Téléphonie mobile : Orange Mali lance le « Djamaa phone »

Une offre innovante et accessible C’est dans le village de Tadiana à  45 km de Bamako, sur la route de Sikasso, que les responsables de la société de téléphonie Orange-Mali ont procédé au lancement du produit « Djamaa phone ». Une foule nombreuse, composée des villageois et d’une délégation venue de Bamako, a pris part à  l’évènement. Fidèle à  ses engagements, Orange Mali a ainsi mis toute sa capacité d’innovation et sa créativité dans le développement de ces produits et services innovants. Histoire de faciliter le quotidien des clients et des populations. La société Orange Mali couvre près de 8500 localités soit un taux de plus de 43%. Aujourd’hui, elle est leader dans le domaine des télécoms au Mali renforce sa démarche d’entreprise citoyenne, avec la vulgarisation de l’accès aux Tic en zones rurales. Selon ses responsables, Orange Mali a pour objectif de faire bénéficier la majorité de la population malienne de bénéficier d’un point d’accès téléphonique. Le concept des « Djamaa Phone » cadre avec cette vision. Il se positionne comme un véritable projet de responsabilité sociale d’entreprise. En plus d’accorder l’accès facile aux populations, Djamaa phone contribuera également à  la création d’emplois en zone rurale et à  la richesse locale. A travers Djamaa phone, Orange Mali va vers les populations rurales enclavées, n’ont connectées, et qui n’ont pas accès aux infrastructures de télécommunication. Selon le chef du service Djamaa phone, Mme Doucouré Fatoumata Sangaré, le kit Djamaa phone permettra à  ces populations de communiquer à  faible coût, par le développement d’un concept de téléphonie de proximité. Début de la première phase La première phase de déploiement du projet concerne 4 régions du Mali (à  savoir Kayes, Sikasso, Koulikoro, Ségou). 200 villages bénéficient déjà  d’un kit Djamaa phone. Les localités ciblées par le service Djamaa phone sont des villages de plus de 500 habitants situés à  une distance allant de 15 à  50 km autour d’une antenne GSM. Equipement très technique et moderne, le kit standard Djamaa phone est composé d’un téléphone fixe GSM, une carte SIM, plus 10 000 F de crédit initial de communication et d’un chargeur solaire. Les cabines Djamaa phone seront animées par des opérateurs. Pour faciliter l’acquisition du kit, les opérateurs Djamaa phone ont à  leur disposition deux institutions de micro finance (Nyèsigiso et Miselini), pour l’accord de prêt. Compte tenu du caractère innovant du service Djamaa phone, Orange Mali a été récompensé aux AfricaCom 2010 par le Prix de la meilleure solution pour les services en milieu rural. Au titre des défis, Orange Mali entend connecter les villages et hameaux les plus reculés du pays. Avant le lancement, les responsables d’Orange-Mali avaient rencontré les médias dans le but de les informer sur le service Djamaa phone. La conférence qui s’est ténue en présence des partenaires de la société, a permis à  Mme Doucouré de présenter les nombreux avantages liés à  Djamaa phone. Selon la représentante de France télécom, Sophie E, Djamaa phone procède de la volonté de faire la solution la plus simple aux besoins exprimés par les populations rurales.

Mokobé sur le duel des opérateurs Telecom : « J’étais là pour Orange … j’ai été contacté par Malitel »

