests. Les autorités précisent que cet avion a été envoyé par son altesse Cheick Mohamed Bin Zayed, prince héritier des Emirats Arabes Unis.

- 22h15

Coronavirus- La tranche d’âge des « 35-54 ans » est la plus touchée. Selon les autorités, le rapport très détaillé du Conseil national de Défense Extraordinaire précise que notre pays frôle les « 700 cas confirmés de Covid 19 avec plus de 2000 personnes-contacts suivies, un peu moins de 300 guérisons » avec plus de 35 décès. Aujourd’hui, 88% des cas, sont enregistrés au District de Bamako désormais épicentre de la pandémie sanitaire dans notre pays. « La tranche d’âge des « 35-54 ans » est la plus touchée avec près de 40% des cas d’infections. » Cette catégorie est suivie par celle des « 55 ans et plus » avec un peu moins de 35%. Puis, vient la tranche d’âge des « 15-34 ans » qui représente 24% des personnes contaminées.

- 22h15

Coronavirus- La tranche d’âge des « 35-54 ans » est la plus touchée. Selon les autorités, le rapport très détaillé du Conseil national de Défense Extraordinaire précise que notre pays frôle les « 700 cas confirmés de Covid 19 avec plus de 2000 personnes-contacts suivies, un peu moins de 300 guérisons » avec plus de 35 décès. Aujourd’hui, 88% des cas, sont enregistrés au District de Bamako désormais épicentre de la pandémie sanitaire dans notre pays. « La tranche d’âge des « 35-54 ans » est la plus touchée avec près de 40% des cas d’infections. » Cette catégorie est suivie par celle des « 55 ans et plus » avec un peu moins de 35%. Puis, vient la tranche d’âge des « 15-34 ans » qui représente 24% des personnes contaminées.

- 22h14

Mesures Covid 19 – Le port du masque obligatoire dans les lieux publics. La très attendue allocution du Premier ministre ce samedi était axée sur l’ensemble des nouvelles mesures Covid-19 proposées par le Conseil national de Défense Extraordinaire qui s’est réuni vendredi (08/05/20). Le Premier ministre Boubou Cissé a annoncé ce 09 mai 2020, la levée du couvre-feu, alors que la réouverture des écoles primaires, secondaires et supérieures est envisagée à partir du 02 juin, le port obligatoire des masques dans les lieux publics.

- 22h14

Mesures Covid 19 – Le port du masque obligatoire dans les lieux publics. La très attendue allocution du Premier ministre ce samedi était axée sur l’ensemble des nouvelles mesures Covid-19 proposées par le Conseil national de Défense Extraordinaire qui s’est réuni vendredi (08/05/20). Le Premier ministre Boubou Cissé a annoncé ce 09 mai 2020, la levée du couvre-feu, alors que la réouverture des écoles primaires, secondaires et supérieures est envisagée à partir du 02 juin, le port obligatoire des masques dans les lieux publics.

vendredi 08 mai

- 23h00

Bamako: Incendie au marché de Boulkassoumbougou. Un incendie a eu lieu ce vendredi (08-05-20) au marché de Boulkassoumbougou. Les commerçants déplorent déjà d’importants dégâts matériels. Les informations sur l’origine de cet incendie n’ont pas encore été données. En attendant, des vidéos amateurs de la scène font le tour des réseaux sociaux depuis la nuit dernière.

- 23h00

Bamako: Incendie au marché de Boulkassoumbougou. Un incendie a eu lieu ce vendredi (08-05-20) au marché de Boulkassoumbougou. Les commerçants déplorent déjà d’importants dégâts matériels. Les informations sur l’origine de cet incendie n’ont pas encore été données. En attendant, des vidéos amateurs de la scène font le tour des réseaux sociaux depuis la nuit dernière.