Dans une interview qu’il a bien voulu nous accorder, Mokobé nous a confirmé avoir été contacté par Malitel. Il a profité de l’occasion pour présenter ses condoléances à  la famille de Mangala camara. Un artiste avec qui il avait un projet de featuring. Bamako Hebdo : Le monde de la musique malienne vient de perdre un des leurs, en l’occurrence Mangala Camara. Avez-vous connu l’artiste ? Mokobe : Tout d’abord je présente toutes mes condoléances à  la famille éplorée car sa disparition est une grande perte pour le Mali. Il était l’une des plus belles voix de la musique malienne, voire africaine. Moi, j’ai eu la chance de le rencontrer pour la première fois au Bla Bla, par le biais du responsable du coin. On a beaucoup discuté, pendant au moins deux à  trois heures de temps. C’est quelqu’un qui était très gentil. Il avait le C’œur sur la main, plein d’humour et marrant. Il avait même souhaité qu’on reprenne ensemble un morceau de son album. C’est avec un grand regret que j’ai appris cette triste nouvelle. J’en profite également pour présenter mes condoléances à  la famille de Chéché Dramé, qui était une belle voix, une valeur montante de la musique. à‡a fait mal de voir partir ces artistes pendant leur succès. O๠en êtes-vous actuellement avec votre carrière ? Présentement, on est sur l’album 113. La sortie officielle est prévue pour le 6 décembre. Cela fait 5 ans qu’on n’avait pas fait d’album. Cette fois-ci nous signons le grand retour du 113. Après, moi j’enchainerai avec mon album solo qui sortira, Inchallah, entre mai et juin 2011. Mais, actuellement, j’ai balancé deux clips dont le premier  »Mali Debout » tourne fort à  ce moment un peu partout, presque sur toutes les grandes chaà®nes. Le second  »Les jaloux vont maigrir » est une sorte de court métrage de 12 à  13 minutes. La promotion de ces deux titres va continuer jusqu’à  la sortie de l’album. Qu’évoquez-vous dans ces deux titres ? D’abord, le titre  »Mali débout », est une manière de lancer un appel à  tous les Maliens de ne pas baisser les bras pour le développement du Mali car on est tous là  pour une même cause, mettre le Mali sur un haut podium. Moi, je continuerai à  me battre pour cette cause et j’inciterai la diaspora malienne à  retourner à  la terre de notre ancêtre. Ceci est important, puisque cela peut jouer un rôle très déterminant au développement et que celui-ci ne peut pas se faire sans eux. Concernant  »Les jaloux vont maigrir » comme tout le monde le sait, cette phrase phare, j’ai décidé ainsi d’en faire un morceau avec également un clip. à‡a sera une surprise pour mes fans de voir un autre à  travers ce morceau. Pour plus d’infos, les fans peuvent aller sur mon site www.mokobe.com. Mes fans peuvent également me joindre sur ma page officielle www.mokobe.com/Mokobe113official. Parlant du développement du Mali, quels regards portez-vous sur le Cinquantenaire du Mali? Tout ce que je peux dire, c’est qu’après ces 50 années passées, même si des progrès ont été réalisés, on a encore beaucoup à  faire, surtout nous les jeunes. Les autres 50 années à  venir nous appartiennent. Il faudra que nous les jeunes fassions preuve de détermination et de courage pour développer le Mali. Pour cela, il faudra que l’Etat offre des opportunités aux jeunes et à  la diaspora pour qu’elle puisse investir au Mali pour les Maliens. Depuis un moment, une rumeur circule que Malitel veut vous récupérer pour ses spectacles, au détriment d’Orange Mali. Est-ce vrai? Avant de répondre à  cette question, je signale que j’étais là  pour un spectacle organisé par Orange Mali avec Magic Système et Singuila. Malheureusement, nous n’avons pas pu nous produire, faute de débordement de la foule. J’espère qu’on reviendra, Inchallah, sur ce concert. Comme déjà  j’étais sur place, j’ai été contacté par la Sotelma-Malitel aussi. Pour l’instant, j’attends de voir et que le meilleur gagne. Les projets de Mokobe ? Comme projets, j’aimerais rénover l’hôpital de Kayes et aussi un hôpital à  Bamako. Ce projet commencera à  Paris, à  travers l’organisation d’un grand événement pour avoir le maximum de bénéfices et de soutien pour ce projet. Le projet de santé au Mali est très important. J’ai aussi un autre projet avec l’équipementier Malamine Koné pour faire des dons de fournitures scolaires à  de nombreuses écoles au Mali. Et enfin, il y a un grand salon de coiffure qui ouvrira ses portes très bientôt à  Bamako, dans le quartier Niamakoro Cité UNICEF. Un salon o๠les clients pourront retrouver tous les accessoires de coiffure sur place au lieu de se rendre toujours en Europe.

Orange Mali : le concert du cinquantenaire tourne au saccage collectif

Comme d’habitude, Orange Mali, la première entreprise de téléphonie mobile a voulu offrir une belle fête à  la jeunesse malienne sur le boulevard de l’indépendance pour fêter avec faste le cinquantenaire. Malheureusement, ce concert a été saccagé par de violentes échauffourées entre policiers et jeunes. La foule déchainée gâche la fête Annoncé en grandes pompes, le concert du cinquantenaire d’ Orange Mali sur le boulevard a réellement tourné au vinaigre. Des bousculades et des jets de pierres sont survenus vers 23 heures 45 minutes et ont écourté le concert. A deux cent mètres du lieu du concert, on pouvait à  peine circuler tant les jeunes en majorité des enfants étaient agités. Tous voulaient voir les artistes renommés du hip-hop Malien et étrangers. Notamment Master Soumi, Ibah Ouane, Didier Awadi, Magic System, Singuila etC’…. Un dispositif des forces de l’ordre d’environ 300 policiers avait aussi été déployé pour la sécurité. Malheureusement la foule déchainée voulait en découdre les forces de l’ordre, après dit-on, la prestation de Master Soumi. Certains pensent que ce sont les mécontents du cinquantenaire qui ont voulu gâcher la fête. Et n’eut été les gaz lacrymogènes balancés sur la foule, beaucoup de policiers risquaient la vindicte populaire. En représailles, on pouvait voir des jeunes briser des écrans géants numériques, endommager des caméras High-tech, des appareils de sonorisation d’une valeur de près de 90 millions selon Daouda Fall, responsable associé à  DFA communication, l’agence co-organisatrice du concert. Quant aux auteurs de ces actes de vandalisme, ils ne sont pas encore identifiés. L’investigation selon les responsables d’Orange Mali, une enquête serait en cours. Plus d’une perte de 500 millions CFA des matériels En somme plus de 500 millions de francs des matériels ont été endommagés selon la responsable de la communication d’Orange Mali, Mme Coumba Sangaré, lors d’un point de presse donné au siège de DFA communication ce mardi. Dans le matériel saccagé, le rappeur Sénégalais Didier Awadi a lui perdu près de 60 millions de CFA de matériels et Salif Keita, qui était l’invité de surprise a également subi un dommage. Coumba Sangaré témoigne : « Nous déplorons profondément les événements malheureux survenus hier soir et exprimons nos plus vifs regrets. Ce qui avait commencé en une belle fête populaire et gratuite, a fini par occasionner des dégâts matériels de plus de 500 millions de FCFA. En effet, l’ORTM, DFA Communication, les artistes et tous les autres prestataires ont perdu leurs équipements, sans compter les préjudices moraux subis par les nombreux spectateurs et riverains ». Réitérant leur regrets aux victimes, Coumba Sangaré a assuré que des investigations sont en cours pour faire toute la lumière sur les causes de ces incidents. Orange Mali tient à  rassurer sa clientèle que ces malheureux événements ne remettront pas en cause son engagement à  la satisfaire. Les artistes présents au point de presse ont tous affirmé leur regret pour ce show écourté, avant de dire qu’ils resteront à  la disposition d’Orange Mali. A noter qu’aucune perte en vie humaine n’a été signalée malgré les rumeurs qui circulaient dans la ville sur des morts éventuels.