jeudi 07 mai

- 14h52

Crise scolaire : Le CSDM solidaire des enseignants. Le Président du Conseil supérieur de la diaspora malienne (CSDM), Mohamed Chérif Haidara, a rencontré mardi 5 mai la Synergie des syndicats d’enseignants grévistes à la Maison de l’enseignant de Bamako. Il était venu apporter son « indéfectible soutien » aux enseignants en lutte pour l’application de l’article 39 de leur statut, qui leur accorde 20% d’augmentation de salaire. « Nous demandons au gouvernement, sans plus tarder, l’application de l’article 39. Après cela, nous allons revendiquer au nom de tous les enseignants qu’ils aient une assurance-vie et un logement gratuit et dans un endroit de leur choix », a-t-il prévenu. Il a également souligné le rôle crucial de la diaspora dans le développement économique du Mali, d’où son implication dans la résolution de la crise scolaire. « Nous apportons plus de 1 000 milliards de francs CFA par an au pays. L’État a cessé d’exister depuis très longtemps dans certaines parties du Mali. C’est l’argent que nous envoyons qui permet à des familles de tenir », a-t-il souligné. Ce soutien du CSDM a été apprécié par les enseignants grévistes, par la voix d’Adama Fomba, porte-parole de la Synergie. L’école malienne est paralysée depuis décembre dernier par une série de grèves. La Synergie des enseignants grévistes demande à bénéficier des 20 % d’augmentation de salaire accordés à l’Union nationale des travailleurs du Mali (UNTM). Les différentes négociations entre les deux parties ont échoué. Et cela fait plus de trois mois que les enseignants maliens ont vu leurs salaires bloqués par le gouvernement.

- 14h52

Crise scolaire : Le CSDM solidaire des enseignants. Le Président du Conseil supérieur de la diaspora malienne (CSDM), Mohamed Chérif Haidara, a rencontré mardi 5 mai la Synergie des syndicats d’enseignants grévistes à la Maison de l’enseignant de Bamako. Il était venu apporter son « indéfectible soutien » aux enseignants en lutte pour l’application de l’article 39 de leur statut, qui leur accorde 20% d’augmentation de salaire. « Nous demandons au gouvernement, sans plus tarder, l’application de l’article 39. Après cela, nous allons revendiquer au nom de tous les enseignants qu’ils aient une assurance-vie et un logement gratuit et dans un endroit de leur choix », a-t-il prévenu. Il a également souligné le rôle crucial de la diaspora dans le développement économique du Mali, d’où son implication dans la résolution de la crise scolaire. « Nous apportons plus de 1 000 milliards de francs CFA par an au pays. L’État a cessé d’exister depuis très longtemps dans certaines parties du Mali. C’est l’argent que nous envoyons qui permet à des familles de tenir », a-t-il souligné. Ce soutien du CSDM a été apprécié par les enseignants grévistes, par la voix d’Adama Fomba, porte-parole de la Synergie. L’école malienne est paralysée depuis décembre dernier par une série de grèves. La Synergie des enseignants grévistes demande à bénéficier des 20 % d’augmentation de salaire accordés à l’Union nationale des travailleurs du Mali (UNTM). Les différentes négociations entre les deux parties ont échoué. Et cela fait plus de trois mois que les enseignants maliens ont vu leurs salaires bloqués par le gouvernement.

- 14h50

Cora Gold poursuit son développement au Mali. La compagnie minière Cora Gold poursuit le développement de son projet aurifère de Sanankoro, au Mali. Elle a confié à la société Digby Wells Environnemental la réalisation d’une étude d’impacts environnementaux et sociaux (ESIA) pour cet actif, situé dans le sud du pays. L’entreprise sera chargée de déterminer les conséquences possibles d’une exploitation minière à Sanankoro sur l’eau et le milieu de vie des populations. Elle devra en outre produire un plan de fermeture et de réhabilitation du site à la fin de l’exploitation, ainsi qu’une politique de réinstallation des populations et un plan de développement communautaire. « L’ESIA est essentielle à la DFS (étude de faisabilité définitive) et nous faisons l’essentiel pour la boucler avant la fin de l’année prochaine (…). Ainsi, elle soutiendra notre future demande de permis d’exploitation », a commenté Bert Monro, PDG de la compagnie. Selon les estimations actuelles, le projet de Sanankoro présente un fort potentiel économique, avec un taux de rentabilité interne de 84% à un prix de l’or de 1 400 $ l’once. Il pourrait produire 45 000 onces d’or par an grâce à un capital de développement de 20,6 millions $, récupérable en moins de 18 mois. Fatoumata Maguiraga avec agence Ecofin