Responsabilité sociale d’entreprise : Orange Mali dresse son bilan 2009

Ce point de presse qui s’est tenu dans la salle de DFA communication, a réuni, en plus des journalistes, l’ensemble des partenaires de l’opérateur global des télécommunications. Responsabilité sociale d’entreprise Depuis maintenant 4 quatre ans la société Orange Mali s’est résolument engagée dans une démarche de « Responsabilité sociale d’entreprise » (RSE). Objectif : décliner les axes prioritaires de développement socio-économique. Ainsi, Orange entend participer au developpement socio-économique du pays en contribuant à  la création des richesses et à  la création d’emploi. Aussi, elle œuvre dans le developpement d’offres et de services de télécommunication innovants au Mali. Un autre axe est la préservation de l’environnement, notamment avec le développement de sites solaires sur le réseau. Le dernier axe prioritaire est le mécénat. Dans un large exposé, la directrice de la communication d’Orange, Sangaré Coumba Keita a présenté le rapport 2009 de la responsabilité sociale d’entreprise et celui de la Fondation Orange.Pendant l’année 2009, sur l’ensemble de ses secteurs d’interventions, la Fondation Orange a consommé un budget de plus de 565 000 000F CFA. Par rapport au métier de la société, la conférencière a indiqué qu’Orange s’est employé à  offrir des services performants, assurer la distribution des offres et produits et à  renforcer la construction du réseau. Pour ce qui est de la gouvernance d’entreprise, Sangaré Coumba Keita s’est longuement exprimée sur la collégialité de la société. En effet, dira-t-elle, Orange Mali est détenue à  70, 44% par France Télécom. Un service d’audit interne s’emploi au jour le jour pour une maà®trise optimum des risques. Création d’emplois En terme d’avancées de la Politique RSE en 2009, il faut noter la contribution au développement socio-économique du Mali.La politique d’emploi est basée sur le recrutement de jeunes cadres maliens résidents et ceux de la diaspora. Ainsi, en fin 2009, Orange a créée plus de 30 000 emplois indirects, et 437 emplois directs. En 2009, Orange Mali a contribué à  hauteur de 3% au PIB du Mali et 9% à  sa croissance. Elle a versé au compte de l’Etat (impôts, licence, taxes et cotisations sociales), plus de 187 milliards de F CFA. l’accès aux services de télécommunications s’est traduit par l’extension de la couverture réseau dans les zones rurales très enclavées. Mécénat : la fondation Orange Le volet mécénat de la société est dévolu il y a 4 ans à  la Fondation Orange. Intervenant dans les secteurs de la Santé, l’éducation, la culture, cette structure est aujourd’hui reconnu par les acteurs institutionnels et privés ainsi que par la population, comme un acteur majeur de la lutte contre la pauvreté. En partenariat avec l’Unicef et le Ministère de l’éducation de base,la Fondation Orange a œuvré à  la construction de 114 salles de classe…pour une montant de plus de 1 154 700 000 F CFA. Toutefois, la directrice du service communication d’Orange signalera qu’en 2010, les axes prioritaires seront renforcés, par le maintien des actions déjà  existantes et l’engagement sur de nouveaux projets concernant la santé, l’éducation, la solidarité, et la culture. Selon le DG d’Orange Mali, Alioune NDiaye, la stratégie d’Orange est « une démarche responsable ». Elle s’inscrit dans une perspective de renforcement et de mise en cohérence des nombreuses actions entreprises afin de répondre aux exigences de nos clients, partenaires, fournisseurs, collaborateurs et actionnaires. Aujourd’hui, plus que jamais, la démarche de RSE s’est ancrée au sein de la stratégie de developpement d’Orange.

Télécoms : Orange Mali lance le service Orange money

Transférer de l’argent, payer ses factures, recharger son compte mobile, acheter des biens et services avec son téléphone mobile, tels sont entre autres les différents services qu’entend offrir Orange-Mali à  ses clients à  travers son projet dénommé « Orange Money ». Pour son lancement, une cérémonie a été organisée le mardi 23 février dernier couplée avec un point de presse à  l’hôtel Laà¯co Amitié. Organisée par Orange-Mali, on notait la présence à  cette cérémonie de M. Alioune N’Diaye, DG Orange-Mali, de Mme Tounkara Oumou de la BCEAO, de M. Pierre Geregovoy PDG de la BICIM, et des représentants d’autres partenaires comme Kafo Jiginew et Misélini. Orange Money, un service multicartes Ce projet, il faut le rappeler, est lancé en partenariat avec la Banque Internationale pour le Commerce et l’Industrie du Mali (BICIM) et après une phase réussie de développement technique et commercial et est le résultat des dernières innovations technologiques en matière de transactions bancaires et de services de téléphonie mobile. Dans ses propos, Alioune N’Diaye DG Orange-Mali a affirmé qu’ «Orange Money répond à  un besoin de nos clients de pouvoir effectuer des transactions financières simplifiées accessibles à  tous ». Il soulignera que ce service permet aux clients d’Orange de gagner du temps au quotidien, grâce à  un nouveau moyen de paiement facile, fiable, disponible partout et à  toute heure. Un service accesible à  tous Orange Money est un service qui s’adresse au grand public et plus particulièrement aux populations qui ne disposent pas de comptes bancaires et,il est disponible sur tout le réseau de distribution Orange-Mali ainsi que chez tous les distributeurs agréés. Désormais, grace à  ce service, « plus de contraintes de files d’attente pour effectuer les opérations de paiement ; un accès simplifié aux services tels que l’achat de crédit téléphonique ; moins de risques de vol et d’agressions physiques liés aux espèces ; de nombreux débouchés ; la réduction du coût de traitement des espèces ». Interviennent dans le service Orange Money, Orange-Mali, la BICIM dont le rôle est d’émettre les unités de valeurs de monnaie électronique et de garantir le respect de la réglementation bancaire, ainsi que deux partenaires distributeurs, Kafo Jiginew et Misélini. C’’est plus de 300 clients qui auront l’opportunité de l’utiliser lors de cette première phase. Pour accéder à  ces services il suffit de composer depuis son mobile Orange : #144# et #145# en suivant les instructions du serveur.

CAN 2010 : Orange Mali soutient la CAF

Pour magnifier ce partenariat et le faire connaitre, le service communication d’Orange Mali a convié les hommes de médias autour d’un déjeuner de presse, hier. «Ce partenariat qui est une avant- première sera poursuivi de manière plus renforcée, dans les temps à  venir », ont indiqué les responsables du service Communication de Orange Mali. La société Orange Mali a décidé de soutenir le football africain pendant 6 ans. A travers ce sponsoring, Orange Mali entend rehausser son image et accroà®tre sa part de marché. Bien qu’elle ait déjà  un réseau de 45 millions d’abonnés dans toute l’Afrique. A en croire Racine Thiam, de la cellule communication, la société initiera une opération en terme d’appui au secteur de l’éducation par le biais du football. Clin d’oeil à  l’Education Dans le cadre de ce nouveau partenariat, Orange compte développer un vaste programme de soutien à  l’éducation scolaire et à  la pratique sportive en Afrique. Ce programme, à  en croire Racine Thiam, sera lancé pendant la Coupe d’Afrique des Nations prochaine en Angola. Ce programme viendra renforcer les actions menées par la Fondation Orange qui depuis 2005, agit en faveur de l’éducation des filles dans les pays en voie de développement. Toutefois, «la Fondation Orange intervient d’une part pour permettre aux filles d’accéder à  l’école dès le plus jeune âge (construction d’écoles, développement des installations sanitaires nécessaires à  leur accueil,…),d’autre part pour leur permettre de rester à  l’école au-delà  de la 3ème année fondamentale. 10 millions pour le Stade Malien Au cours de la cérémonie, la Société Orange a fait d’une pierre deux coups. Car elle en a profité pour inviter les responsables du Stade Malien de Bamako. Dans le but de leur remettre un chèque de 10 millions de F CFA, en guise d’appui à  ce club, qui est qualifié pour la finale de la coupe CAF. Ainsi, les Blancs de Bamako; Orange est depuis juillet 2009, le partenaire officiel du football africain et le diffuseur « nouveau média » des compétitions organisées sur le continent via des offres mobiles dans 55 pays africains. Orange qui associe son nom aux compétitions principales de la CAF qui s’intitule désormais la Coupe d’Afrique des Nations Orange. Les compétitions concernées par ce partenariat sont : la Coupe d’Afrique des Nations (CAN), le Championnat d’Afrique des nations (CHAN), le Championnat d’Afrique juniors (U-20), la ligue des champions de la CAF, la Coupe de la confédération, la super coupe de la CAF. A noter que cette date, Orange sport est l’unique diffuseur des compétitions africaines de football. Pendant la Coupe d’Afrique des Nations Orange, En Angola, la société Orange prévoit de mettre une gamme complète de produits et services autour du football, pour que chacun des clients Orange puisse prendre part à  cette grande fête du football.