- 14h50

Cora Gold poursuit son développement au Mali. La compagnie minière Cora Gold poursuit le développement de son projet aurifère de Sanankoro, au Mali. Elle a confié à la société Digby Wells Environnemental la réalisation d’une étude d’impacts environnementaux et sociaux (ESIA) pour cet actif, situé dans le sud du pays. L’entreprise sera chargée de déterminer les conséquences possibles d’une exploitation minière à Sanankoro sur l’eau et le milieu de vie des populations. Elle devra en outre produire un plan de fermeture et de réhabilitation du site à la fin de l’exploitation, ainsi qu’une politique de réinstallation des populations et un plan de développement communautaire. « L’ESIA est essentielle à la DFS (étude de faisabilité définitive) et nous faisons l’essentiel pour la boucler avant la fin de l’année prochaine (…). Ainsi, elle soutiendra notre future demande de permis d’exploitation », a commenté Bert Monro, PDG de la compagnie. Selon les estimations actuelles, le projet de Sanankoro présente un fort potentiel économique, avec un taux de rentabilité interne de 84% à un prix de l’or de 1 400 $ l’once. Il pourrait produire 45 000 onces d’or par an grâce à un capital de développement de 20,6 millions $, récupérable en moins de 18 mois. Fatoumata Maguiraga avec agence Ecofin

- 13h52

Santé – Suspendues à la suite du déclenchement de l’épidémie de coronavirus dans notre pays, les menaces de grève dans plusieurs grands hôpitaux de la capitale avaient pour but de réclamer notamment le paiement des émoluments dus aux travailleurs « bi-appartenants ». Si l’urgence mondiale a permis de surseoir au mouvement avant des négociations avec le ministère de la Santé et de l’action sociale, elle a aussi conduit les syndicats à faire des constats et à adresser des recommandations aux autorités sanitaires. Manque d’équipements, de personnel et de formation, les insuffisances sont nombreuses et la crise doit permettre de tirer des leçons pour une gestion plus efficiente de nos structures et un renforcement de leurs capacités.

- 13h52

Santé – Suspendues à la suite du déclenchement de l’épidémie de coronavirus dans notre pays, les menaces de grève dans plusieurs grands hôpitaux de la capitale avaient pour but de réclamer notamment le paiement des émoluments dus aux travailleurs « bi-appartenants ». Si l’urgence mondiale a permis de surseoir au mouvement avant des négociations avec le ministère de la Santé et de l’action sociale, elle a aussi conduit les syndicats à faire des constats et à adresser des recommandations aux autorités sanitaires. Manque d’équipements, de personnel et de formation, les insuffisances sont nombreuses et la crise doit permettre de tirer des leçons pour une gestion plus efficiente de nos structures et un renforcement de leurs capacités.

- 13h42

Politique – Woyo Konaté, Docteur en philosophie politique, enseignant à l’USJPB répond aux 3 questions. de la rédaction sur la nouvelle composition de l’Assemblée nationale. Quel regard portez-vous sur la nouvelle composition de l’Assemblée nationale ? Il n’y a eu aucun changement véritable. Déjà, même à la base, la façon dont les alliances avaient été nouées suscitait plusieurs questions. C’est déplorable de la part de nos politiques qu’il n’y ait pas de visions démarquées de la part des uns et des autres. On a l’impression que tous les partis politiques sont les mêmes, dépourvus de véritables visions. Donc, à partir des résultats de ce jeu politique, on ne peut absolument rien dégager, si ce n’est la défense des intérêts partisans au détriment de ceux du peuple. Doit-on s’attendre à un nouveau rapport de forces au sein de l’Hémicycle ? Ce sera la continuité, tout simplement. L’URD va maintenir sa position en tête de l’opposition. L’Adema ne pourra pas abandonner la majorité présidentielle. Mais s’il y avait eu un autre parti de l’opposition qui s’était classé 3ème, comme Yelema par exemple, pour titiller l’URD et prétendre incarner une nouvelle opposition parlementaire, cela aurait pu éventuellement aboutir à quelque chose de nouveau. Les réformes en attente peuvent-elles être enclenchées ? L’Assemblée qui était en place souffrait de légitimité. Cette illégitimité étant en principe levée, on peut effectivement aller vers certaines réformes. Mais, parmi elles, toutes ne sont pas sûres de pouvoir aboutir. Cependant, les procédures peuvent déjà être enclenchées sans problème avec cette législature légitime et légale, du point de vue des principes.