Orange, sponsor officiel de la CAN 2010 en Angola

Orange associera son nom durant les huit prochaines années aux compétitions principales de la CAF. En particulier, l’épreuve phare de la CAF se nommera désormais la Coupe d’Afrique des Nations ORANGE : Les compétitions de la CAF concernées sont – La Coupe d’Afrique des Nations (CAN) – tous les deux ans – Le Championnat d’Afrique des Nations (CHAN) – tous les deux ans – Le Championnat d’Afrique Juniors (U-20) – tous les deux ans – La Ligue des Champions de la CAF – tous les ans – La Coupe de la Confédération – tous les ans – La Super Coupe de la CAF – tous les ans De plus, Orange sera diffuseur nouveau média de ces compétitions via des offres mobile dans 55 pays africains. Orange est d’ores et déjà  présent dans de nombreux pays africains sur les marchés du fixe, du mobile et de l’internet, et soutient les équipes nationales de Côte d’Ivoire, du Cameroun, du Sénégal, de Guinée et du Botswana. Détenteur des droits de diffusion Après l’acquisition des droits de diffusion du football africain en TV et sur les mobiles en France pour les quatre années à  venir, cet accord capital avec la CAF va permettre à  Orange d’accélérer le déploiement de sa stratégie dans les contenus et de développer sa notoriété dans les pays d’Afrique et sur les principaux marchés européens, confirmant ainsi sa position d’acteur de premier plan dans le développement du football africain. Alors qu’Orange se réjouit de ce partenariat qui débute dès à  présent avec la Ligue des Champions et la Coupe de la Confédération et se poursuivra avec la prochaine Coupe d’Afrique des Nations en Angola en janvier 2010. Issa Hayatou, Président de la CAF, a déclaré « Orange est, de par son expertise technique et sa stature mondiale, le partenaire idéal sur le long terme pour le développement et la notoriété du football africain ».

Solidarité : Opération « dons » pour la Fondation Orange Mali

Fondation Orange Mali ou le mécénat public Pour Alioune Ndiaye, Président de la Fondation Orange :  » la lutte contre l’exclusion et la pauvreté est une priorité et un devoir pour le développement social du Mali », propos tenus devant le Ministre du Développement social, de la solidarité et des personnes âgées Mr Sékou Diakité. A ses côtés, la ministre des Nouvelles Technologies, Mariam Flantiè Diallo et le non moins sympathique ministre de la culture Mohamed el Moctar. Il faut dire qu’ils font la tournée de divers évènements liés à  la solidarité en compagnie du parrain Mohamed Ag Hamani, ex minitre et Président de l’association ARENA ( pour l’expertise des doyens) en ce moment.  » La démarche d’Orange se veut humaniste dans les domaines de la Santé, de l’éducation, le développement. C’est ainsi que récemment un nouveau scanner a été offert à  l’hôpital Gabriel Touré de Bamako, et la construction de 114 salles de classe, ou l’amélioration de conditions d’accès à  l’éducation pour certains Maliens démunis », a rappelé Alioune Ndiaye. En retour, le parrain a loué ses efforts, encouragé la culture de la solidarité de même que le ministre du développement social, qui pour sa part a reçu 15 millions de francs pour son ministère de la part d’Orange. Citons aussi les sacs de riz, de matériels scolaires, les 80 moustiquaires imprégnées données aux associations comme l’ASDAP, la FSEG ( faculté de Sciences et de gestion ) etc… Et le très célèbre Moctar Bâ, président courageux de l’association des Handicapés moteurs du Mali, a tout simplement dit : « Merci » ! La solidarité n’est pas un mot mais un comportement! », voilà  qui est bien dit ! Solidarité publique ou discrète ? Ces opérations d’Orange Mali plaisent, surtout à  Mme Bibi Sangho, présidente de l’orphelinat de Niaber, et qui s’est montrée heureuse de ces soutiens. C’est elle qui avait lancé un appel la semaine dernière pour la jeune Allamaco, une adolescente sourde, muette et aveugle et qui a besoin d’assistance. Le mois de la solidarité est un moment indiqué pour cela, juge t-elle, et l’apport des Médias capital. SOS pour ALLAMACO ! donc. Nous y reviendrons. On l’aura compris, le mois de la solidarité ne peut se faire sans médiatisation. Espérons que les dons distribués serviront à  aider ceux qui en ont vraiment besoin et que cette solidarité ne soit pas que de façade.