- 13h42

Politique – Woyo Konaté, Docteur en philosophie politique, enseignant à l’USJPB répond aux 3 questions. de la rédaction sur la nouvelle composition de l’Assemblée nationale. Quel regard portez-vous sur la nouvelle composition de l’Assemblée nationale ? Il n’y a eu aucun changement véritable. Déjà, même à la base, la façon dont les alliances avaient été nouées suscitait plusieurs questions. C’est déplorable de la part de nos politiques qu’il n’y ait pas de visions démarquées de la part des uns et des autres. On a l’impression que tous les partis politiques sont les mêmes, dépourvus de véritables visions. Donc, à partir des résultats de ce jeu politique, on ne peut absolument rien dégager, si ce n’est la défense des intérêts partisans au détriment de ceux du peuple. Doit-on s’attendre à un nouveau rapport de forces au sein de l’Hémicycle ? Ce sera la continuité, tout simplement. L’URD va maintenir sa position en tête de l’opposition. L’Adema ne pourra pas abandonner la majorité présidentielle. Mais s’il y avait eu un autre parti de l’opposition qui s’était classé 3ème, comme Yelema par exemple, pour titiller l’URD et prétendre incarner une nouvelle opposition parlementaire, cela aurait pu éventuellement aboutir à quelque chose de nouveau. Les réformes en attente peuvent-elles être enclenchées ? L’Assemblée qui était en place souffrait de légitimité. Cette illégitimité étant en principe levée, on peut effectivement aller vers certaines réformes. Mais, parmi elles, toutes ne sont pas sûres de pouvoir aboutir. Cependant, les procédures peuvent déjà être enclenchées sans problème avec cette législature légitime et légale, du point de vue des principes.

- 13h39

Les partis extra-parlementaires – Si des partis politiques comme le CNID-FYT, la CNAS-Faso Hèrè, le RPDM ou encore les Fare An Ka Wuli ne siègent pas à la nouvelle Assemblée, ce n’est pas faute d’avoir participé à la compétition électorale. Ils sont victimes, à en croire chacun de leurs états-majors, du mauvais jeu démocratique malien.Pour l’analyste politique Salia Samaké, la survie de ces partis dépendra surtout de celle de leurs têtes de proues et de la capacité de ces dernières à gérer leur absence à l’Assemblée nationale. Mais l’étape des législatives passée, les partis non représentés au Parlement ne se sentent pas pour autant affaiblis et comptent continuer de s’activer sur l’échiquier politique. « Le fait de ne pas être présent à l’Hémicycle n’impacte pas notre force de proposition pour le changement au Mali. Nous l’avons toujours fait, nous le faisons et nous allons continuer à le faire », assure Bakary Sacko, Secrétaire administratif du Bureau politique national de la CNAS- Faso Hèrè. Au RPDM, on croit aussi fermement à un brillant avenir pour le parti, à même de retourner une fois de plus la situation en sa faveur lors des prochaines échéances électorales, notamment la présidentielle de 2023. « En politique, il faut les moyens et nous allons les mettre, de façon honnête, afin d’arriver aux affaires les mains propres », ambitionne Baba Yagaré Diakité.

- 13h39

Les partis extra-parlementaires – Si des partis politiques comme le CNID-FYT, la CNAS-Faso Hèrè, le RPDM ou encore les Fare An Ka Wuli ne siègent pas à la nouvelle Assemblée, ce n’est pas faute d’avoir participé à la compétition électorale. Ils sont victimes, à en croire chacun de leurs états-majors, du mauvais jeu démocratique malien.Pour l’analyste politique Salia Samaké, la survie de ces partis dépendra surtout de celle de leurs têtes de proues et de la capacité de ces dernières à gérer leur absence à l’Assemblée nationale. Mais l’étape des législatives passée, les partis non représentés au Parlement ne se sentent pas pour autant affaiblis et comptent continuer de s’activer sur l’échiquier politique. « Le fait de ne pas être présent à l’Hémicycle n’impacte pas notre force de proposition pour le changement au Mali. Nous l’avons toujours fait, nous le faisons et nous allons continuer à le faire », assure Bakary Sacko, Secrétaire administratif du Bureau politique national de la CNAS- Faso Hèrè. Au RPDM, on croit aussi fermement à un brillant avenir pour le parti, à même de retourner une fois de plus la situation en sa faveur lors des prochaines échéances électorales, notamment la présidentielle de 2023. « En politique, il faut les moyens et nous allons les mettre, de façon honnête, afin d’arriver aux affaires les mains propres », ambitionne Baba Yagaré Diakité.