Accès Internet au Mali

Le fait d’envoyer un message à  quelqu’un qui se trouve à  l’autre bout du monde en un laps de temps en y joignant n’importe quel fichier sans pour autant songer à  la poste ou au transport, est un avantage que nous procure l’International Network ou Internet. Depuis les années 1960, les têtes pensantes se bousculaient aux Etats-Unis pour établir cette possibilité révolutionnaire qui n’avait à  l’époque qu’un objectif militaire. Malgré tout,l’ARPANET a été mis à  la disposition des grandes universités du pays de l’oncle SAM. Ce fut donc le début d’une nouvelle expérimentation des structures interconnectées à  travers les machines. La fracture numérique  » Sud-sud » Après quelques années, les grandes puissances se sont partagées cette nouvelle donne. Aujourd’hui la grande différence entre pays développés et moins développés en matière d’équipement et d’accès à  l’Internet, est ce qu’on a appelé « la Fracture Numérique ou le fossé numérique ». Au Mali, l’appropriation de l’Internet est plus qu’une nécessité. Les autorités ont très tôt adhéré à  l’accès à  l’Internet. Mais le paradoxe se situait au niveau du coût de la connexion malgré les avantages que le projet baptisé « Initiative Leiland » a offert à  20 pays bénéficiaires. Le projet a été proposé par le gouvernement américain à  travers l’USAID et C’’est par lui que la Sotelma est parvenue à  installer le « Nœud national » pour la connectivité. De 1997 en 2004, le coût de la connexion demeurait encore exorbitant pour le citoyen moyen. De Kayes à  Kidal, on parle encore de « fracture sud–sud » c’est-à -dire la fracture numérique existant sur un même territoire. l’on se souvient qu’il fallait payer parfois 5000 fCfa pour une heure de connexion dans certains cybers de Bamako. Sans parler du casse-tête qu’on subossait à  essayer de surfer à  partir d’un modem Sotelma ou d’autres fournisseurs d’accès. Ces fournisseurs facturaient parfois les cybers, entreprises ou particuliers, jusqu’à  500 000 fCfa ou plus, pour un mois de connexion. Une pléthore de fournisseurs d’accès : vive la concurrence ! Face à  cette réalité, la connexion était encore un luxe au Mali. C’’est à  l’arrivée d’IKATEL, aujourd’hui Orange, que les choses ont commencé à  se normaliser sous l’effet de la concurrence et malgré les acrobaties de la société civile. De ALI (Accès Libre à  l’Internet) en passant par ILAFIA, WASSA, IKAHOME, l’Internet sur téléphone portable sans oublier la réduction considérable que Orange a apporté aux cybers café connectés sur son réseau…, on peut considérer que dans l’ensemble, la connexion n’est pas toujours pas à  la portée du citoyen lambda. Un coût de connexion variable selon les zones Il y a de quoi être fier, partant de l’initiative du gouvernement qui a fourni certains lycées et seconds cycles en accès Internet et à  moindre coût, environ 100f par heure. Mais le débit de la connexion dans ces établissements laisse à  désirer. Il y a des cybers café qui ont complètement cassé le prix à  300f Cfa l’heure, ou la demi heure à  150f CFA. C’’est le cas du cyber BIC de Niarela ou le Centre Awa Keita de Bolibana. Dans les régions, le coût de la connexion n’est pas encore stable. A Ségou par exemple, le cyber du Meruba fait 600f l’heure tandis que celui de la Sotelma fait 1000f Cfa. A Kidal, le cyber de la maison du Luxembourg coute 500 francs. A noter que le centre de Kidal est subventionné par un bailleur. La présence des Centres Multimédia Communautaire (CMC) et des (CLIC) Centre Local d’Information et de Communication a favorisé la vulgarisation de l’Internet au niveau des populations et a surtout facilité l’accès de celles-ci à  cet outil d’apprentissage. A quand le haut débit partout ? Il est important de souligner que les cybers de la Sotelma et d’Orange- Mali sont actuellement les plus chers du pays. Ils ont pour argument que C’’est dû au fait qu’ils offrent le confort dans leurs cybers en plus d’une connexion haut-débit. N’est-il pas temps pour le Comité de Régulation des Télécommunications de nous édifier sur le terme « Haut débit » ? Parce qu’au Mali, il suffit d’arriver à  126 kilo bits/seconde (unité de mesure de la connexion) pour parler de haut débit. Aujourd’hui, beaucoup d’efforts ont été faits par le gouvernement malien, la société civile et le secteur privé dans l’appropriation de l’Internet. Alors, à  quand le haut débit, version 100 Méga bits ?